Translation for "je savais que le nom" to spanish
Je savais que le nom
Translation examples
yo sabia el nombre
Je ne savais pas son nom et elle ne me demandait pas le sien.
No sabía su nombre y ella no me preguntaba el mío.
Je ne savais pas le nom des autres bâtiments sinistrés.
No sabía los nombres de los demás edificios destruidos.
Je ne savais pas son nom – Stephen ou Eben, ou peut-être Claude – et je n’avais pas envie de le demander.
No sabía su nombre —Stephen, Eben o Claude, acaso—, y no me molesté en preguntárselo.
Comme je ne savais pas quel nom elle utilisait maintenant, je mis en en-tête : « Chère petite Péruvienne ».
Como no sabía qué nombre utilizaba ahora, me limité a encabezar la carta así: «Querida peruanita».
Je savais seulement leur nom et pas grand-chose d’autre, l’un était étudiant en lettres et l’autre essayait de terminer ses études de géographie.
De su vida sabía sus nombres y poco más, que uno estudiaba Hispánicas y que el otro intentaba acabar Geografía.
Jamais, de toute ma vie, je ne m’étais senti aussi proche de quelqu’un que, cet après-midi-là. Mais ce que je ressentais était tellement plus grand, tellement confus, que je ne savais comment le nommer.
Nunca en mi vida me había sentido tan cerca de nadie como me sentí aquella tarde de Pepe el Portugués, pero lo que me pasaba era todavía más grande, y tan confuso que no sabía qué nombre ponerle.
Pas le temps d’appeler un médecin (mais quel médecin à trois heures du matin, les médecins ne se dérangent même plus aux heures des repas), ni d’avertir un voisin (mais quel voisin, je n’en connaissais aucun, je n’étais pas chez moi et n’étais jamais venu dans cette maison où j’étais un invité et à présent un intrus, ni même dans cette rue, rarement dans ce quartier, longtemps auparavant), ni d’appeler son mari (mais comment pouvais-je appeler son mari, d’ailleurs il était en voyage et je ne savais pas son nom complet), ni de réveiller l’enfant (mais pourquoi aurais-je réveillé l’enfant, après tout le mal qu’on avait eu à l’endormir), ni même d’essayer de lui porter secours moi-même, elle s’était brusquement sentie mal, au début j’ai pensé ou nous avons pensé que le repas ne passait pas avec toutes ces interruptions, ou j’ai pensé qu’elle était peut-être en train de déprimer ou de se repentir ou qu’elle avait eu peur, ces trois choses prennent souvent la forme du malaise et de la maladie, la peur, la dépression et le repentir, surtout si ce dernier apparaît simultanément aux actes qui le provoquent, tout à la fois, un oui, un non, un peut-être, et pendant ce temps tout a continué et a passé, le malheur de ne pas savoir et de devoir agir parce qu’il faut bien donner un contenu au temps qui presse et passe sans nous attendre, nous allons plus lentement : décider sans savoir, agir sans savoir et donc en prévoyant, le plus grand et le plus commun des malheurs, prévoir ce qui vient après, perçu généralement comme le moindre des malheurs, mais perçu par tout le monde, chaque jour.
No a llamar a un médico (pero a qué médico a las tres de la madrugada, los médicos ni siquiera a la hora de comer van ya a las casas), ni a avisar a un vecino (pero a qué vecino, yo no los conocía, no estaba en mi casa ni había estado nunca en aquella casa en la que era un invitado y ahora un intruso, ni siquiera en aquella calle, pocas veces en el barrio, mucho antes), ni a llamar al marido (pero cómo podía llamar yo al marido, y además estaba de viaje, y ni siquiera sabía su nombre completo), ni a despertar al niño (y para qué iba a despertar al niño, con lo que había costado que se durmiera), ni tampoco a intentar auxiliarla yo mismo, se sintió mal de repente, al principio pensé o pensamos que le habría sentado mal la cena con tantas interrupciones, o pensé yo solo que quizá se estaba ya deprimiendo o arrepintiendo o que le había entrado miedo, las tres cosas toman a menudo la forma del malestar y la enfermedad, el miedo y la depresión y el arrepentimiento, sobre todo si este último aparece simultáneamente con los actos que lo provocan, todo a la vez, un sí y un no y un quizá y mientras tanto todo ha continuado o se ha ido, la desdicha de no saber y tener que obrar porque hay que darle un contenido al tiempo que apremia y sigue pasando sin esperarnos, vamos más lentos: decidir sin saber, actuar sin saber y por tanto previendo, la mayor y más común desgracia, previendo lo que viene luego, percibida normalmente como desgracia menor, pero percibida por todos a diario.
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