Translation for "jouissif" to spanish
Translation examples
Il n’empêche : avant de le réduire en cendres, c’est intéressant de le voir de près, et jouissif de se dire que, venu de Saltov, on est arrivé là.
No obstante, antes de destruirlo es interesante verlo de cerca y agradable decirse que, procedentes de Sáltov, han llegado hasta aquí.
Il y avait quelque chose de jouissif à sentir ses pieds fouler le plancher des vaches, et puis, on pouvait toujours se brosser pour tirer au fusil quand on dégringolait à deux cents à l’heure, pas vrai ?
Era más agradable tener los malditos pies sobre la maldita tierra, y no se podía disparar un rifle cayendo por el aire a una velocidad de ciento treinta nudos, ¿no?
Chez les espèces inférieures, il n’y a même pas de différence entre les organes centraux et périphériques, ces animaux sentent et goûtent par la peau, figurez-vous que leur sensualité est uniquement épidermique – ça doit être jouissif, si on se met à leur place.
En las especies inferiores, no hay diferencias entre el sistema nervioso central y el periférico: esos animales huelen y saborean por la piel, ¡imagínese! No tienen más sentidos que el de su piel… lo cual debe de ser harto agradable, si nos ponemos en su lugar.
— Jouissif, répéta Tengo.
Divertido —repitió Tengo.
N’est-ce pas jouissif de ne pas se retenir, et de se contenter de frapper et de frapper, en s’aidant de l’attraction de la terre ?
¿No es divertido cuando no te reprimes, cuando simplemente machacas y machacas, dejando que la gravedad te ayude?
— C’était le but ! J’éclate de rire. Je me demande pourquoi, mais c’est vraiment jouissif de surprendre les gens.
—Me ha dado un ataque de risa. ¡La cara que pone! ¿Por qué será tan deliciosamente divertido asustar a la gente?
Il y a toujours quelque chose d’assez jouissif dans le cas du jeune génie éconduit par les gens en place.
Las historias de genios desdeñados por los poderosos en su juventud siempre tienen algo divertido.
Assez jouissif de penser que quelques mois d’un bavardage inconséquent, destiné à une bande d’enfants insomniaques et à un chien épileptique, dactylographié par une secrétaire sans nuance, posté par une commissionnaire irresponsable, suffisent à faire saliver un dragon de l’édition.
Es bastante divertido pensar que unos meses de charla inconsecuente, destinada a una pandilla de niños insomnes y a un perro epiléptico, mecanografiada por una secretaria sin matices, enviada por una mensajera irresponsable, bastan para que a un dragón de la edición se le haga la boca agua.
Mme Stöhr en particulier, dont le visage écarlate et stupide, aux joues gercées, émergeait d’une collerette à volants, affichait une loquacité presque turbulente et s’étendait sur les délices de la toux : oui, quoi de plus délectable et jouissif que d’avoir au fond de la poitrine un chatouillement de plus en plus fort et vif, qu’on réprimait par les convulsions et les pressions d’une toux bien profonde, pour calmer l’irritation.
La señora Stöhr, con aquella enrojecida cara de tonta, enmarcada por el cuello de volantes de la blusa, y aquellas mejillas llenas de arrugas, se mostró de un hablador que rayaba en la desmesura y se deshizo en detalles acerca del placer de toser; es más: sostenía que era verdaderamente divertido y gustoso sentir cómo rebullía y aumentaba el cosquilleo en las profundidades del pecho, al tiempo que uno, con sumo esfuerzo, ejercía toda la presión que podía en la zona para contenerlo;
– Le plus jouissif, mon bon Joseph, c’est qu’à force de monologuer Lapietà leur a fourni le texte du rap.
—Lo más gracioso, mi buen Joseph, es que, a fuerza de monologar, Lapietà les ha regalado el texto del rap.
J’avais recommencé à penser à Curt : comme il serait jouissif de lui faire subir le même sort qu’à la nouvelle victime − de le regarder crier, se débattre, jusqu’à ce que la charge électrique brûle un cratère énorme dans sa chair.
Volví a pensar en Curt y en la satisfacción que sentiría electrocutándolo como le habían hecho a la mujer muerta, mirándolo chillar y retorcerse hasta que el cable le hiciera un buen cráter en la carne.
Que mon premier réflexe fut de laisser Hadouch, Mo, Simon et Julie tétanisés sur le trottoir pour foncer dans notre chambre, défaire ma valise en quatrième vitesse, ranger mes affaires avec une fébrilité de marmot qui planque sa bêtise sous le tapis, jeter le sac à dos dans le panier à linge sale, dissimulation imbécile qui ajoutait à ma honte dans des proportions inouïes, regarde-toi, mais regarde-toi, regarde-toi, merde piteuse, à gommer les traces de ton insatiable parano, au lieu de te soucier de Thérèse, de ce qui arrive à Thérèse, de ce qu'a bien pu faire Thérèse pour qu'on vienne lui passer les menottes devant toi – les menottes ! devant toi ! Thérèse ! –, chiure de toi, à ranger ta chambre, là, pour ne pas paraître ce que tu es, sors les bouquins du panier au moins, comment vas-tu expliquer à Julie la présence de saint Jean de la Croix dans le linge sale, sors-les de là, fourre-les sous le lit, lecture pour l'hiver, je ne sais pas moi, mais d'où lui venait cet invraisemblable rayonnement, est-ce jouissif à ce point d'assassiner son mari le lendemain de ses noces, écrasé dans sa cage d'escalier, dieu de Dieu, défenestré autant dire, jeté d'en haut, basculé dans le vide, Thérèse, non, évidemment non, pas Thérèse, mais qu'est-ce qu'elle foutait ce soir-là, rue Quincampoix, quand je la croyais occupée à brûler vive dans sa caravane, et si guillerette le lendemain, si bouffie de plaisir, si désinvolte dans la chronique de ses noces helvétiques, et Titus, « c'est plus grave que tu le crois ! », mais je suis prêt à tout croire, moi, sauf Thérèse capable de prendre un conseiller référendaire de première classe par les chevilles – fût-il son mari – pour le basculer par-dessus la rambarde de son hôtel particulier et rentrer à la maison rassasiée de bonheur après avoir vu – et entendu, surtout, entendu ! – son corps s'écraser vingt mètres plus bas sur le marbre de ses ancêtres, non, pas Thérèse, ou alors nos sœurs ne sont pas nos sœurs, mais qui es-tu toi, Malaussène, à ranger ta piaule comme un malade au lieu de redescendre tirer des plans avec les autres, qui veux-tu être ?
Lamentable hasta el punto de… Que mi primer reflejo fue dejar a Hadouch, Mo, Simon y Julie petrificados en la acera para correr a nuestra habitación, deshacer mi maleta en cuarta velocidad, guardar mis cosas febril como un mocoso que esconde su tontería bajo la alfombra, tirar la mochila en el cesto de la ropa sucia, imbécil disimulo que llevaba mi vergüenza a proporciones inauditas, mírate, pero mírate de una vez, mírate, acongojado de mierda, borrando los rastros de tu insaciable paranoia en vez de preocuparte por Thérèse, por lo que le pasa a Thérèse, por lo que ha podido hacer Thérèse para que vengan a ponerle las esposas ante tus narices —¡las esposas!, ¡ante tus narices!, ¡a Thérèse!—, qué cagarruta, ordenando tu habitación, ahí, para no parecer lo que eres, saca los libros del cesto al menos, cómo vas a explicarle a Julie la presencia de san Juan de la Cruz en la ropa sucia, sácalos de ahí, mételos debajo de la cama, lectura para el invierno, qué sé yo, pero de dónde salía ese inverosímil fulgor, tan gozoso es asesinar al marido al día siguiente de las bodas, aplastado en el hueco de la escalera, ¡copón bendito!, defenestrado como quien dice, caído de arriba, precipitado al vacío, Thérèse, no, evidentemente no, Thérèse no, pero qué estaba buscando ella, aquella noche, en la calle Quincampoix, mientras yo la creía abrasándose viva en su caravana, y tan vivaracha al día siguiente, tan ahíta de placer, tan desenvuelta en la crónica de sus bodas helvéticas, y Titus, «¡es más grave de lo que piensas!», pero yo estoy dispuesto a creerlo todo, salvo que Thérèse es capaz de agarrar a un consejero refrendario de primera clase por los tobillos —por muy marido que le sea— para echarlo por la barandilla de su mansión particular y regresar a casa saciada de felicidad tras haber visto —¡y oído, sobre todo oído!— su cuerpo aplastándose veinte metros más abajo en el mármol de sus antepasados, no, Thérèse no, o nuestras hermanas no son nuestras hermanas, pero quién eres tú, Malaussène, arreglando tu cuchitril como un enfermo en vez de bajar y hacer planes con los demás, ¿quién quieres ser?, mírate, estás haciendo, efectivamente, tu piltra, Malaussène, bien lisa, como un buen soldado, como forjándose una inconsciencia, y estás clasificando cuidadosamente los libros en los anaqueles de la biblioteca, las novelas con las novelas, poesía, teatro, ciencias sociales, filosofía, religiones, ¿y La especie humana, de Robert Antelme, donde pongo La especie humana?
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