Translation for "j'hallucinais" to spanish

J'hallucinais

• yo alucinaba

Translation examples

yo alucinaba

Vu que j’étais dans l’eau et que j’hallucinais très certainement, mes paroles n’auraient pas dû être audibles.
Como me encontraba bajo el agua y seguramente alucinaba, mis palabras no deberían haberse oído.

À mon réveil, je me crus d’abord revenu au concert de trombonettes et j’hallucinai : j’étais dans les catacombes de Bouquinbourg.
Cuando desperté, creí al principio que estaba en un concierto de trompebones y alucinaba pensando que estaba en las Catacumbas de Bibliópolis.

Je n’hallucinais pas quand j’ai abattu Pel. Je ne les ai pas tués, son équipe et lui, pour couvrir une bêtise quelconque que j’aurais commise alors que j’étais shooté.
No alucinaba cuando disparé a Pel y no lo maté junto con su equipo para tapar un error mío por culpa de las drogas.

Au lieu de me précipiter pour mobiliser une armée de défenseurs, mieux vaut m’installer confortablement sur la ligne de touche et le regarder fabriquer pour l’opinion publique et les journaux israéliens une version de moi si différente de ce que je suis, que je n’aurai besoin de rien, ni intervention judiciaire ni démenti par voie de presse, pour dissiper toute confusion dans les esprits et le faire apparaître pour ce qu’il est. Après tout, même si j’étais tenté de mettre ce type sur le compte des effets résiduels de l’Halcion, ce n’était pas moi qui hallucinais, mais lui et, dès janvier 1988, j’en étais arrivé à la conclusion que c’était à lui d’avoir peur et non à moi.
Antes de lanzarme a movilizar todo un ejército de defensores legales, lo mejor era que siguiese la función entre bastidores, con toda comodidad, mientras el tipo aquel fabricaba con destino a la prensa y al público de Israel una versión mía tan absolutamente alejada de mí, que no haría falta nada, ni acciones judiciales ni rectificaciones en la prensa, para aclarar la confusión y dejarlo a él con el trasero al aire. A fin de cuentas, no obstante la tentación de atribuirlo todo a la persistencia del Halcion en el control de mi mente, quien alucinaba no era yo, sino él, y —como bien había aprendido ya en enero de 1988— él también era quien corría el peor riesgo.