Translation for "jurez" to spanish
Translation examples
—Me le jurez-vous sur vos dieux ?
—¿Lo jurarás por tus dioses?
Mais jurez-moi que vous n’allez pas vous moquer de moi. — Parle. — J’ai fait des rêves étranges… À Brokilone… Au début, je pensais que je délirais.
Pero habéis de jurar que no os vais a reír. —Habla. —Tuve unos sueños. En Brokilón. Al principio pensé que eran delirios.
– Jurez sur le Styx de ne jamais revenir à bord de ce navire, poursuivit Piper, et de ne jamais tenter de nouveau de posséder un membre de cet équipage.
—Vais a jurar por la laguna Estigia que no volveréis jamás a este barco —continuó Piper—, y que no poseeréis a ningún miembro de esta tripulación.
— Hé ! bien, vous êtes devant Dieu ! dit la vieille fille en lui montrant par un geste solennel les jardins et le ciel, jurez-moi que vous ne connaissiez pas ce paysan. — Je ne jurerai pas, dit Pierrette.
—Pues bien, está usted ante Dios —dijo la solterona, mostrándole con un gesto solemne los jardines y el cielo—. Júreme que no conocía a ese campesino. —No juraré —dijo Petrilla.
L’homme s’arrêta de l’autre côté de la tombe avec l’air interrogateur de celui qui ne demande pas d’explication mais croit qu’on lui en doit une, et monsieur José dit, Bonjour, à quoi l’autre répondit, Bonjour, Quelle belle matinée, Oui, ça va, Je me suis endormi, dit ensuite monsieur José, Ah, vous vous êtes endormi, répéta l’homme d’un ton dubitatif, Je suis venu ici voir la tombe d’une amie, je me suis assis sous cet olivier pour me reposer et je me suis endormi, Vous avez passé la nuit ici, Oui, C’est la première fois que je rencontre quelqu’un à cette heure où je fais paître mes brebis, Vous ne les faites pas paître aux autres heures de la journée, demanda monsieur José, Cela ferait mauvais effet, ce serait un manque de respect si mes brebis allaient se fourrer au milieu des enterrements ou si elles lâchaient leurs crottes quand les gens viennent honorer le souvenir de leurs êtres chers et qu’ils prient et pleurent, d’ailleurs les guides ne veulent pas être dérangés quand ils creusent les fosses, je dois donc leur apporter de temps en temps des fromages pour qu’ils n’aillent pas se plaindre au curateur, Comme le Cimetière général est ouvert sur tous les côtés, n’importe qui peut y pénétrer, et qui dit n’importe qui, dit aussi des bêtes, je m’étonne de n’avoir pas vu le moindre chien ou chat du bâtiment administratif jusqu’ici, Les chiens et chats errants ne manquent pourtant pas, Eh bien, je n’en ai pas rencontré un seul, Vous avez parcouru tous ces kilomètres à pied, Oui, Vous auriez pu venir en autobus, ou en taxi, ou en voiture, si vous en avez une, Je ne savais pas où se trouvait la tombe, il a donc fallu que je m’informe d’abord auprès de l’administration et après, comme la journée était belle, j’ai décidé de venir ici à pied, C’est bizarre qu’ils ne vous aient pas fait revenir sur vos pas, comme ils en ont l’habitude, Je leur avais demandé de me laisser passer et ils m’y avaient autorisé, Vous êtes archéologue. Non, Historien, Non plus, Critique d’art, Jamais de la vie, Spécialiste en héraldique, Pour qui me prenez-vous, Alors je ne comprends pas pourquoi vous avez voulu faire toute cette longue trotte ni comment vous avez réussi à dormir au milieu des tombes, moi qui suis habitué au paysage je ne resterais pas ici une seule minute après le coucher du soleil, Cela s’est passé naturellement, je me suis assis et je me suis endormi, Vous êtes un homme courageux, Je ne suis nullement un homme courageux, Avez-vous découvert la personne que vous cherchiez, Elle est là, juste à côté de vous, C’est un homme ou une femme, C’est une femme, Elle n’a pas encore de nom, Je suppose que la famille a commandé un marbre, J’ai constaté que les familles des suicidés, plus que les autres, négligent ce devoir élémentaire, elles ont peut-être des remords, elles pensent sans doute que c’est leur faute, C’est possible, Puisque nous ne nous connaissons pas, comment se fait-il que vous répondiez à toutes mes questions, normalement vous devriez me dire que ça ne me regarde pas, C’est ma façon d’être, je réponds toujours quand on m’interroge, Vous êtes un subalterne, un subordonné, un sous-fifre, un factotum, un garçon de courses, Je suis préposé aux écritures au Conservatoire général de l’État civil, Dans ce cas, il faut absolument que vous sachiez la vérité sur le secteur des suicidés, mais auparavant vous devrez me jurer solennellement de ne jamais révéler ce secret à personne, Je le jure sur ce que j’ai de plus sacré dans la vie, Et pour vous, en ce moment, qu’y a-t-il de plus sacré dans la vie, Je n’en sais rien, Tout, Ou rien, Vous reconnaîtrez que ce serait un serment un peu vague, Je n’en vois pas d’autre qui soit plus valable, Jurez sur votre honneur, jadis c’était le serment le plus sûr, Très bien, je jurerai sur mon honneur, mais je peux vous dire que le chef du Conservatoire se tordrait de rire s’il entendait un de ses préposés aux écritures jurer sur son honneur, Entre un berger et un préposé aux écritures c’est un serment tout ce qu’il y a de plus sérieux, un serment qui ne donne pas envie de rire, nous nous y tiendrons donc, Quelle est donc la vérité du secteur des suicidés, demanda monsieur José, Qu’ici il ne faut pas se fier aux apparences, C’est un cimetière, c’est le Cimetière général, C’est un labyrinthe, Les labyrinthes sont visibles du dehors, Pas tous, celui-ci appartient à la catégorie des invisibles, Je ne comprends pas, Par exemple, la personne qui est là, dit le berger en touchant le monticule de terre avec le bout de sa houlette, n’est pas celle que vous croyez.
El hombre paró al otro lado de la tumba con la actitud inquisitiva de quien, sin pedir una explicación, cree que se la deben, y don José dijo, Buenos días, a lo que el otro respondió, Buenos días, Bonita mañana, No está mal, Me dormí, dijo después don José, Ah se durmió, repitió el hombre en tono de duda, Vine aquí para ver la tumba de una persona amiga, me senté a descansar debajo de aquel olivo y me dormí, Pasó aquí la noche, Sí, Es la primera vez que encuentro a alguien a estas horas, cuando traigo las ovejas a pastar, Durante el resto del día, no, preguntó don José, Parecería mal, sería una falta de respeto, las ovejas metiéndose por medio de los entierros o dejando cagarrutas cuando las personas que vienen a recordar a sus seres queridos andan por ahí rezando y llorando, aparte de eso, los guías no quieren que se les incomode cuando están cavando las fosas, por eso no tengo otro remedio que traerles unos quesos alguna que otra vez para que no se quejen al curador, Siendo el Cementerio General, por todos lados, un campo abierto, cualquier persona puede entrar, y quien dice personas, dice bichos, me sorprende no haber visto ni un perro o un gato desde el edificio de la administración hasta aquí, Perros y gatos vagabundos no faltan, Pues yo no encontré ninguno, Anduvo todos esos kilómetros a pie, Sí, Podía haber venido en el autobús de línea, o en taxi, o en su automóvil, si lo tiene, No sabía cuál era la sepultura, por eso tuve que informarme primero en la administración, y después, como el día estaba hermoso, decidí venir andando, Es raro que no le hayan mandado que dé la vuelta, como hacen siempre, Les pedí que me dejasen pasar, y ellos me autorizaron, Es arqueólogo, No, Historiador, Tampoco, Crítico de arte, Ni pensarlo, Investigador heráldico, Por favor, Entonces no entiendo por qué quiso hacer toda esa caminata, ni cómo consiguió dormir en medio de las sepulturas, acostumbrado estoy yo al paisaje y no me quedaría ni un minuto después de la puesta de sol, Ya ve, me senté y me quedé dormido, Es usted un hombre de valor, Tampoco soy hombre de valor, Descubrió a la persona que buscaba, Es esa que está ahí, a sus pies, Es hombre o mujer, Es mujer, Todavía no tiene nombre, supongo que la familia estará tratando lo de la lápida, he observado que las familias de los suicidas, más que las otras, descuidan esa obligación elemental, quizá tengan remordimientos, deben de pensar que son culpables, Es posible, Si no nos conocemos de ninguna parte, por qué responde a todas las preguntas que le hago, lo más natural sería que me dijese que no tengo por qué meterme en su vida, Es ésta mi manera de ser, siempre respondo cuando me preguntan, Es subalterno, subordinado, dependiente, camarero, mozo de recados, Soy escribiente de la Conservaduría General del Registro Civil, Entonces vino aposta para saber la verdad sobre el terreno de los suicidas, pero antes de que se la cuente, tendrá que jurarme solemnemente que nunca desvelará el secreto a nadie, Lo juro por lo más sagrado que tengo en la vida, Y qué es para usted, ya puestos, lo más sagrado de su vida, No sé, Todo, O nada, Tiene que reconocer que va a ser un juramento un tanto vago, No veo otro que valga más, Hombre, jure por su honra, antes era el juramento más seguro, Pues sí, juraré por mi honra, pero mire que le jefe de la Conservaduría se hartaría de reír si oyese a uno de sus escribientes jurando por la honra, Entre pastor de ovejas y escribiente es un juramento suficientemente serio, un juramento que no da ganas de reír, por lo tanto nos quedaremos con él, Cuál es la verdad del terreno de los suicidas, preguntó don José, Que en este lugar no todo es lo que parece, Es un cementerio, es el Cementerio General, Es un laberinto, Los laberintos pueden verse desde fuera, No todos, éste pertenece a los invisibles, No comprendo, Por ejemplo, la persona que está aquí, dijo el pastor tocando con la punta del cayado el montículo de tierra, no es quien usted cree.
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