Translation for "jardineries" to spanish
Translation examples
Je rédige une liste et je vais à la jardinerie faire des emplettes.
Hago una lista y me voy al centro de jardinería para comprar lo que necesito.
Quelques jours plus tôt, elle avait fait trente kilomètres jusqu’à la jardinerie la plus proche pour acheter un plant de romarin.
Unos días antes, había recorrido treinta kilómetros hasta el centro de jardinería más cercano para comprar una mata de romero.
Elle n'imaginait pas qu'on puisse trouver de telles plantes à la jardinerie du coin. Plutôt chez un pépiniériste spécialisé.
No creía que aquellas plantas se vendieran en el centro de jardinería de la ciudad. Seguro que las vendían cultivadores especializados.
J’ai une vie qui fonctionne bien, mes fils, mon jardin… Ce n’est peut-être pas très glamour, mais je ne suis plus une gamine, je n’ai pas besoin d’un amour fou, je me porte très bien comme ça.
Tengo una vida que funciona, mis hijos, el centro de jardinería… Y no quiero parecer aburrida, pero ya soy mayor y estoy muy tranquila así, sin necesidad de complicarme con una relación tormentosa.
Et voilà que maintenant les buveurs de bière perdaient leur aplomb et donnaient des signes de faiblesse – le patron de la banque, l'ostéopathe, le grand type à moustaches qui dirigeait la jardinerie...
Y ahora los bebedores de cerveza estaban perdiendo el dominio de sí mismos y empezaban a parecer debilitados... el propietario del banco, el quiropráctico, el corpulento caballero con mostacho que dirigía el centro de jardinería...
Je parcourus donc ces rues à flanc de coteau, je vis une église, un campus universitaire, des immeubles de bureaux, des maisons d’habitation, le fleuriste d’une jardinerie et un magasin où l’on ne vendait plus rien : derrière les vitrines, des femmes et des hommes étaient à des ordinateurs.
Las recorrí y vi una iglesia, el campus de una universidad, bloques de oficinas, viviendas, la floristería de un centro de jardinería y una tienda tras cuyo escaparate, en lugar de productos, había varias mujeres y hombres trabajando con ordenadores.
Mais ensuite tout s’est arrangé, parce que Mère a trouvé un travail de caissière dans une jardinerie et que le médecin lui a prescrit des comprimés à prendre tous les matins pour qu’elle ne soit plus triste, seulement des fois, ça lui donnait le vertige et elle tombait si elle se levait trop vite.
Pero entonces todo fue bien porque Madre encontró un trabajo de cajera en un centro de jardinería, y el médico le dio píldoras para que se las tomara cada mañana para evitar sentirse triste, sólo que a veces la dejaban un poco aturdida y se caía si se levantaba demasiado rápido.
Le lendemain, c’était samedi et il n’y a pas grand-chose à faire le samedi, sauf quand Père m’emmène faire du bateau sur le lac ou à la jardinerie. Mais ce samedi-là, l’Angleterre jouait contre la Roumanie, ce qui voulait dire qu’il n’y aurait pas de sortie, parce que Père voulait regarder le match à la télévision.
El día siguiente era sábado y no hay gran cosa que hacer un sábado a menos que Padre me lleve a algún sitio, a remar en el lago o al centro de jardinería, pero ese sábado Inglaterra jugaba al fútbol contra Rumania, lo que significaba que no íbamos a hacer ninguna salida, porque Padre quería ver el partido en la televisión.
La plupart des gens faisaient ce qu'on fait traditionnellement le dimanche, à savoir bien s'habiller, monter en voiture et aller en famille rendre un culte à la Jardinerie Mégasuperéconomique, à la périphérie de la ville. On en rapportait une armada de plantes en pots que le chauffage central faisait crever à temps pour la sortie de la semaine suivante.
La mayoría de la gente hacía lo típico que se hace en domingo, es decir, vestirse con la mejor ropa y meterse en el coche para rendir culto en familia al centro de jardinería Megasuperserver que estaba en las afueras de la ciudad, una ciudad que sufría cíclicamente una especie de invasión de plantas enmacetadas que morían presas de las calefacciones centrales justo a tiempo para la visita del fin de semana siguiente.
Puis elle se rappela qu’elle n’était pas obligée de préparer le petit déjeuner pour toute la famille, de crier à chacun de se lever, de vider le lave-vaisselle ou de remplir une machine, de repasser un tas de linge, de traîner un aspirateur dans l’escalier ou de ranger des placards et des tiroirs, de nettoyer le four ou d’essuyer le plan de travail ainsi que les bouteilles de sauce marron ou rouge, de passer un chiffon sur les meubles en bois, de faire les carreaux ou de laver les sols, de redresser les tapis et les coussins, de frotter à la brosse les traces dans les cuvettes des WC ou de ramasser des vêtements sales et de les déposer dans le panier à linge, de remplacer des ampoules électriques grillées et des rouleaux de papier toilette, de redescendre des affaires du bas qui se trouvaient en haut et de remonter celles du haut qui se trouvaient en bas, de passer au pressing, de désherber des plates-bandes, de se rendre dans des jardineries pour acheter des bulbes et des plantes annuelles, de cirer des chaussures ou de les apporter chez le cordonnier où l’on faisait faire des doubles de clés, de rendre des livres à la bibliothèque, de trier les déchets recyclables, de payer les factures, d’aller voir une mère en se reprochant de ne pas aller voir une belle-mère, de donner à manger au poisson et de nettoyer le filtre de l’aquarium, de répondre au téléphone qui sonnait pour deux adolescents et de leur transmettre des messages, de se raser les jambes ou de s’épiler les sourcils, de se faire les ongles, de changer les draps et les taies d’oreillers de trois lits (le samedi), de laver des pulls en laine à la main et de les étendre à plat sur des serviettes, de payer d’autres factures, d’aller acheter des choses à manger qu’elle ne mangerait pas elle-même, de les rouler dans un chariot jusqu’à la voiture, de les charger dans le coffre, de rentrer à la maison, de ranger les produits frais au réfrigérateur et l’épicerie dans les placards ou sur une étagère trop haute pour elle mais parfaitement adaptée à la taille de Brian.
Entonces recordó que no tenía que levantarse a prepararle el desayuno a nadie, gritarle que se levantara, vaciar el lavavajillas ni poner la lavadora, planchar un montón de ropa, arrastrar la aspiradora escaleras arriba ni ordenar armarios y cajones, limpiar el horno ni pasar un trapo por las diferentes superficies, incluidos los cuellos de los botes de salsa marrón y roja, pulir los muebles de madera, limpiar las ventanas ni fregar los suelos, poner derechas las alfombras y los cojines, meter la escobilla en váteres llenos de mierda ni recoger ropa sucia y meterla en la cesta de la colada, cambiar bombillas y rollos de papel higiénico, recoger cosas de la planta de abajo que estaban arriba y bajarlas ni recoger cosas de arriba que estaban abajo, ir a la tintorería, quitar las malas hierbas de los arriates, ir a centros de jardinería para comprar bulbos y plantas anuales, sacar brillo a zapatos ni llevarlos al zapatero, devolver libros a la biblioteca, organizar los desechos para el reciclaje, pagar facturas, visitar a su madre ni preocuparse por no visitar a su suegra, dar de comer a los peces y limpiar el filtro, responder a llamadas de teléfono para dos adolescentes ni pasarles mensajes, afeitarse las piernas ni depilarse las cejas, hacerse la manicura, cambiar las sábanas y las fundas de almohadas de tres camas —si fuera sábado—, lavar a mano jerséis de lana y secarlos en horizontal sobre una toalla de baño, ir a comprar comida que no se iba a comer, llevarla en el carro hasta el coche, meterla en el maletero, ir hasta casa, guardar la comida en el frigorífico y en los armarios, de puntillas, ni colocar las latas y los productos deshidratados en un estante al que no podía llegar pero que era perfectamente cómodo para Brian.
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