Translation for "je lançai" to spanish
Je lançai
  • yo tiraba
  • yo estaba tirando
Translation examples
yo tiraba
Je lui lançais sa dernière friandise et je m’éloignais.
Le tiraba el último pedazo de suricata y me iba.
— Comme tu lançais des chats crevés et d’autres ordures ?
—¿Igual que le tirabas gatos muertos y otras porquerías?
À l’école, je lançais mon crayon sous le bureau de la prof afin d’y ramper et de pouvoir reluquer ses jambes.
En el colegio, tiraba el lápiz bajo la mesa de la profesora para arrastrarme debajo y mirarle las piernas.
Lorsqu’il ne se laissait plus prendre aux stratagèmes de Linda, elle tirait si fort et si résolument sur le mors que sa mauvaise volonté était prise au dépourvu. — Bravo, tu y arrives bien ! lançai-je à Heidi.
Cuando el burro ya no se dejaba engañar por el truco del chasquido, Linda tiraba con tanta fuerza y decisión de las riendas que el animal no podía oponer resistencia. —¡Qué bien montas! —le grité a Heidi.
Lorsque, dans cette quête désespérée, je ramassais l’un de ces livres ordinaires qui traînaient dans le château et que j’entreprenais de le lire pour me distraire un peu, ce que j’avais sous les yeux me semblait tellement fade et nul qu’au bout de quelques phrases je le lançais avec rage contre le mur.
Cuando, en aquella búsqueda desesperada, recogía alguno de los libros habituales que había aquí o allá por el palacio, y me lo leía para distraerme un poco, encontraba la lectura tan insípida e insustancial que, al cabo de unas frases, lo tiraba furioso contra la pared.
Une heure après, j’étais toujours là, je lançais des assiettes en carton à travers la pièce et c’était moi qui gueulais le plus fort. Au milieu de la nuit, un vent violent s’est levé, les plus balèzes étaient encore debout et j’étais assis par terre à côté d’une fille que je connaissais pas, ça faisait un moment que j’attendais qu’elle me drague.
Al cabo de una hora seguía allí, tiraba platos de cartón al aire y era el que más bulla metía. Ya muy avanzada la noche, se levantó un fuerte viento. Los más hachas aún seguían en pie y yo estaba sentado en el suelo, al lado de una chica a la que no conocía, y con la que hacía un buen rato intentaba ligar.
Les mains nouées, que j’étais parvenu à écarter d’une quinzaine de centimètres, je cherchai la boîte de cigares et faillis crier quand j’entendis la Momie dire au téléphone “D’accord, je vous rappelle dans une demi-heure”. J’eus l’impression qu’il voulait couper la communication parce qu’il était pressé de me découper, mais son interlocuteur le menaça de quelque chose et il se vexa qu’on ait mis sa parole en doute, et moi, qui avais enfin atteint la boîte de cigares et libéré une main dans le dos tout en faisant semblant de dormir, je me rendis compte que je ne savais pas laquelle des deux contenait le pistolet, car j’avais enlevé la cellophane des deux et la Momie refermait son téléphone portable en même temps que je lançais mentalement une pièce de monnaie en l’air, que je revoyais retomber dans mon esprit, rouler dans mes souvenirs d’enfance, dévier en rencontrant un os-souvenir mal enterré, “Laika, tu fais chier”, et disparaître entre un amour d’adolescence et le nom d’Elle. J’en ouvris une au hasard pendant qu’ils se retournaient tous les deux, son couteau et lui.
Con las manos todavía sujetas, logré separarlas unos quince centímetros y rebusqué en la mochila la caja de puros y casi grito cuando El Muerto dijo al teléfono «Vale, le llamo en media hora» y pareció que iba a cortar para empezar a cortarme, pero entonces el otro lo amenazó con algo y él se ofendió por la duda y yo, que por fin toqué la caja de puros y pude soltarme una mano mientras las dos seguían detrás y me hacía el dormido, descubrí que no sabía cuál de las cajas era la de la pistola porque a las dos les había quitado el celofán y El Muerto ya cerraba el teléfono móvil a la vez que yo tiraba mentalmente una moneda al aire, la veía caer en mi mente, rodar entre recuerdos de la infancia, desviarse al topar con un hueso-recuerdo mal enterrado, «Laika, me cago en tu madre», y perderse de vista entre un amor de adolescencia y el nombre de Ella.
yo estaba tirando
Elle se précipita sur moi pour m’en empêcher et nous nous battîmes à coups de poing, mais j’étais le plus fort : je me libérai et lançai ses vêtements par la fenêtre.
Llegó corriendo para detenerme, forcejeamos, empujando y tirando, pero yo era más fuerte, conseguí que soltara su presa y tiré sus ropas por la ventana.
— Tu ne m’avais jamais dit que tu lançais un magazine littéraire, dit Larry, manœuvrant pour se dégager, et manquant faire perdre l’équilibre à l’homme de l’Iowa qu’il repoussait.
—No me habías contado que pensabas montar una revista literaria —dijo Larry, procurando escabullirse de los brazos de Cohen, casi tirando al suelo al abandonado hombre de Iowa.
Passant par la cuisine pour sortir dans le jardin, je lui lançai un salut, et bien qu’elle ne me le rendît pas, je sentis une parenté avec celle qui, comme moi, avait été en partie courtisée et conquise par les fruits Patimkin.
Le dije hola cuando salí por la puerta trasera y, aunque no me contestara, me sentí vinculado con ella, como persona también cortejada y seducida por la fruta de los Patimkin. En el jardín trasero estuve un rato tirando a canasta;
Je vidai cette tasse d’or jusqu’à la dernière goutte, suçant le trou pour attraper toute humidité qui y serait restée. Je fis « Ahhhhhh ! », lançai la canette par-dessus bord et en pris une autre.
Apuré hasta la última gota de la lata, chupando el agujero para atrapar la humedad restante. —¡Ahhhhhh! —suspiré, tirando la lata por la borda. Entonces cogí otra lata.
Plus tard, pendant que je lançais des avions en papier avec les autres vilains garçons et vilaines filles dans la salle de colles (où, finalement, on s’amusait pas mal), j’arrivai à la conclusion que c’était très simple : Miss Margitan n’aimait pas les garçons.
Más tarde, tirando aviones de papel con los demás castigados y castigadas (resultó que no era tan grave), llegué a la conclusión de que era muy sencillo: a la señorita Margitan no le gustaban los niños.
Ils m’avaient l’air surtout intéressés par les poissons, mais je lançais toujours mes appâts, un de ces volatiles finirait bien par passer à notre portée, ce qui arriva effectivement, quand l’un d’eux s’enhardit à poursuivre un morceau que le courant portait vers nous.
Sospeché que estaban más interesados por los peces pero seguí tirando carnada, a ver si alguno se ponía a tiro, lo que sucedió poco después, cuando uno de ellos se atrevió a seguir un pedazo de pan empujado por la corriente hacia nosotros.
Non, je lui avais fait honte, jamais elle ne s’était sentie aussi gênée, c’étaient ses meilleurs amis et moi, son homme, celui dont elle avait dit tant de bien, je leur lançais des boulettes de papier et des propos insultants, sans pouvoir me maîtriser. À mon tour j’étais furieux.
No, yo la había dejado en ridículo, nunca en su vida se había sentido tan avergonzada, los invitados eran sus mejores amigos y allí estaba yo, su hombre, del que ella había hablado tan bien, tirando bolitas de papel a la gente, insultándoles, sin ningún tipo de autocontrol. Me cabreé.
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