Translation for "islamisée" to spanish

Islamisée

• islamizado

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islamizado

Plus personne n’ignore désormais que ce roman se déroule dans une France islamisée après un second mandat de Hollande.
Ya nadie ignora que esa novela se desarrolla en una Francia islamizada tras un segundo mandato de Hollande.

Sur les versants de la colline dominés par cette ville fortifiée, vivaient, sous sa protection, les villages chrétiens de Mejdan et de Bikavac, ainsi que le hameau récemment islamisé de Dušče.
En las laderas, bajo la Fortaleza y protegidos por ella, se hallaban los pueblos cristianos de Mejdan y Bikavac, y la recientemente islamizada aldea de Dusce.

et, au XVe siècle, une bonne partie de l’Europe orientale deviendra province d’Islam, plus islamisée et en tout cas plus opprimée que ne l’avaient été au Moyen Âge la Syrie et l’Espagne.
y, en el siglo XV, una gran parte de Europa oriental se convertirá en provincia del islam, más islamizada y más oprimida de lo que en la Edad Media lo habían estado Siria y España.

Ils forment maintenant un groupe culturel distinct, par exemple, des peuples turcs comme les Kazakhs et les Kirghizes, et aussi des Chinois islamisés qu'on appelle les Hui ou des musulmans indo-iraniens comme les Tadjiks.
Ahora forman un grupo cultural distinto, por ejemplo, de otros pueblos turcos como los kazajos y los kirguizes, y también de los chinos islamizados, a quienes se les da el nombre de hui, o de los musulmanes indoiranios, como los tayicos.

Des Turcs, en Bulgarie – dans la mesure où il est possible d’en recenser le nombre –, il y en a à peu près sept cent mille, mais la thèse officielle en nie l’existence : il s’agit, selon cette thèse, de Bulgares islamisés – les Pomaks, disait-on jadis – auxquels on impose aujourd’hui de porter un prénom bulgare.
En Bulgaria hay —en la medida en que es posible calcular su número— alrededor de setecientos mil turcos, pero la tesis oficial niega su existencia: se trata, según esta tesis, de búlgaros islamizados —los pomaceos, se decía tiempo atrás—, a los que ahora se les obliga a adoptar un apellido búlgaro.

C’est ainsi que dans ces bois pacifiques et à l’écart de l’Histoire, qui avaient connu tout au plus les incursions des Turcs en 1528 ou celles des Valaques islamisés en 1758, se tissait en ces jours de guerre un réseau d’espoirs et de mensonges, de projets de liberté et de plans de violence totalitaire, d’esprit de sacrifice et de domination rapace.
Así en estos bosques pacíficos y apartados de la Historia, que como mucho habían conocido las incursiones de los turcos en 1528 o de los valacos islamizados en 1758, se tejía en aquellos días de guerra una intrincada red de esperanzas y mentiras, proyectos de libertad y planes de violencia totalitaria, espíritu de sacrificio y de dominio rapaz.

Au milieu de l’indifférence des Pomaks – les Bulgares islamisés – et de l’hostilité des Tchorbadji, qui vivaient dans l’aisance et bien que non renégats étaient favorables à la domination turque, les Haïdouks, mi-patriotes mi-brigands, ennemis des Turcs avec lesquels par ailleurs on finissait parfois par les confondre, étaient d’éternels guérilleros, régnant sur les ravines et les gorges de la montagne ;
Entre la indiferencia de los pomaceos, los búlgaros islamizados, y la hostilidad de los čorbadži, los acomodados que no habían renegado pero eran favorables al dominio turco, los haiduques, mitad patriotas mitad bandidos, enemigos de los turcos, con los que por otra parte acababan a veces por confundirse, eran los eternos guerrilleros, los señores de las fosas y de las gargantas montañesas;

Chaque jour les Nouvelles de Sofia* publient des interviews de Turcs, ou mieux de Bulgares islamisés, qui aux dires d’Amnesty International ou des journaux d’Ankara ont mystérieusement disparu, et selon les autorités du pays sont au contraire vivants et en excellente santé : aujourd’hui c’est le tour de Damian Christov, directeur d’un garage pour les voitures et les tracteurs à Antnovo, qui répond avec un large sourire à des questions sur sa disparition.
Cada día, las Nouvelles de Sofia publican entrevistas de turcos, o mejor dicho búlgaros islamizados, que según Amnistía Internacional o los periódicos de Ankara han desaparecido misteriosamente y según las autoridades del país siguen, por el contrario, vivitos y coleando: hoy le toca a Damjan Christov, director de una factoría de máquinas y tractores en Antonovo, que responde con una amplia sonrisa a las preguntas sobre su desaparición.

(Si les Arméniens avaient été partiellement neutralisés grâce à la politique oppressive de Byzance qui en tentant de les vassaliser les avait considérablement affaiblis, les Géorgiens, de leurs montagnes quasi imprenables, entreprenaient de temps à autre des guerres saintes, espérant reconquérir toute la région du Taurus.) En Espagne, les rois de Catalogne, de Murcie, d’Aragon, guerroyaient périodiquement depuis des siècles contre les princes musulmans du pays, car ces chrétiens latins, si profondément islamisée que fût la Péninsule, ne se résignaient pas à la domination musulmane et appelaient à leur secours des chrétiens du Nord et d’Italie.
Si los armenios habían sido neutralizados parcialmente gracias a la política opresiva de Bizancio, que intentando hacerlos vasallos suyos, los había debilitado considerablemente, los georgianos, desde sus montañas casi impenetrables, emprendían de cuando en cuando guerras santas esperando reconquistar toda la región del Taurus. En España, los reyes castellanos y catalano-aragoneses luchaban periódicamente desde hacía varios siglos contra los príncipes musulmanes del país, porque aquellos cristianos latinos, por islamizada que estuviese la península, no se resignaban a la dominación musulmana y llamaban en su ayuda a los cristianos del norte y de Italia.