Translation for "joufflu" to spanish
Translation examples
L'eau lissait son visage joufflu.
Su rostro regordete tenía una suave película de humedad.
Un homme joufflu se tenait dans un angle de l’ascenseur.
Había un hombre regordete de pie en un rincón del ascensor.
Le bébé joufflu était chaud et agréablement pesant ;
El pequeño regordete estaba calentito y resultaba agradablemente pesado;
Il l’aida à se relever. Le gamin joufflu se remit à pleurer.
El niño regordete comenzó a lloriquear de nuevo.
Charlie, un petit bonhomme joufflu, était la prunelle des yeux de sa mère.
Charlie era regordete y el ojito derecho de su madre.
Et ce n’était plus le visage joufflu du brave Willie que j’avais sous les yeux à présent.
Y no era ya la cara regordeta del primo Willie la que contemplaba.
Certaines des plus anciennes, très ouvragées, s'ornaient de chérubins joufflus.
Algunas de las lápidas más antiguas estaban profusamente decoradas, con querubines regordetes y eso.
— Tu sais que c’était moi, le petit môme rondelet et joufflu des feuilletons de Dieterling, il y a bien longtemps ?
- Sabes que yo era el niño regordete de las series de Dieterling en otros tiempos.
Tout comme Jim, elle avait du mal à concevoir que ce bébé blond et joufflu soit le leur.
Igual que a Jim, le costaba creer que esa niña regordeta, blanca y rubia fuese suya.
— Elle est joufflue et effrontée.
—Es gordita y descarada.
La dernière fois, il était beaucoup plus vieux et joufflu.
La última vez tenía un aspecto muy diferente, más viejo y gordito.
Y’en a un qui flippe un peu, un gars rondouillard, jeune, encore tout joufflu.
Uno de ellos tiene un poco de miedo; es gordito y joven, pero todavía un tanto bola de billar.
Elle trône sur la chaise en or et en damas cramoisi du chœur, elle me tient dans ses bras, on a reçu l’hommage des paroissiennes, leurs prières, leurs cantiques à peine murmurés pour que les autres n’entendent pas car les autres sont des envieuses, on nous allume des cierges, on nous entoure de fleurs, Inés prosternée parmi les autres vieilles qui nous demandent des choses, faites-nous passer notre rhumatisme, faites qu’on nous donne des haricots au lieu de pois chiches la semaine prochaine, qu’on relâche Rafaelito qui est en prison pour l’escroquerie qu’on dit que ce petit a commise, mais comment a-t-il pu faire ça alors que c’était un si bon petit quand je l’élevais et il avait les cheveux couleur de maïs tendre, regardez, j’ai sa mèche ici si vous ne voulez pas me croire, un salve pour que la mère Benita ne nous découvre pas, un credo pour que l’enfant grandisse dans la sainteté, un paternoster pour qu’il ne sorte jamais de cette maison, et les vieilles prient et cousent et chantent autour de nous, on a amené le lit et le berceau, on a tout transporté à la chapelle, car comme on est si nombreuses maintenant, on ne tient plus dans la cave, on prie, mais on joue aussi, dans ce tripot que nous présidons, Iris et moi, parmi les saints en plâtre rapetassés et repeints : oui, des salve, des credo, mais aussi les cornets où l’on agite les dés, les jetons à terre car il n’y a pas de tables et si l’on veut jouer, il faut bien jouer ici car la mère Benita ne nous laisserait pas jouer si tard dans la cuisine, parce qu’on dépense beaucoup d’électricité et l’archevêque n’envoie pas d’argent pour payer les factures, mais misiá Inés, qui est si brave et si dévote d’Iris dont elle dit qu’elle ne s’appelle pas Iris Mateluna mais la bienheureuse Inés de Azcoitía, nous donne beaucoup de sous pour sortir emmitouflées dans nos châles, si tant est qu’il nous reste un châle que misiá Inesita ne nous ait pas gagné au canodrome, pour acheter des bouquets de fleurs fraîches, des plus chères, et tant et plus de cierges et tout ce dont on peut avoir besoin pour le culte de la bienheureuse qui n’était pas morte, et maintenant elle l’a trouvée pour nous rendre toutes heureuses, ce qu’il est maigrelet, le petit de la bienheureuse qu’elle tient dans ses bras, moi je croyais que les enfants saints étaient tout joufflus et blonds comme dans les tableaux des peintres, mais celui-ci est bien noiraud, ça n’a pas d’importance, le fait est que c’est un enfant miraculeux conçu sans tache et sans péché, comment ça ne serait pas un miracle, mais on ne va le raconter à personne, c’est Brígida qui nous a donné le conseil et elle avait raison, on va s’en occuper rien qu’entre nous, sans le montrer à personne, et tout lui faire nous-mêmes, moi je serai ses bras, toi sa bouche, elle ses pieds, ce qu’il est mignon, mon enfant, dit Iris, ce qu’il est mignon, l’enfant de la sainte-enfant à qui les gens de Rome n’ont pas cru, mais vous pouvez vous rendre compte de vos propres yeux que la bienheureuse a fait ce miracle de plus, et son enfant va faire le plus grand de tous les miracles, supprimer pour nous les affres de la mort : par son ordre nous ne mourrons pas, mais quand il en décidera nous grimperons, toutes celles qui l’auront servi, au complet, dans un carrosse blanc tiré par trois paires de chevaux harnachés avec des panaches, des caparaçons et des rênes blanches, pour monter au ciel… vous n’avez qu’à attendre, un de ces jours les envieuses et les curés hérétiques de Rome ne trouveront plus aucune de nous à la Maison, quand la bienheureuse, avec son fils né sans qu’aucun homme lui ait fait la cochonnerie, nous auront emmenées au ciel, quoique je pense, Rosa, que ça serait beaucoup plus chouette que tout le monde nous voie, ce n’est pas votre avis, misiá Inés, que toutes les autres, les envieuses que l’enfant ne sauvera pas, le père Azócar, la mère Benita et les voisins nous disent au revoir en chantant à la porte de la Maison et qu’on le transmette à la radio comme les messes et les matches de football, et avec l’enfant un peu plus grandet tenant dans ses mains les rênes blanches des chevaux blancs, et nous autres avec notre baluchon sur l’épaule, grimpées dans le carrosse blanc, il faudra qu’il soit grand car nous sommes beaucoup, on n’est plus sept comme au début, montant, montant dans une pluie de pétales, faisant au revoir à toutes les autres avec beaucoup de regret de ne pas pouvoir les emmener, mes petites, ce n’est pas la bonne volonté qui nous manque mais dans le carrosse il n’y a place que pour nous.
Entronada en la silla de oro y damasco carmesí del presbiterio, conmigo en brazos, recibimos las reverencias de las feligresas, sus oraciones, sus cánticos apenas susurrados para que las otras no oigan porque las otras son unas envidiosas, encienden cirios, nos rodean de flores, Inés prosternada entre las demás viejas que nos piden cosas, que se me pase el reuma, que nos den porotos en vez de garbanzos la semana que viene, que a Rafaelito lo suelten de la cárcel por la estafa que dicen que el niño hizo, pero cómo la va a haber hecho si era tan bueno de niño cuando yo lo criaba y tenía el pelo color de choclo, miren, aquí lo tengo para que me crean, una salve para que la madre Benita no nos descubra, un credo para que el niño crezca santo, un padrenuestro para que nunca salga de esta casa, y las viejas rezan y cosen y cantan alrededor nuestro, hemos traído la cama y la cuna, todo lo hemos trasladado a la capilla porque como ahora somos tantas las viejas ya no cabemos en el sótano, rezamos pero también jugamos en este garito que la Iris y yo presidimos entre los santos de yeso pegoteados y repintados: sí, salves y credos, pero también los cubiletes en que se agitan los dados, las fichas en el suelo porque no hay mesas y si queremos jugar tenemos que jugar aquí porque la madre Benita no nos dejaría jugar en la cocina hasta tan tarde porque se gasta mucha luz y el arzobispo no manda plata para pagar las cuentas, pero misiá Inés que es tan buena y tan devota de la Iris que ella dice que no se llama Iris Mateluna sino que es la beata Inés de Azcoitía, nos da mucha plata para que salgamos embozadas en nuestros chales si es que nos queda un chal que misiá Inesita no nos haya ganado en el canódromo, para comprar ramos de flores frescas, de las más caras, y cirios y más cirios y todas las cosas que necesitemos para el culto de la beata que sobrevivió y ahora ella la ha descubierto para que seamos todas felices, tan flacuchento este chiquillo que la beata tiene en brazos, yo creía que los niños-santos eran gorditos y rubios como en los cuadros de pintura, pero éste es morenito, no importa, la cosa es que es un niño milagroso concebido sin mancha y sin pecado, cómo no va a ser milagro, pero no le vamos a contar a nadie, ése fue el consejo de la Brígida y tenía razón, para cuidarlo entre nosotras no más sin enseñarle nada y nosotras hacerle todo, yo sus brazos, tú su boca, ella sus pies, si es lindo mi niño dice la Iris, lindo el niño de la niña-beata en que los de Roma no creyeron pero ustedes están comprobando con sus propios ojos que la beata ha hecho este milagro más, y su hijo va a hacer el milagro más grande de todos al suprimir para nosotras el trance de la muerte: por orden de él no moriremos, sino que, cuando él lo disponga, nos vamos a encaramar, toditas las que lo hemos servido, en una carroza blanca tirada por tres pares de caballos enjaezados con penachos y manteletas y riendas blancas para subir al cielo… espérense no más las envidiosas y los curas herejes incrédulos de Roma, uno de estos días no van a encontrar a ninguna de nosotras en la casa porque la beata junto con su hijo nacido sin que ningún hombre le haya hecho la cochinada nos llevarán al cielo, aunque yo creo, Rosa, que sería mucho más lindo que todos nos vieran, no le parece a usted, misiá Inesita, que todas las otras, las envidiosas que el niño no salvará, y el padre Azócar, y la madre Benita, y los vecinos nos despidan cantándonos aquí en la puerta de la casa y que lo transmitan por la radio como las misas y los partidos de fútbol, y el niño un poco más crecidito llevando en sus manos las riendas blancas de los caballos blancos, nosotras con nuestros sacos al hombro encaramadas en la carroza blanca que tendrá que ser amplia porque somos muchas no siete como al principio, subiendo, subiendo entre una lluvia de pétalos, despidiéndonos de todas las demás con mucha pena pero no podemos llevarlas, chiquillas, voluntad no falta, pero no cabemos más que nosotras en la carroza.
demanda l’homme joufflu. – Oh !
—preguntó el hombre rechoncho.
Un simple membre de l’équipe, semblait dire son visage joufflu. — Oui, dit-elle.
«Eres miembro del equipo», pareció decirle su cara rechoncha—.
« Je m'appelle Jim Skarwold, » se présenta un homme blond joufflu en tenue d'interne.
–Yo soy Jim Skarwold -le dijo un hombre rubio y rechoncho con uniforme de interno-.
Hen Wen, soufflant et gloussant, arbora un large sourire sur sa face joufflue.
Hen Wen, resoplando y gruñendo, su rechoncho rostro hendido por una sonrisa.
C’est une petite rondouillarde et joufflue, avec une expression amère sur le visage, mais elle s’efforce de sourire.
Es chaparrita, rechoncha y mofletuda, con una expresión amarga en el rostro, pero hace un rictus, especie de sonrisa.
Vous prenez un nouveau-né, trente-cinq centimètres de vulnérabilité et d’innocence joufflue.
Pongamos por caso un niño recién nacido, un palmo largo de inocencia indefensa y rechoncha.
Carla avait ses cheveux bruns et ses yeux verts, mais elle ressemblait plus à une poupée joufflue qu’à une statue.
Carla tenía el mismo pelo oscuro y los ojos verdes, pero parecía más una muñeca rechoncha que una estatua.
Au dernier étage, il rencontra un gros homme joufflu qui descendait lentement l’escalier, en se frottant les mains.
En el último tramo alcanzó a un hombre rechoncho que bajaba lentamente, frotándose las manos.
Dans la face joufflue à la barbe touffue, les yeux rougis brillaient dans la pénombre comme ceux d’un démon.
Tenía la cara rechoncha, la barba frondosa, los ojos todavía irritados y le miraba como un demonio en la oscuridad.
Il paraissait joufflu et naïf ; on avait l'impression d'un tout jeune homme qui souriait perpétuellement.
La impresión general que producía era la de un hombre rechoncho y bastante infantil, de un joven con cara adornada de ancha y constante sonrisa.
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