Translation for "livre sur" to spanish
Translation examples
Avoir une conversation frivole, afin de réserver l’essentiel à tes livres.
Tener una conversación frívola y así reservar lo esencial para tus libros.
Je veux réserver les chevaux pour la bonne bouche et je demande d’abord à Fulbert de me livrer les fusils, les cartouches et l’épicerie.
Quiero reservar los caballos para el último bocado y pido a Fulbert que me dé primero los fusiles, los cartuchos y los comestibles.
Quand j’avais retenu ma place au bureau, j’avais fait inscrire à côté de mon nom : « Sur le siège du conducteur », et j’avais donné une demi-couronne au teneur de livres. J’avais mis un paletot et un plaid tout neufs pour faire honneur à ce poste éminent, et j’étais assez fier de l’effet que je produisais sur le siège ;
Después de haber elegido mi asiento en las oficinas y de haber escrito al lado de mi nombre: «En el pescante», y de haber dado media corona al tenedor de libros por que me lo reservara; después de haberme puesto un gabán nuevo expresamente en honor de aquel eminente lugar; después de presumir mucho de ir en él y parecerme que hacía honor al coche;
— Qu’est-ce que cela dit à propos de la dernière soirée de débauche…, commença Macsen avant de se reprendre et de lancer un regard paniqué à Kanseen. Euh, enfin, je veux parler de l’enterrement de vie de garçon. La jeune femme soupira, lasse. Edeard feuilleta le livre à la recherche de l’entrée en question. — « Avant la cérémonie, le futur marié pourra réserver une soirée à ses amis afin de mettre symboliquement un terme à sa vie de célibataire.
—¿Qué dice sobre la despedida de soltero? —preguntó Macsen. Se contuvo y le lanzó a Kanseen una mirada aterrada—. Me refiero a la velada con los amigos —se corrigió. La joven agente lanzó un gemido abatido. Edeard hojeó el librito. —Se puede, por muy buenas razones, reservar una velada para que un joven le diga adiós a sus conocidos masculinos, dándose por entendido que sus costumbres de soltero están a punto de llegar a su fin.
Hier, dix ans après cette entrevue, alors qu'il venait de débarquer à Schiphol et qu'il signait, au comptoir de l'agence de location, les papiers lui permettant d'utiliser l'automobile qu'il avait fait retenir par son bureau de Madrid, attentif en apparence à tous les détails de cette formalité, sous le regard aimable d'une hôtesse vêtue d'un chemisier blanc, avec le nom de l'agence brodé en bleu sur le côté du cœur, et d'une jupe en gabardine, droite, du même bleu que cette broderie professionnelle, alors, il lui avait semblé entendre, encore plus voilée, presque inquiète, ou fébrile, ou livrée au désespoir, cette voix d'autrefois du Vieux lui parlant de La Ruelle, et il était demeuré immobile, suspendu intérieurement au sens problématique de cette voix ancienne, assez longtemps pour que l'hôtesse — aimable, et blonde, et soyeuse — se vît obligée de lui indiquer d'un geste de son crayon l'endroit où il devait, encore une fois, sur un double, signer, et il avait repris, comme on dit, ses esprits, apposé cette dernière signature, et la jeune femme lui avait remis les clefs de l'automobile, avec un large sourire : « Bon séjour à Amsterdam, monsieur Mercader ! » Ces derniers mots avaient été prononcés en anglais, d'un ton enjoué, car c'était dans cette langue que toutes les formalités avaient été réglées, lui ne parlant pas le hollandais — ce qui est excusable —, elle ne parlant pas l'espagnol — ce qui est parfaitement compréhensible, la Hollande n'étant plus possession impériale depuis de longs siècles, malgré les premiers vers de l'hymne national néerlandais où il est toujours question de la fidélité des princes d'Orange à la couronne d'Espagne, formulation parfaitement anachronique qui n'engageait nullement cette jeune femme à connaître l'espagnol.
Ayer, diez años después de esta entrevista, cuando acababa de llegar a Schiphol y firmaba, en el mostrador de la agencia, los papeles que le permitían utilizar el automóvil que había hecho reservar por su oficina de Madrid, atento en apariencia a todos los detalles de esta formalidad, bajo la mirada amable de una empleada que vestía un camisero blanco, con el nombre de la agencia bordado en azul sobre el lado del corazón, y una falda de tela de gabardina, lisa, del mismo azul que este bordado profesional, entonces le había parecido oír, aún más velada, casi inquieta o febril, o cediendo a la desesperación, aquella voz de antaño del Viejo, hablándole de La callejuela, y se había quedado inmóvil, en su interior pendiente del problemático sentido de esa voz antigua, el tiempo suficiente como para que la empleada —amable y rubia y sedosa— se viese obligada a indicarle con un movimiento de su lápiz el lugar en que debía, una vez más, firmar en una doble hoja, y, como suele decirse, volvió en sí, trazó esta última firma, y la joven le entregó las llaves del automóvil con una amplia sonrisa: «Bien venido a Ámsterdam, señor Mercader.» Estas últimas palabras fueron pronunciadas en inglés, en un tono jovial, ya que en esta lengua se Rabian despachado todas las formalidades, ya que él no hablaba holandés —lo cual es disculpable—, y ella no hablaba español, lo cual es perfectamente comprensible, dado que Holanda dejó de ser una posesión imperial desde hace muchos siglos, a pesar de los primeros versos del himno nacional neerlandés, en los que se sigue hablando de la fidelidad de los príncipes de Orange a la corona de España, formulación completamente anacrónica que no comprometía en modo alguno a aquella joven a conocer el español.
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