Translation for "levé" to spanish
Translation examples
estudio
Elle a levé son visage vers moi. — Vous faites des études ? — Non.
Levantó la cara hacia mí. —¿Usted estudia? —No.
Je me suis levé en désignant d’un coup d’œil son bureau. — Puis-je… ? — Je… Oui.
Yo seguía de pie, echándole un vistazo a su estudio. —¿Podría…? Señalé hacia allí. —Esto… claro.
Le matin suivant, je me suis levé tôt pour me plonger dans l’étude des actes de procédure.
A la mañana siguiente me levanté temprano y me sumergí nuevamente en el estudio de las actas judiciales.
Je sentais son parfum. Son visage, à demi levé, ressemblait à un camée.
Sentí el aroma de su perfume y estudié su rostro, medio iluminado, como un camafeo tallado en perfil contra una concha oscura.
Il s’était levé, était descendu au rez-de-chaussée et avait fait les cent pas dans la cuisine, pour finalement aboutir dans son studio. Son refuge.
Se había levantado y había bajado la escalera para pasear luego por la cocina y terminar en su estudio. Su refugio.
Melissa m'a enjambé et a ouvert la porte pour retourner dans le séjour. — Will ? J'ai levé les yeux sur elle.
Melissa se acercó a abrir la puerta que daba al estudio. —Will. Alcé la vista.
Le professeur avait levé les yeux : « Arrêter tes études ne va pas ramener ta mère », avait-il dit.
Y en aquel lapso breve de silencio absoluto, el hijo leía los pensamientos del padre: «Dejar los estudios no te devolverá a tu madre, hijo».
Il l’a étudié un instant, impassible, puis a levé la main pour frotter la cicatrice au-dessus de son œil gauche.
La estudió un momento, impasible, después levantó una mano para frotarse la cicatriz debajo del ojo izquierdo.
Flaubert s’est levé, il a pris un bain, il a eu une attaque d’apoplexie et il est tombé sur le divan de son cabinet de travail ;
Flaubert se levantó de la cama, se bañó con agua caliente, tuvo un ataque de apoplejía, y llegó dando traspiés hasta el sofá de su estudio;
Le bateau a levé l’ancre et je suis monté dans mon bureau : mes devoirs d’enseignant touchant à leur fin, j’avais beaucoup de temps sur les bras.
El barco zarpó y volví a mi estudio. Desde que mis obligaciones de director de escuela habían tocado a su fin, no sabía qué hacer para llenar las horas.
Grinder avait les yeux levés au plafond.
Grinder se dedicaba a estudiar el techo.
En disant ce nom (cette liste menaçant de noms plutôt, comme si mon adversaire victorieuse, au lieu d’être une femme avait été un peloton entier de terminators), Morini a levé les yeux pour voir l’effet qu’il produisait sur moi.
Al decir ese nombre (esa lista amenazadora de nombres, más bien, como si en vez de una mujer mi victoriosa adversaria fuese todo un pelotón de terminators), Morini levantó los ojos para estudiar el efecto que provocaba en mí.
Que de fois, levé de très bonne heure pour étudier ou pour lire, j’ai moi-même rétabli ces oreillers fripés, ces couvertures en désordre, évidences presque obscènes de nos rencontres avec le néant, preuves que chaque nuit nous ne sommes déjà plus…
Cuántas veces, al levantarme temprano para estudiar o leer, ordené con mis manos las almohadas revueltas, las mantas en desorden, evidencias casi obscenas de nuestros encuentros con la nada, pruebas de que cada noche dejamos de ser...
Lorsque Éverard entra, Harrison était assis à quelque distance de ses deux collègues, les jambes croisées et étendues devant le feu, le menton appuyé sur une main, et les yeux levés, comme s’il eût étudié avec la plus profonde gravité la sculpture du plafond gothique.
Cuando Everard entró, Harrison estaba sentado a alguna distancia de sus dos compañeros, con las piernas cruzadas y extendidas delante del fuego, la barba apoyada en una mano y la cabeza levantada, como si estudiara muy atentamente las pinturas que decoraban el techo, de estilo gótico, del amplio aposento.
Ce jour-là, à la mi-Xamis, j’eus la chance de pouvoir étudier à loisir ses traits magnifiques pendant que le docteur traitait sa blessure. Vêtu d’une longue robe dont il avait remonté la manche, le roi apparaissait en silhouette sur le cadre lumineux d’une antique fenêtre moulurée, la mâchoire énergique, le visage levé, tandis que le docteur soignait le bras qu’il lui tendait.
Tuve la suerte de poder estudiar estos rasgos magníficos un mediodía de Xamis, en los aposentos privados del rey, mientras la doctora trataba la herida recibida en el duelo y su majestad esperaba, ataviado con una larga toga arremangada, recortado contra la luminosidad de una antigua ventana de yeso, con el rostro alzado y las mandíbulas apretadas.
Mais grand-père lui dit : « George, m’est avis que tu n’as plus besoin de moi », il monte dans la diligence pour Cheyenne et, de là, prend le train pour Denver. Dans le train il fait la connaissance d’un petit fermier qui lui dit posséder à Leadville une mine dont quelques occupants illégaux cherchent à le dessaisir, et avoir besoin d’un expert qui étudierait le gisement, en ferait un levé et témoignerait lorsque l’affaire passerait en justice.
Así que el abuelo le dijo: «George, supongo que ya no me necesitas más», y se subió a la diligencia de Cheyenne y luego en el tren de Denver y en el tren de Denver encontró a un hombrecito con pinta de granjero que le dijo que tenía una mina en Leadville y que unos aprovechados pretendían meterse en su terreno y que le vendría bien un experto en minas para estudiar la suya, levantar los planos y testificar cuando saliera el juicio.
Le dessin du mur de la nursery, joliment conservé dans un cadre d’écaille, et rarement gratifié d’autre chose que d’un regard distrait de la part des enfants, montrait un garçon au visage agréable, d’un âge indéfini (l’artiste devait avoir un talent inégal, car toutes les bouches des enfants Bellefleur se ressemblaient, féminines, un peu boudeuses, tandis que les nez variaient, et que les yeux – retouchés, parsemés de minuscules points blancs – avaient dans certains cas une expression adulte anormale, ou étaient pleins d’une si grande piété qu’ils menaçaient de s’estomper dans le papier au grain grossier) : il avait peut-être cinq, sept ou huit ans ; en prière, les pommettes saillantes, ses yeux petits mais saisissants levés au ciel, les mains jointes avec ferveur et un imperceptible (ou bien Leah l’imaginait-elle, ayant étudié le dessin si longtemps) sourire affecté.
El boceto que adornaba la pared de la habitación de los niños, conservado con esmero en un marco de carey, y rara vez objeto de miradas por parte de los niños, mostraba un niño de rasgos bondadosos y edad indefinida (al parecer las habilidades del artista no eran muy uniformes, pues los labios de todos los niños se parecían mucho, femeninos y un poco hinchados, mientras que la nariz de los Bellefleur variaba y los ojos —retocados con puntitos blancos— eran, en algunos casos, de una adultez prematura y en otros tan suaves y piadosos que amenazaban con derretirse en el papel de grano grueso). Aquel niño del boceto tendría unos cinco años, o quizá siete u ocho: retratado mientras rezaba, con los huesos de las mejillas prominentes, los ojos pequeños pero atractivos mirando hacia arriba, por encima de las manos entrelazadas con fervor, y una sonrisa cómplice apenas perceptible (o eso pensaba Leah, después de estudiar la imagen largo rato).
… Oublions que le temps existe et ne comptons pas les jours de la vie, il ne faut pas le faire quand on a été assez sot pour ne pas les compter avant, Mavri, c’est comme si j’avais rêvé et qu’à présent tu me réveilles et me demandes où j’étais, si j’étais moi, si j’étais le même et pourquoi ?… mais il n’y a pas de pourquoi, les choses avancent pour leur propre compte, sans pourquoi, même si la responsabilité commence dans les rêves, l’ancien dicton a raison, parle-moi de ton enfance, Mavri, et puis de tes camarades, de ceux qui ne se sont pas réveillés comme moi et ont maintenant leurs tombes inconnues dans les montagnes, ils appartiennent au peuple des rêves, je ne sais pas leur parler… je voudrais que tu me joues le même air que cette nuit-là, mais ici il n’y a pas de piano et te le demander me fait honte, pourtant je l’entends jouer dans les cyprès, allons au cap Sounion, je veux voir la mer Égée depuis le temple de Poséidon, tes camarades n’ont plus de cils, ils ont des orbites vides, ils sont étendus au milieu des broussailles et nourrissent les racines des châtaigniers, ils m’ont longuement appelé et je ne les entendais pas, Mavri, nous nous appartenions sans le savoir, ces pierres sont les miennes, je l’ai compris grâce à eux, les pierres enseignent beaucoup de choses, peut-être un jour viendras-tu avec moi, mais pour le moment oblige-moi à rester, emmène-moi en Crète, je veux voir la maison où tu es née, tu ne peux pas la laisser abandonnée, ce serait comme si ton père et ta mère étaient morts deux fois, j’ouvrirai moi-même la porte, tu entreras avec moi, à force de l’imaginer je la connais comme si j’y avais vécu, la clé est suspendue à un clou sous le porche derrière une branche de laurier sec, une grosse clé lourde, la serrure soulève la targette en bois de l’autre côté de la porte, la première pièce est vaste, c’était celle du moulin à huile, les chaises sont en paille, mais à côté de la fenêtre il y a un siège en pierre recouvert de coussins aux étoffes crétoises, et au milieu de la pièce se trouve la table où vous mangiez, une énorme pierre ronde qui autrefois, posée sur une autre pierre, broyait les olives… ce sera notre atelier, nous y dessinerons le monde que nous voudrions, et nos livres nous les ferons sur cette pierre… Mavri, je ne veux pas passer ma vie dans les amphis d’une université ou mes nuits dans un observatoire à fouiller le ciel, car franchement, le monde dans l’état où nous l’avons réduit ne nous suffit-il pas ?, je sais que tu devras souvent me laisser seul, mais quand tu rentreras de tes concerts tu me trouveras là, à cette pierre… J’entends un piano mécanique, tu l’entends toi aussi ?… je te parle à toi, l’écrivain… excuse-moi, j’étais en train de rêver et un piano mécanique m’a réveillé, mais peut-être rêvais-je aussi du piano mécanique et maintenant ça continue hors du rêve, c’est une valse, tu l’entends ?… Ne me dis pas que c’est une hallucination sonore, sois compréhensif, c’est une valse en la majeur, au loin, pourtant on l’entend bien si on le veut… mais ce n’est pas un piano mécanique, c’est un orgue de Barbarie, comme ceux que les tziganes avaient autrefois dans les foires quand j’étais enfant… Pour les feux de la Saint-Jean sur la place San Nicolò un tzigane jouait d’un petit orgue de Barbarie, il tournait la manivelle et les gens se mettaient à danser… Ces vieilles histoires n’intéressent plus personne, mais bénie soit la pauvre ritournelle qui arrive du passé pour ramener les jours morts… cette pendule insomniaque sur la commode a toujours les yeux ouverts, même la nuit elle ne les ferme pas, elle espionne chaque instant, elle fait comme l’araignée avec les mouches, et l’univers est là, autre chose que les galaxies et les années-lumière, une seconde après l’autre, tic tac, et l’heure est déjà terminée… le tzigane repart pour une autre foire, mais il joue toujours la même musique, y a-t-il un autre couple qui veuille danser ?… ces deux-là je les connais, elle a des souliers blancs et une jupe bleue à plis, lui il a laissé sa veste sur le dossier d’une chaise et s’est mis en bras de chemise, fais-la danser, jeune homme, fais-la rire, tu ne vois pas comme ses yeux scintillent, les lumières de la place se reflètent dedans, ce sont de petites lanternes de papier illuminées, c’est à présent le tour du joueur de buzuki, un petit vieux qui comprend les amoureux, il en a tant vu danser dans sa vie, il a vraiment tout compris le petit vieux, il s’est mis à jouer Thaxanarthis… bien sûr que tu reviendras, dit la femme, tu es déjà revenu, et elle rit, elle lui entoure le cou d’une main et l’attire à elle, les gens applaudissent, ils ont formé un cercle autour d’eux, elle lui passe une main dans les cheveux puis l’embrasse, d’autres musiciens sont arrivés, il y a de l’animation, tout le monde se met à danser, un vieil homme danse seul, ses bras sont levés comme s’il attrapait l’air et il fait seulement danser ses jambes enfilées dans des bottes de cuir, ils sont demeurés immobiles au milieu de la foule qui danse, on dirait une statue avec deux corps que le sculpteur a extraite d’une seule pierre, ils gardent les yeux fermés, front contre front comme s’ils s’échangeaient ce qu’ils pensent, ils pensent à la même chose, que le bateau pour la Crète part demain matin à sept heures et le Pirée est en fête, à quoi bon rentrer dormir en ville… Je connais une pension sur le port, dit Daphné, quand mon grand-père venait étudier à Athènes il logeait là, à présent elle appartient à Stratis, quelqu’un de mon village, j’aimerais aller lui dire bonjour, il m’a connue enfant, je crois qu’il serait content de me voir arriver avec toi, Tristano.
… Olvidamos que el tiempo existe y no contamos los días de la vida, no hay que hacerlo cuando hemos sido tan necios de no contarlos antes, Mavri, es como sí yo hubiera estado soñando y ahora me despertara y me preguntase dónde estoy, si soy yo, si soy el mismo y por qué… pero no hay porqués, las cosas van por su cuenta, sin porqués, aunque la responsabilidad empiece en los sueños, el dicho antiguo tiene razón, háblame de tu infancia, Mavri, y después, de tus compañeros, de quienes no se despertaron como yo y ahora tienen tumbas desconocidas en los montes, pertenecen al pueblo de los sueños, no sé hablar con ellos… quisiera que tú me tocaras la misma melodía de aquella noche, pero aquí no hay piano y me da vergüenza pedírtelo, sin embargo la oigo sonar en los cipreses, vamos a Cabo Sunio, quiero ver el Egeo desde el templo de Poseidón, tus compañeros ya no tienen pestañas, tienen las órbitas vacías, están tendidos entre los matorrales y alimentan las raíces de los castaños, han estado llamándome mucho tiempo y yo no los oía, Mavri, nosotros nos pertenecíamos sin saberlo, estas son mis piedras, gracias a ellas he comprendido, las piedras enseñan muchas cosas, tal vez un día vengas conmigo, pero ahora deja que me quede, llévame a Creta, quiero ver la casa donde naciste, no puedes dejarla abandonada, sería como si tu padre y tu madre hubieran muerto dos veces, seré yo quien vuelva a abrir esa puerta, entrarás conmigo, a fuerza de imaginármela la conozco como si hubiera vivido en ella, la llave está colgada de un clavo bajo el porche detrás de una rama de laurel seco, es una llave gruesa y pesada, la cerradura levanta el pestillo de madera al otro lado de la puerta, la primera habitación es amplia, era el molino del aceite, las sillas son de paja, pero cerca de la ventana hay un asiento de piedra cubierto con cojines forrados de telas cretenses, y en medio de la habitación la mesa donde comíais, una enorme piedra redonda que en otros tiempos molía las aceitunas, apoyada sobre otra piedra… será nuestro taller, allí diseñaremos el mundo que queremos, los libros los haremos sobre esa piedra… Mavri, yo no quiero pasarme la vida en las aulas de una universidad o mis noches en el observatorio rebuscando en los cielos, ¿para qué?, ¿para descubrir otros mundos?, ¿no nos basta con este y cómo lo hemos dejado?… ya sé que a menudo tendrás que dejarme solo, pero cuando vuelvas de tus conciertos me encontrarás sentado allí, ante esa piedra… Oigo una pianola, ¿la oyes tú también?… te digo a ti, escritor… discúlpame, estaba soñando y me ha despertado una pianola, aunque tal vez estuviera soñando con la pianola también y ahora sigue fuera del sueño, es un vals, ¿lo oyes?… No me digas que es una alucinación sonora, sé comprensivo, es un vals en la mayor, lejano, pero se oye perfectamente si uno quiere oírlo… pero si no es una pianola, es un organillo, como los que en otros tiempos tocaban los gitanos en las ferias cuando yo era niño… Para los fuegos de San Juan en la piazza San Nicoló un gitano tocaba un organillo, giraba la manivela y la gente se ponía a bailar… Estas viejas historias ya no le interesan a nadie, pero alabado sea el estribillo pobre que viene del pasado para devolvernos los días muertos… ese péndulo insomne encima de la cómoda está siempre con los ojos muy abiertos, no los cierra ni siquiera de noche, espía todo instante, igual que la araña con las moscas, y el universo está ahí, déjate de galaxias y de años luz, un segundo tras otro, tic-tac, y la hora ha acabado ya… el gitano parte hacia otra feria, pero toca siempre la misma música, ¿hay alguna otra pareja que quiera bailar?… a esos dos los conozco, ella lleva unos zapatos blancos y una falda tableada azul, él ha dejado la chaqueta sobre el respaldo de una silla y se ha remangado la camisa, sácala a bailar… hombre, haz que se ría, no ves cómo le centellean los ojos, en su interior se agitan las luces de la plaza, son farolillos de papel iluminados, ahora ha llegado un tocador de buzuki, es un viejecillo que comprende a los enamorados, ha visto bailar a tantos en su vida, lo ha comprendido absolutamente todo el viejecillo, se ha puesto a tocar Thaxanarthis… claro que volverás, dice la mujer, ya has vuelto, y ríe, le rodea el cuello con una mano y lo atrae hacia ella, la gente aplaude, han formado un círculo a su alrededor, ella le pasa una mano por el pelo y lo besa después, han llegado otros músicos, hay mucha animación, todos empiezan a bailar, un hombre anciano baila solo, tiene los brazos levantados como si aferrara el aire y solamente deja que bailen las piernas metidas en las botas de cuero, ellos se han quedado inmóviles en medio de la multitud que baila, parecen una estatua con dos cuerpos que el escultor ha extraído de una única piedra, tienen los ojos cerrados, la frente apoyada en la frente como si se estuvieran intercambiando lo que piensan, piensan lo mismo, que el barco para Creta zarpa mañana a las siete y el Pireo está de fiesta, para qué regresar a dormir a la ciudad… Conozco una pensión en el puerto, dice Daphne, cuando mi abuelo venía a estudiar a Atenas, se alojaba allí, ahora es de Stratis, uno de mi pueblo, me gustaría ir a saludarlo, me conoce desde niña, creo que se sentirá contento de verme llegar contigo, Tristano.
Je me suis levé tôt et j’ai examiné leurs machines.
Me he levantado pronto para inspeccionar la maquinaria.
Il s’était levé de bonne heure pour examiner la planche lui-même, pensant que quelque chose nous avait peut-être échappé — il en avait maintenant la confirmation.
Se había levantado temprano para inspeccionar las piezas, con la esperanza de que alguno de nosotros hubiera pasado algo por alto, y estaba convencido de que había sido así.
— Alors pourquoi, usant pompeusement de tes pleins pouvoirs, nous as-tu contraints à nous rendre au pied levé à Fanhure pour examiner ce qui, selon toi, serait un faux ?
—Entonces, ¿por qué, utilizando toda tu pomposa autoridad, nos has arrastrado hasta el Hálito del Fader, simplemente para inspeccionar lo que ahora afirmas que es una falsificación?
Voyez-vous, Monsieur, la plupart des musiciens sont malades, et nous avons dû recruter une nouvelle formation au pied levé. Mountolive hocha gravement la tête pour marquer sa sympathie, et passa à la tâche suivante : passer en revue le détachement d’honneur, ce dont il s’acquitta avec zèle et grand plaisir.
Casi todos los músicos están enfermos. —Mountolive asintió con gravedad, comprensivamente, y se volvió a su próxima tarea. Caminó con profusa prolijidad, ida y vuelta, delante de una guardia de honor para inspeccionar su presentación.
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