Translation for "jess" to spanish
Translation examples
— Je connais déjà la réponse de Jessie.
lo que diría Jessie.
Une brute, une brute braillarde et vulgaire, voilà ce que tu es devenu ! – Sois gentille, Jessie !
Un matón, un matón pendenciero y vulgar: eso es lo que te has vuelto. — buena, Jessie. —¡Un matón escandaloso y lleno de furia!
— Je ne sais pas du tout comment Jessie va prendre la chose, fit Baley, indécis.
Lije Baley permaneció indeciso, sin atinar a nada. - No realmente lo que Jessie dirá de todo esto.
Crois-moi, Jess, mieux vaut te protéger de ce genre d’aventure. — Je ne sais pas. Tu as peut-être raison.
Créeme, Jess, no quieres ser parte de eso. —No lo —dije—. Me supongo que no.
— Tu ne peux pas me demander de rester sans réagir, Jess, a-t-il plaidé. — J’en suis consciente. T’inquiète, nous allons agir. Seulement, nous ne toucherons pas à Randy.
"No puedo sentarme y no hacer nada acerca de este tipo, Jess", dijo Rob. "Ya lo ," dije. "Y no vamos a estar haciendo nada. Solo no vamos a hacerle daño.
Jess et moi jouons au basket ensemble depuis trois ans et mon épaule lui sert de repose-tête depuis deux, mais j’ai honte de dire que je ne sais pas grand-chose d’elle.
Jess y yo llevamos más de tres años jugado basquetbol juntas, y lleva más de dos poniendo su cabeza en mi hombro, pero me avergüenza admitir que no mucho sobre ella.
— C’est Robson qui m’avait donné ce nom-là… Il ne disait pas « mon ange » ce qui est banal, mais « l’Ange »… Je ne sais pas si vous saisissez la nuance… Bessie… Non, Jessie était toute jeune… Je me demande si elle avait dix-huit ans.
—Fue Robson quien me dio ese nombre… No decía «mi ángel» que es una frase vulgar, sino «el Ángel»… No si usted se da cuenta del matiz… Bessie… No, Jessie era muy joven… No creo que tuviera siquiera dieciocho años.
— Ronald a dû être averti par quelqu’un, je crois que je sais par qui… Ce matin, je venais de sortir quand il est arrivé à l’improviste… Il y avait encore les pyjamas et la robe de chambre d’Enrico dans la penderie… La scène a dû être terrible… Ronald est le type qui reste calme dans les circonstances les plus difficiles, mais je n’ose pas imaginer ses colères… Quand je suis rentrée, à deux heures de l’après-midi, la porte était fermée… Un voisin m’a entendue frapper… Jessie, avant de partir, était parvenue à lui laisser une lettre pour moi… Je l’ai dans mon sac…
—Alguien, creo que quién, debió de contárselo a Ronald… Esta mañana, acababa yo de salir, cuando ha llegado de improviso… Aún estaban el pijama y la bata de Enrico en el ropero… La escena ha debido de ser terrible… Ronald es el tipo de persona que permanece tranquila en las circunstancias más difíciles, pero no me… atrevo a imaginar sus cóleras… Cuando he vuelto, a las dos de la tarde, la puerta estaba cerrada… Un vecino me ha oído llamar… Jessie, antes de marcharse, había podido dejarle una carta para mí… La llevo en el bolso…
ou si je le sais, je ne souhaite pas le raconter, du moins pas pour le moment, nous verrons plus tard — quand Muriel était absent, en repérage à l’extérieur, en quête de subventions ou en train de tourner le seul de ses films qui coïncida avec mon temps passé à son service, ce fameux projet purement alimentaire avec le producteur anglais Towers, quand il tenta à nouveau sa chance en Espagne, après ses films du docteur Fu Manchu, de Dracula, de Sumuru et du marquis de Sade qui remontaient aux années soixante et soixante-dix, avec presque toujours Jesús Franco ou Jess Frank comme réalisateur, et Muriel lui-même en tant qu’éventuel suppléant (même s’il s’investissait comme si au départ l’idée était sienne, convaincu que de sa main et de son œil finirait par sortir une œuvre personnelle et plutôt artistique).
o si lo no quiero contarlo o no todavía, más adelante ya veremos—, cuando Muriel estaba fuera, localizando exteriores o viajando a la caza de financiación o rodando la única película suya con la que coincidí mientras estuve a sus órdenes, aquel proyecto alimenticio con el productor inglés Towers cuando volvió a probar suerte en España tras sus cintas de Fu Manchú y de Drácula y de Sumurú y del Marqués de Sade en los sesenta y setenta, con Jesús Franco o Jess Frank como director casi siempre y el propio Muriel en alguna suplencia (pero este se involucraba tanto como si se le hubiera ocurrido a él la idea y se convencía de que su mano y su ojo acabarían sacando una obra personal y bastante artística);
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