Translation for "irruption" to spanish
Translation examples
Il n’y eut ni coup de tonnerre, ni soudaine odeur de soufre, ni même irruption d’air compensatrice et scientifiquement rassurante.
No hubo estruendo, ni repentino olor a azufre, ni siquiera una científicamente atinada ráfaga de aire.
Un groupe d’arrivants fit bruyamment irruption dans la salle, accompagné du souffle glacé de la nuit.
Un ruidoso grupo de recién llegados entraron con alboroto y trajeron consigo una ráfaga de helado aire nocturno.
Soudain, une femme fit irruption dans l’appentis, comme si le vent l’y avait poussée, suivie d’une volée de gouttes de pluie.
De repente, una mujer irrumpió en el cobertizo como empujada por una ráfaga de viento y acompañada por una cortina de gotas.
C’est justement durant la dernière décennie du siècle que la politique fit irruption par de violents et brusques coups de vent dans le calme plat de l’existence confortable.
Precisamente en la última década, la política irrumpió con ráfagas bruscas y violentas en la calma de la vida plácida y holgada.
Ils triaient un nouvel arrivage de blessés lorsque sept ou huit soldats soviétiques firent irruption dans le temple. L’un d’eux tira une rafale de mitraillette en direction du plafond voûté et Erik se jeta à terre, imité par tous ceux qui pouvaient encore bouger.
Atendían a una nueva remesa de heridos cuando siete u ocho soldados soviéticos entraron en la iglesia, dispararon una ráfaga de ametralladora al techo abovedado y Erik se lanzó al suelo, como hicieron todos los que podían moverse.
Il se souvint vaguement que Doyle était rentré du bar – une irruption de brouhaha de la rue, par la porte ouverte, une excuse murmurée et un bruit d'eau courante –, se rappela avoir regardé l'heure à ce moment-là et vu qu'il était un peu plus de deux heures du matin.
Le rondaba un vago recuerdo de haber oído a Doyle volver del bar (una ráfaga de ruidos procedentes de la calle al abrirse la puerta, una disculpa mascullada, y después el sonido del agua al abrirse un grifo), y al mirar el reloj vio que eran las dos pasadas.
l'irruption de Nina et de son équipe hors de leur cachette, le déchaînement de leur puissance de feu sur les rangées d'hommes en costume et leurs cris alors qu'ils essayaient de se mettre à l'abri en plongeant sous les gradins ou, comme certains, ne bougeaient pas, restaient assis là, sans comprendre, faussement dignes, tandis que de leurs corps jaillissaient des paraboles d'éclaboussures rosâtres, les arceaux de la mort ;
la salida del equipo de Nina de la caseta, y las ráfagas que dispararon a continuación contra las filas de hombres trajeados, que chillaban, buscaban refugio o no hacían nada, sentados con una compostura perpleja, mientras rosados arcos de muerte brotaban de sus cuerpos;
L’infanterie se distingua aussi ici et notamment le sergent Armamento, homme d’une foi aveugle et d’une loi erronée, la première rafale de mitraillette vient d’être tirée, suivie d’une autre, toutes deux en l’air, à titre d’avertissement, et quand au château on entend les tirs des applaudissements et des vivats éclatent joyeusement, tous applaudissent, les douces jeunes filles du latifundium, rouges de chaleur et d’émotion sanguinaire, et les pères, les mères, et la haie des amoureux frémissant du désir d’opérer une sortie, de faire irruption par la porte du bourg, lance ou espadon au poing, pour parachever l’œuvre commencée, Tuez-les tous.
También aquí brilló la infantería, y en especial el sargento Armamento, hombre de fe ciega y ley errada, allá va la primera ráfaga de metralleta, y otra, ambas al aire, de aviso, y cuando en el castillo se oyen los tiros, hay una alegría de palmas y vivas, aplauden todos, las suaves mozuelas del latifundio coloradas por el calor y la emoción sanguinaria, y los padres, las madres, y el ala de los enamorados estremecidos por las ganas de hacer una surtida, salir por la puerta de la Ciudad, lanza en ristre, y acabar la obra iniciada, Matadlos a todos.
Si au moins ils suivaient l’exemple du no man’s land Godard – comme il le surnomme l’après-midi où, enfoncé dans un fauteuil grinçant de la cinémathèque, étirant son cou au maximum pour éviter les nuques afro du couple assis devant lui, il voit pour la première fois la scène des exécutions dans la piscine couverte d’Alphaville, avec les tristes condamnés à mort en costume cravate tombant dans l’eau et le cortège de pin-up en bikini plongeant à leur suite pour les escorter jusqu’au bord du bassin, et lorsqu’il sort du cinéma, avec la solennité solitaire que possèdent les résolutions prises à quinze ans, il décide de ne plus répéter la tromperie que tout le monde répète, le Français Godard, le Suisse Godard, et même le Franco-Suisse Godard, tant il attribue à la frontière qui sépare la France de la Suisse tout ce qu’il admire en lui, c’est-à-dire tout, depuis ses lunettes en cul de bouteille jusqu’aux pattes de ses pantalons, étroites, trop courtes, en passant par ses femmes, surtout ses femmes, et ces rafales musicales qui font irruption comme des bourrasques de pluie, coupent en deux les images de ses films et appellent à nouveau le silence –, le no man’s land Godard, qui après avoir fini de tourner Tout va bien, le pamphlet anticapitaliste qu’il filme avec Jean-Pierre Gorin, et qu’il s’assoit pour se demander, comme chaque fois qu’il finit de tourner un film, mais cette fois encore plus, précisément parce que ce qu’il filme à présent, ce ne sont plus des films mais des pamphlets anticapitalistes, qui diable va accepter de payer une entrée de cinéma pour le voir, quel public réel il peut y avoir pour cette œuvre maîtresse du kino pravda slapstick qui retient Jane Fonda et Yves Montand en otages en plein feu croisé d’un conflit syndical, le plafond qu’il se fixe est de cent mille spectateurs, les mêmes cent mille individus, pense-t-il, qui assistent à l’enterrement au Père-Lachaise du militant maoïste Pierre Overney, assassiné devant les portes de l’usine Renault de Billancourt – sans qu’aucun frère Lumière ne soit là pour immortaliser l’événement – par l’agent de sécurité Jean-Antoine Tramoni.
Si al menos siguieran el ejemplo del tierra de nadie Godard —como lo bautiza la tarde en que, hundido en una butaca crujiente de la cinemateca, estirando el cuello al máximo para eludir las nucas afro de la pareja que tiene adelante, ve por primera vez la escena de las ejecuciones en la pileta techada de Alphaville, con los tristes ejecutados de traje y corbata cayendo al agua y el cortejo de pin-ups en bikini zambulléndose tras ellos para escoltarlos hasta el borde de la pileta, y cuando sale del cine, con la solemnidad solitaria que tienen las decisiones tomadas a los quince años, decide que ya no repetirá la falacia que repiten todos, el francés Godard, el suizo Godard, incluso el suizo-francés Godard, a tal punto atribuye a la frontera que separa Francia de Suiza todo lo que admira en él, que es todo, desde los anteojos culo de botella hasta las botamangas de sus pantalones, angostas, demasiado cortas, pasando por sus mujeres, sobre todo sus mujeres, y esas ráfagas de música que irrumpen como descargas de lluvia, cortan en dos las imágenes de sus películas y se llaman de nuevo a silencio—, el tierra de nadie Godard, que cuando termina de rodar Tout va bien, el panfleto anticapitalista que filma con Jean-Pierre Gorin, y se sienta a pensar, como siempre que termina una película pero ahora más, precisamente porque lo que filma ahora no son películas sino panfletos anticapitalistas, quién diablos pagará una entrada de cine para verla, qué público real puede haber para esa obra maestra del kino pravda slapstick que tiene a Jane Fonda y a Yves Montand de rehenes en pleno fuego cruzado de un conflicto sindical, el techo que se fija es de cien mil espectadores, los mismos cien mil, piensa, que asisten al entierro en el Père Lachaise del militante maoísta Pierre Overney, asesinado a las puertas de la fábrica Renault de Billancourt —sin que haya ningún hermano Lumière para registrar el episodio— por el guardia de seguridad Jean-Antoine Tramoni.
Si peu dense qu’il fut, il l’était assez pour faire exploser tout appareil qui y ferait irruption.
Aun fina como era, su densidad seguía siendo suficiente para hacer explotar una nave que llegara desde fuera.
Feliu est encore pliée en deux à cause de l’histoire du jardinier d’Amposta (“Bizarrement, je lui ai toujours trouvé un air de prophète, avec sa tête de crève-la-faim, sa barbiche, et cetera”, ajoute Corominas qui tente d’exploiter pleinement son succès) quand le sergent Blai fait irruption dans la salle.
Feliu está todavía retorciéndose de risa con la historia del jardinero de Amposta («Lo curioso es que yo siempre le había visto un aire de profeta, con su cara de hambre y su barbita y tal», acaba de decir Corominas, tratando de explotar a fondo su éxito) cuando irrumpe en la sala el sargento Blai.
Les cavaliers s’insinuaient entre les mules et la paroi et les poussaient méthodiquement dans le précipice, les animaux tombant silencieusement comme des martyrs, tournoyant posément dans l’air vide et explosant plus bas sur les rochers dans d’étonnantes déflagrations de sang et de liquide argenté à mesure que les calebasses éclataient et qu’apparaissait le mercure qui roulait dans l’air en larges nappes et en volutes et en petits satellites frémissants, toutes ses formes se regroupant plus bas et dévalant le cours pierreux des arroyos comme l’irruption d’on ne sait quel grand œuvre d’alchimie tiré de l’obscurité secrète du cœur de la terre, le cerf rapide des anciens fugitif au flanc de la montagne, promptes et lumineuses sur les chenaux desséchés des orages et moulées dans les anfractuosités de la roche et rebondissant de ressaut en ressaut jusqu’au pied de la pente, miroitantes et agiles comme des anguilles.
Los jinetes se abrían paso entre las bestias y la roca y las empujaban metódicamente al precipicio, los animales cayendo silenciosamente como mártires, girando en el aire vacío para explotar en las rocas de más abajo entre estallidos de sangre y argento vivo a medida que los matraces se rompían y el mercurio rodaba en el aire formando lienzos y lóbulos y pequeños satélites trémulos y todas esas formas se agrupaban abajo y corrían por el cauce pedregoso de los arroyos a modo de irrupción de algún nuevo experimento alquímico urdido en la secreta oscuridad del corazón de la tierra, el ciervo de los antiguos fugitivo en la ladera de la montaña, luminosos y raudos en los regueros secos de las tormentas y moldeando las anfractuosidades de la roca y brincando de saliente en saliente siempre cuesta abajo, esplendorosos y ágiles como anguilas.
Ce ne fut que quelques jours avant que notre affaire fasse irruption dans sa vie qu’il eut une certitude.
De lo único que se alegraba era de que no hubiese ocurrido varios días antes de que la investigación estallara en nuestras vidas.
Lui et un autre homme ont fait exploser l’un des camions avant de faire irruption ici pour libérer l’archéologue.
El y otro hombre hicieron estallar uno de los camiones y luego vinieron aquí para liberar al arqueólogo.
Elle semblait avoir fait irruption dans son propre corps, tous nerfs à vif. « Pas d'évanouissement, petite sotte.
Su cuerpo parecía a punto de estallar, todos sus nervios vibraban... —No te desmayes ahora.
— Ah, mais s’ils pouvaient revenir à un état pacifique, alors nous n’aurions pas à les garder enfermés dans les camps, et l’argent pourrait être distribué ailleurs, dit doucement Antonidas, avant que la table entière ne puisse faire irruption dans le débat.
—Ah, pero si conseguimos que recuperen el carácter pacífico de antaño, no tendremos que seguir manteniéndolos encerrados en esos campos y ese dinero podrá ser utilizado para otros fines —explicó Antonidas con un tono muy moderado antes de que la mesa entera pudiera estallar en un sinfín de discusiones—.
D’un coup, la mort avait été omniprésente, chacun des présents l’avait sentie non pas faire irruption, mais éruption en lui, au milieu le plus intime de lui-même, et personne dont le sentiment de vivre, aussi tremblotant qu’il ait pu être, n’ait été accru, sinon porté à l’extrême par l’éruption de la mort. Et quelle danse ne se déchaîna pas là, tout à coup, même ceux qui n’avaient encore jamais dansé ou ne le faisaient plus depuis longtemps s’étaient rassemblés et on dansait sans sauvagerie, sans hystérie, tout au moins au début.
De pronto la muerte había estado omnipresente; cada uno de los asistentes, en su centro más íntimo, la había sentido, no irrumpir, sino más bien estallar en sí, y no hubo nadie, por mucho que estuviera temblando, cuyo sentimiento de la vida no hubiera sido intensificado de un modo especial, hasta el extremo. Qué baile se desató de repente en aquel momento, y a este baile se le unieron incluso aquellos que aún no habían bailado nunca o que hacía ya mucho tiempo que no bailaban, y se bailaba sin furia, o sin exagerar las vueltas y revueltas, por lo menos al principio.
l’explosion d’une imagination, l’irruption d’un esprit irrespectueux.
Fue inolvidable: la explosión de una imaginación, la irrupción de un espíritu irrespetuoso.
L’explosion fut une irruption gratuite, profane même, dans le silence à demi religieux qui avait suivi la musique.
La explosión fue como una no deseada, incluso profana, intrusión en el silencio semirreligioso que había seguido a la música.
Au moment où il venait à peine de trouver le sommeil, l’irruption de hurlements bantous violait son esprit.
Cuando apenas había conciliado el sueño, explosiones de aullidos bantúes violaban su mente.
Explosion, fumée, effondrement de la porte, irruption de Titus et Silistri, leurs canons devant eux : – Police !
Explosión, humo, caída de la puerta, irrupción de Titus y Silistri, con sus cañones por delante: —¡Policía!
Regarde bien ! Le temps s’était remis à couler, dans une explosion qui n’était pas sans rappeler l’irruption brutale de l’air dans un sas.
El tiempo comenzó de nuevo con una explosión parecida a un torrente de aire cuando entra en una cámara de presión.
La daurade fit irruption hors de l’eau comme une explosion en tirant sur la ligne avec une telle vigueur que je craignis qu’elle ne me fît tomber du radeau.
El dorado salió como una explosión del agua, tirando del sedal con tanta fuerza que creí que iba a caerme de la balsa.
(Ce n'était pas possible, pas s'il voulait qu'elle mène la vie qu'elle méritait.) Pour une raison que j'ignore, je t'attire. Et oui, dit-il, voyant qu'elle allait riposter par une nouvelle irruption de colère, tu me tentes.
—No podía haberlo, no si quería que ella tuviera la vida que merecía—. Por algún motivo te sientes atraída por mí. Y sí —dijo cuando pareció que ella iba a responder con otra explosión colérica—, tú me tientas.
Chacun d'entre nous devrait déjà chercher à la débusquer au-dedans de lui plutôt que de se contenter d'identifier ses irruptions massives dans la trame de l'Histoire. Mais qu'est-ce qui nous permet de la repérer ? Et à quel fer la marquer ensuite pour pouvoir la reconnaître sans nul doute possible ?!
Es cierto que cada uno de nosotros debería identificarla en sí mismo, y no esperar a reconocerla en sus grandes explosiones históricas. Pero, ¿cómo reconocerla?
C’est alors que, tout débat sur les causes du sinistre relégué, chacun put voir le jinn géant, né comme tous les jinns mâles d’un feu sans fumée, émerger de la boule de feu, toutes dents en avant, avec sa peau grêlée, sa longue chemise d’uniforme rouge feu ornée de motifs dorés, sa grande barbe noire nouée comme une ceinture autour de la taille, son épée dans son fourreau vert et or glissée dans ladite ceinture chevelue du côté gauche, Zumurrud Shah en personne, qui ne se donnait plus la peine de se métamorphoser en Natraj Hero pour embrouiller la petite tête de Jimmy mais se montrait dans toute sa gloire effrayante : Zumurrud le Grand, le plus grand des grands ifrits, à cheval sur son urne volante, dont l’irruption dans le monde, trois de ses acolytes les plus proches à sa suite, marquait la fin des temps des étrangetés aléatoires.
Y se acabó el misterio de qué había provocado aquello: todo el mundo pudo ver al yinni gigante que emergía de la bola de fuego, nacido como todos los yinn machos del fuego sin humo, con sus dientes largos, sus marcas de viruela y su camisa larga de batalla de color rojo llama y decorada con sus propios motivos dorados, una barba enorme y negra atada en torno a la cintura como si fuera un cinturón y la espada en su vaina verde y dorada metida por debajo de aquella faja de pelo, en el lado izquierdo; Zumurrud Shah ya no se molestaba en adoptar la forma del Héroe Natraj para atormentar a Jimmy, sino que se aparecía en toda su gloria terrible: Zumurrud el Grande, el más grande de los Grandes Ifrits, a lomos de su urna gigante, la explosión de cuya entrada al mundo, seguido de tres de los miembros más cercanos de su séquito, marcó el final de la época de los fenómenos extraños arbitrarios.
Ils étaient suivis par des cameramen en voiture, qui zoomaient sur leurs gouttes de sueur et sur les veines gonflées de leur cou, et aussi par des policiers blancs à moto chargés d’empêcher que des cinglés ne fassent irruption sur la piste pour les embêter.
Los seguían coches con cámaras que filmaban hasta la última gota de sudor o las venas a punto de reventar en el cuello, y también polis blancos en moto para evitar que algún idiota saltara a la calzada y los hiciera caer.
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