Translation for "j'enseignerais" to spanish
J'enseignerais
  • yo enseñaría
  • enseñaría
Translation examples
yo enseñaría
En échange, moi, je lui enseignerais tout ce qu’elle voudrait !
A cambio de eso, yo le enseñaría lo que quisiera.
J’enseignerais la philosophie, en province : à quoi cela m’avancerait-il ? Écrire ?
Enseñaría filosofía en provincia: ¿qué ganaría con eso? ¿Escribir?
Que tu enseignerais à Iselle les devoirs d’une jeune fille pieuse.
Que enseñarías a Iselle cuáles son los deberes de una doncella piadosa.
— Je n’enseignerai pas les méthodes guerrières offensives à quiconque en qui je n’aurai pas confiance.
—Nunca enseñaría las técnicas de combate ofensivas a alguien en quien no confiara.
Mais je dois, en toute honnêteté, t’avertir que si j’en acceptais la responsabilité, je ne leur enseignerais pas le Coran.
Ahora bien, debo advertirte que, de aceptar la responsabilidad, no les enseñaría el Corán.
Si l’enfant venait avec moi ramasser des spécimens, je lui enseignerais la musique. C’est un beau dessein, ja ? Les cactus contre Mozart !
Si el chico quisiera venir conmigo a recoger especímenes de cactus, yo le enseñaría música, es un buen plan, ja, ¡cactus por Mozart!
Et puisque la douleur est inévitable, puisque la vie est pleine de misères, je lui enseignerais cette sagesse chrétienne qui nous élève au-dessus de toutes les misères et donne une beauté à la douleur même.
Y ya que el dolor es inevitable, puesto que la vida está llena de miserias, la enseñaría la prudencia cristiana que nos eleva por encima de todas las miserias y resiste con belleza sublime al dolor mismo.
J'ai connu cet habile homme alors qu'il enseignait les belles-lettres au collège de Beauvais, comme je les enseignerais aujourd'hui, si ma vie n'avait pas été traversée par mille obstacles et si la facilité naturelle de mon âme ne m'avait pas induit en diverses embûches où je tombai.
Yo he conocido a este hombre hábil cuando enseñaba bellas letras en el colegio de Beauvais, como yo las enseñaría en la actualidad si mi existencia no se hubiera visto desviada por mil obstáculos y si la sencillez natural de mi espíritu no me hubiese precipitado hacia las diversas emboscadas en que frecuentemente caí.
… Il sortait de nuit dans le jardin potager, vaguait à travers les champs et la vigne, s’allongeait sur la terre nue, et se couvrait le front de mottes en un signe de deuil bien à lui, il se mettait aussi un peu de terre dans la bouche, il regardait en haut le firmament, étendu immobile au milieu des champs, cadavérique, même s’il lui arrivait parfois de lever les bras et de les tendre à la lune, ô lune, geignait-il, lune, tu m’entends, gracieuse lune, tu m’entends toi qui erres silencieuse dans les cieux puis te couches, lune, écoute, quelle errance pourra me consoler, maintenant que mon horizon sera fait d’heures interminables et que mon temps n’est pas encore fini, lune, mon temps est cassé, lune, si je mourais ce ne serait rien, ma branche est sèche, les saisons ont passé, et c’est au contraire la fleur qui est morte, pourquoi, lune, pourquoi ?, toi qui fais croître la lymphe dans les tiges et qui gonfles les océans, lune qui soulèves les êtres qui sont sur la terre, lune de parchemin qui joues du violon, lune de cristal, de safran, lune, tu peux faire un sortilège, y a-t-il un lieu au monde où en t’invoquant comme le faisaient les prêtres antiques tu pourrais faire renaître la tige cassée ?, ô puissante Proserpine qui domines les rives des enfers, restitue-moi la vie que ton mari boiteux m’a volée, il la garde dans sa forge, c’était un petit enfant joyeux que je portais sur mon dos en jouant sous la pergola, et il cueillait du raisin en riant, qu’est-ce que je l’aimais, comme un fils, il y avait en lui les jours qui ne seraient pas les miens et il ne me ressemblait pas dans sa couleur de peau, trop ambrée, ni dans ses cheveux très noirs qu’il tenait peut-être d’inconnus ancêtres andalous, mais il aurait prolongé mon regard, il aurait été un peu moi, il était tout ce qui me restait de ce pour quoi j’avais combattu, et toi lune tu as permis que cette terre lui mette de la terre dans la bouche, je n’ai même pas pu lui donner une sépulture, son corps est dispersé en morceaux on ne sait où, lacéré par les furies, lui aussi était une furie, et je ne le savais pas, un fauve, un fauve, ce jeune homme à l’aspect si gentil, mais je le veux à nouveau présent, lune, s’il te plaît, je lui enseignerais ce que je ne sus pas lui enseigner, la faute est mienne, lune, c’est moi qui me suis trompé, qui ai fait défaut, lune, et maintenant il me fait défaut, puis-je revenir en arrière ? fais-moi revivre le temps que j’ai gaspillé, je ne le savais pas, lune, je croyais tout savoir et je ne savais rien… … je disais… je me suis interrompu… mais maintenant je vais mieux… je te disais quelque chose mais je ne m’en souviens plus, tu l’as écrit ou tu as toi aussi perdu le fil ?
… Salía al huerto de noche, erraba por los campos y por los viñedos, se tendía en la tierra desnuda, con los terrones se cubría la frente en una señal de luto completamente suya, y algo de tierra se la metía también en la boca, miraba en lo alto el firmamento, tumbado inmóvil en medio de los campos, cadavérico, aunque a veces levantara los brazos y los extendiera hacia la luna, oh, luna, gañía, luna, me oyes, graciosa luna, me percibes tú que vagas silenciosa por los cielos y te posas después, luna, escucha, qué vagar podrá consolarme, ahora que mi horizonte estará hecho de horas interminables y mi tiempo no ha acabado aún, luna, mi tiempo se ha estropeado, luna, si yo muriera no sería nada, mi rama está seca, las estaciones han pasado y sin embargo ha muerto la flor, ¿por qué, luna, por qué?, tú que haces crecer la linfa en los tallos e hinchas los océanos, luna que fermentas a los seres que están sobre la tierra, luna de pergamino que tocas el violín, luna de cristal, de azafrán, luna, puedes hacer un sortilegio, ¿hay algún lugar en el mundo en el que, invocándote como lo hacían los sacerdotes antiguos, puedas hacer renacer el tallo tronchado?, oh, poderosa Proserpina que dominas las riberas del averno, restitúyeme la vida que tu marido cojo me ha robado, lo custodia en su fragua, era un niñito alegre que yo llevaba a hombros jugando bajo la pérgola, y él cogía las uvas riendo, cuánto lo amaba, como a un hijo, en él estaban los días que no habrían de ser míos y no se me parecía en el color de la piel, demasiado ambarina, ni en los cabellos corvinos que tal vez recibiera de desconocidos antepasados andaluces, pero hubiese continuado mi mirada, hubiera sido un poco de mí, era todo lo que me había quedado de aquello por lo que había combatido, y tú, luna, permitiste que esta tierra le metiera tierra en la boca, ni siquiera una sepultura pude darle, su cuerpo está disperso en pedazos quién sabe dónde, lacerado por las furias, era una furia él también, y yo no lo sabía, una fiera, una fiera, aquel jovencito de gentil aspecto, pero yo lo quiero de vuelta, luna, te lo ruego, le enseñaría lo que no supe enseñarle, la culpa es mía, luna, soy yo quien se ha equivocado, yo he faltado, luna, y ahora es él quien me falta, ¿puedo volver atrás?… Déjame recuperar el tiempo que desperdicié, no lo sabía, luna, creía saberlo todo y no sabía nada…
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