Translation for "l'apprenant" to spanish
L'apprenant
Translation examples
Il s’agit de charges héréditaires, les fils apprenant le métier de leur père.
El honor es hereditario, y los jóvenes empiezan como aprendices de la profesión.
Avez-vous réfléchi à ce qu’ont ressenti les autres apprentis en apprenant que notre Makar s’était enfui du Magisterium ?
¿Sabes lo malo que es para la moral de los otros aprendices oír que nuestro makaris se ha escapado del Magisterium?
Apprenant qu’il était sorti, le samouraï avait déclaré qu’il voulait faire aiguiser son épée, mais qu’elle était beaucoup trop précieuse pour la confier à quelqu’un d’autre que le maître en personne.
El aprendiz le dijo que el dueño estaba ausente, y el samurai le explicó que deseaba afilar su espada, pero que ésta era demasiado valiosa para confiarle el trabajo a otro que no fuese el maestro forjador en persona.
Les week-ends, il travaillait en tant qu’apprenti mécanicien dans un garage-showroom – ce qui consistait essentiellement à laver les voitures et passer les outils aux vrais mécaniciens –, ne perdant pas une miette de leurs interventions sur les moteurs et apprenant rapidement.
Los fines de semana trabajaba como aprendiz de mecánico en el taller de un concesionario de coches. Aunque su trabajo consistía, básicamente, en limpiar los vehículos y pasarles las herramientas a los verdaderos mecánicos, Gabe se dedicaba a observar todo lo que hacían con los motores y aprendió muy rápido.
Pas le moins du monde neurasthénique, les nerfs rembourrés de graisse et de flegme, s'empiffrant à la rabelaisienne, digérant admirablement, Louis XVI n'est guère l'homme qui peut s'intéresser à un traitement psychique ; et lorsque La Fayette, à la veille de son départ pour l'Amérique, se présente chez lui, le monarque débonnaire le raille plaisamment, lui demandant « ce que dirait Washington en apprenant qu'il s'était donné comme apprenti apothicaire chez le sieur Mesmer ». Il a horreur des troubles et des émotions, ce brave homme de Louis XVI, ce bon roi ventru ; un pressentiment instinctif lui fait détester les nouveautés et les révolutions, même dans le domaine intellectuel. En homme d'ordre, positif et réaliste, il finit par vouloir tirer au clair cette interminable dispute sur le magnétisme ;
Hombre nada neurasténico, con los nervios bien acolchados en la flema y la gordura, comilón rabelesiano, dueño de un buen aparato digestivo, Luis XVI es incapaz de sentir curiosidad por una terapia mental, y cuando Lafayette va a despedirse antes de partir para América, el monarca bonachón se burla de él afectuosamente diciéndole: «¿Qué dirán en Washington cuando sepan que se ha prestado a hacerse aprendiz de boticario del señor Mesmer?» El bueno y gordo de Luis XVI es enemigo de alborotos y agitaciones, por un instinto profético abomina las revoluciones e innovaciones, también en la esfera del espíritu.
Elle nous a trouvé un bar où un guitariste de jazz jouait discrètement à l’arrière-plan… puis un vieux film de Woody Allen en VO avec sous-titres tchèques… puis un petit restau vietnamien qui servait des plats sans boulettes de pâte obligatoires… Pendant le repas arrosé d’une bouteille de très honnête Riesling hongrois, Ludmila m’a parlé de son travail en équipe sur la modélisation du processus d’apprentissage, cherchant à programmer l’accumulation des connaissances apportées par l’expérience, le dialogue avec d’autres apprenants et leur imitation, ainsi que l’acquisition de règles, faisant appel à la simulation de jeux enfantins tels que « Animal, végétal ou minéral ? »… l’entreprise m’a paru assez désespérée, trop de variables, mais je me suis poliment borné à des commentaires encourageants… et bien sûr elle s’écrasait devant ma réputation, elle me flattait à mort, mais elle s’était préparée, elle avait suffisamment potassé L’Esprit, cette machine pour me citer… et tout au long, en suspens au-dessus de nous comme les bulles des bandes dessinées, planaient nos interrogations respectives concernant l’issue de la soirée : « A-t-il envie de coucher avec moi ? » et « Attend-elle de moi que je couche avec elle ? » Officiellement, elle avait pour mission de me déposer en taxi sain et sauf à mon hôtel avant de rentrer chez elle… La nuit était douce… nous avons flâné sur la place de la Vieille Ville, regardé encore une fois l’horloge astronomique qui à cet instant sonnait les douze coups de minuit, avec ses personnages en mouvement, le Turc, l’Homme riche et la Vanité, secouant tous la tête face à la Mort, laquelle répond « Oui »… nous nous sommes attardés sur le pont Charles pour contempler le château illuminé sur une hauteur dominant la ville, qui donnait l’impression de flotter tel un mirage dans le ciel nocturne… Comme je tombais enfin sous le charme de l’endroit et qu’il paraissait naturel d’imiter les autres couples enlacés dans l’ombre des trente et un saints statufiés, j’ai pris Ludmila par la taille et me suis exclamé sur sa minceur, mes doigts pourraient-ils se toucher si je l’enlaçais, elle a ri et m’a invité à essayer pour voir… je n’y suis pas parvenu, mais je tenais entre mes mains son corps juvénile, ferme et souple comme un jeune arbre, je l’ai attirée à moi pour lui renverser la tête en arrière d’un baiser… et, de fil en aiguille… dans ma chambre, elle n’a pas perdu de temps, en un éclair elle s’est dépouillée de ses vêtements, il est vrai qu’elle en portait le minimum : une robe en coton, un slip, pas de soutien-gorge, elle n’en a pas besoin tant ses seins sont petits, trop petits à mon goût… le contraire de Carrie… que disait cette publicité quand j’étais gosse, j’ai oublié de quel produit il s’agissait… « Ni trop ni trop peu, juste ce qu’il faut… » Elle s’est glissée entre les draps et m’a regardé me déshabiller, ce que j’ai trouvé déconcertant… mon corps semblait grossier, ridé, flétri, par comparaison avec la blanche sveltesse de son torse et de ses membres… j’ai éteint la lumière et écarté les rideaux pour ouvrir la fenêtre sous prétexte que la chambre sentait le renfermé, mais en réalité je voulais dissimuler mon embarras et mon visible manque d’ardeur… j’ai fini par me montrer à la hauteur… mais j’ai quelques doutes quant à son orgasme…
Encontramos un bar con un guitarrista de jazz que rasgueaba débilmente en el trasfondo… y después vimos una película antigua de Woody Allen con los diálogos en inglés y subtítulos en checo… y a continuación un pequeño restaurante vietnamita que servía comidas sin las inevitables gachas… Durante la cena, y mientras despachábamos una botella muy decente de Riesking húngaro, Ludmila me habló de su investigación, un proyecto en equipo de control del proceso de aprendizaje, que trata de incluir en el modelo la acumulación de conocimientos a través de la experiencia, el diálogo con otros aprendices y su imitación, así como la adquisición de normas, mediante la simulación de juegos infantiles como «¿Animal, vegetal o mineral?». A mí me pareció bastante inviable, demasiadas variables, pero la alenté cortésmente… y por supuesto ella se rindió ante mi reputación, me halagó a conciencia, pero había hecho los deberes, conocía tan bien La máquina de la mente como para citar frases del libro… y sobrevolaban nuestra conversación en todo momento, como los bocadillos de pensamientos que hay en los tebeos, nuestras especulaciones respectivas sobre cómo acabaría la velada. «¿Querrá ella acostarse conmigo?» y «¿Espera que me acueste con ella?». El plan oficial era que me acompañase hasta la seguridad de mi hotel y que después se fuera en taxi a su casa… Era una noche fragante y calurosa… pasamos por la plaza de la ciudad vieja y eché otro vistazo al reloj astronómico, que casualmente estaba dando la medianoche, con sus figuras móviles, el turco, el rico y la vanidad, todos haciendo una señal con la cabeza a la muerte, que asiente: «Sí»… y nos entretuvimos en el puente Carlos mirando las luces del castillo o el palacio o lo que fuera en un alto promontorio que dominaba la ciudad, y que parecía flotar como un espejismo en el cielo de la noche… Por fin el lugar empezó a obrar su hechizo en mí, y me pareció natural imitar a las otras parejas que se besuqueaban en las sombras arrojadas por las treinta y una estatuas santas, así que le rodeé la cintura con el brazo y comenté lo esbelta que era y que me gustaría saber si podría juntar las puntas de los dedos alrededor de su cintura y ella se rió y me invitó a intentarlo… No pude, pero abarqué su cuerpo joven con mis manos, firme y ágil y alto como un árbol joven, y la acerqué hacia mí y le incliné la cabeza con un beso… y una cosa llevó a la otra… No perdió el tiempo una vez que estuvimos en la habitación, se despojó de la ropa en un abrir y cerrar de ojos, tampoco llevaba mucha: un vestido de algodón, las bragas, y no llevaba sujetador, no lo necesitaba porque sus pechos eran muy pequeños, demasiado para mi gusto… al contrario que Carrie… cómo era aquel anuncio de cuando yo era niño, no me acuerdo de qué era, «Ni demasiado ni demasiado poco… si no lo justo…». Se metió entre las sábanas y desde allí me observó desvestirme, lo cual me desconcertó… mi cuerpo parecía obeso y arrugado e imperfecto comparado con sus miembros y su torso enjutos y blancos… Apagué la luz y corrí las cortinas para abrir las ventanas pretextando que el aire del cuarto estaba cargado, pero en realidad para ocultar mi vergüenza y mi falta de un ardor visible… Me puse a la altura de la situación en su debido momento… pero no podría jurar que ella no fingiese su orgasmo…
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