Translation for "inégalable" to spanish
Translation examples
Votre influence est inégalable.
Su influencia es incomparable.
Absolument inégalables.
Absolutamente incomparables.
était inégalable quand il s’agissait de mes préoccupations de mère.
era incomparable cuando se trataba de mis preocupaciones de madre.
L’inégalable Monroe jouait contre le génial Frazier.
Competían el incomparable Monroe y el genial Frazier.
Et pour l’avenir immédiat, ils avaient cette possibilité inégalable de refaire de la chère Surprise ce qu’elle avait été – et ce qu’elle devait être.
Además, ahora tenía una incomparable oportunidad de conseguir que la Surprise volviera a ser lo que era y estuviera como debería estar.
Les principes que monte le Bourgeois sont d’inégalables, d’indépassables coursiers de la mort et il les loge dans l’écurie de son cœur.
Los principios que cabalga el Burgués son incomparables, insuperables corceles de la muerte, y los aloja en la cuadra de su corazón.
J’ai refusé les offres des hammams les plus réputés qui me proposaient de louer mes services, car, en tant que masseur, je suis inégalable.
He rechazado ofrecimientos de los más selectos hammams que querían contratar mis servicios como incomparable masajista.
Barry n’est pas manchot, il est même sans rival pour l’escalade ; mais quand s’agit de serrures, le doigté de Larry est inégalable.
Barry tampoco es manco, y es mucho mejor cuando se trata de escalar paredes, pero el toque de Larry con las cerraduras y los cerrojos es incomparable.
à ceux qui ont cru en ce livre et qui m’ont aidé à le mener à bien : tout d’abord, Valentina Pozzoli, inégalable accoucheuse d’histoires.
a quien ha creído en este libro y me ha ayudado a llevarlo a cabo: antes que a nadie, a Valentina Pozzoli, incomparable alumbradora de historias, sin la cual esta no habría visto la luz.
Chaque fois que j’entre dans une pièce, on me regarde avec ironie, on murmure, on chuchote des commentaires désobligeants sur mon jumeau et ses inégalables qualités !
Cada vez que entro en algún sitio, todos me miran de reojo y se ponen a cuchichear y a burlarse de mi «gemelo» y de su incomparable talento.
On vantait toujours les prouesses inégalables de son oncle Uthil dans le carré.
Aún se oían historias de las hazañas sin par que había protagonizado su tío Uthil en el cuadrado.
À l’inégalable capitaine Elmarie Myburgh, de l’unité de psychocriminologie de la police sud-africaine de Pretoria.
La sin par capitana Elmarie Myburgh, de la Unidad de Investigación Psicológica del Servicio de Policía de Sudáfrica en Pretoria.
A cet égard, une phrase du chroniqueur franc Albert d’Aix, qui a participé personnellement à la bataille de Maara, reste inégalable dans l'horreur : Les nôtres ne répugnaient pas à manger non seulement les Turcs et les Sarrasins tués mais aussi les chiens! 
A este respecto, sigue siendo de un horror sin par una frase del cronista franco Alberto de Aquisgrán, que participó personalmente en la batalla de Maarat: ¡A los nuestros no les repugnaba comerse no sólo a los turcos y a los sarracenos que habían matado sino tampoco a los perros!
Car ce Bouddha n’était pas plus haut qu’un enfant de trois ans, et était si frêle, si fragile qu’il semblait avoir lui-même grand besoin de protection, et il ne trônait pas sur une feuille de lotus mais se tenait dans une boîte dorée, comme s’il n’était ici que de passage, pour un court instant, et la noble et insondable tristesse qui habitait son regard, et le fait qu’il eût la tête tournée, tout cela laissait présager un tel vent de scandale que les dignitaires de la secte, dans les semaines qui suivirent les cérémonies d’inauguration, décidèrent d’aller chercher le document, existant ou pas, qui expliquait clairement ce qui s’était passé, à savoir que le Bouddha avait été charmé par la puissance et la beauté des paroles d’Eikan, un prodigieux orateur, et qu’il avait bougé la tête pour se retourner vers lui, et était resté figé dans cette position, pour toujours, témoignant ainsi que la beauté de la parole, quand elle était associée à la vérité, était irrévocable, et ainsi de suite, voilà comment on réussit habilement à transformer un problème, lourd de conséquences imprévisibles, en avantage, et, le subterfuge ayant fonctionné, le scandale fut étouffé avant même d’éclater, quant au frêle Bouddha à la beauté inégalable, il put pendant mille ans assister à de faux miracles, recevoir de faux actes de dévotion, scellant ainsi son destin futur, car au bout d’un certain temps il serait transporté d’un temple à l’autre, sans pouvoir trouver sa place, on aurait beau essayer de faire croire à des légendes, celle d’Eikan ou d’un autre, rien n’y ferait, car ce visage tourné de côté évoquait de façon manifeste l’irrémédiable histoire de l’infamie, ce visage tourné de côté parlerait à jamais de la beauté, de la noblesse impuissante, de l’incorrigible méchanceté, de l’irréductible vulgarité, de la hauteur d’esprit que la simple présence humaine réduisait en poussière, de l’inextricable bêtise et de la compassion infinie ;
Resulta que ese Buda era pequeñito como un niño de tres años, delgadito y frágil como alguien necesitado de protección, no estaba sentado en el trono de loto, sino de pie en una caja dorada como quien sólo permanece allí por un momento, y la tristeza noble y sobrenatural de su mirada, así como el hecho de volver la cabeza hacia un lado, resultó tan escandaloso que los superiores de la orden decidieron, pocas semanas después de las ceremonias de inauguración, buscar el escrito, existente o no, de cuyo tenor podía deducirse claramente lo ocurrido, es decir, que Eikan, el maravilloso orador de antaño, fue oído por Buda, quien se emocionó por la fuerza de aquellas hermosas palabras, volvió la cabeza y miró atrás y vio a quien las pronunciaba y así se quedó para siempre, dando fe de que la belleza del verbo humano, al unirse con la verdad, es inapelable, etcétera, etcétera, o sea, que una desventaja cargada de imprevisibles consecuencias fue transformada hábilmente en ventaja y, gracias a tan afortunada conclusión, los vientos del escándalo se calmaron antes incluso de que realmente se levantaran, y el frágil Buda, con su belleza sin par, pudo recibir las falsas admiraciones y falsas ofrendas durante mil años, adelantándose incluso a su destino futuro por el que, al cabo de un tiempo, lo llevarían de un templo a otro, pues no le encontrarían lugar adecuado y tratarían de hacer creer la leyenda sobre Eikan o sobre otra persona pero sin conseguirlo, puesto que la cabeza vuelta hacia un lado hablaría de forma inequívoca de la historia insalvable de la infamia, puesto que la cabeza vuelta hacia un lado hablaría para siempre de la belleza, de la maldad inamovible y de la nobleza impotente, de la vulgaridad incurable y de la elevación triturada por la más mínima presencia humana, de la estupidez inextirpable y de la compasión sin efecto alguno, hablaría de todo ello en el centro del altar del pabellón de oro, protegido únicamente por una cajita dorada provista de unas delicadas rejillas de madera por tres lados y de una pared finísima como mariposa a su espalda.
Il tire quelques longues bouffées, puis se cale en arrière lui aussi, sourit – ses fossettes malicieuses – et voici que c’est à nouveau mon tour, alors j’aspire une, deux fois, avec, je dois reconnaître, une espèce d’acharnement, de gnaque, de volonté de compétition, lui encore, et puis moi, et puis lui, eh oui, la malédiction d’être frères, moitié chacun, une fois chacun, d’abord l’un et puis l’autre, comme quand nous étions petits, sur le poney au jardin public, ou sur les soucoupes volantes au parc d’attractions de l’EUR, à côté de papa, et jamais nous n’avons gagné, jamais, parfois il arrivait que nous restions en l’air jusqu’à la fin mais après, dans le duel final, nous étions toujours abattus, et j’ai gardé ce traumatisme de l’un-contre-un pendant des années, je ne plaisante pas, j’ai toujours eu peur des duels, j’ai toujours pensé que j’allais les perdre et par conséquent, je les ai toujours évités, pas seulement sur les manèges, je veux dire, dans la vie, j’ai toujours évité soigneusement, les duels, les tête-à-tête, autant que possible, jusqu’à trois ans en arrière, jusqu’à cette merveilleuse épiphanie à la fête foraine de La Pescaia, quand, Claudia insistant pour que je l’emmène sur les soucoupes volantes, je me suis fait violence et je suis monté avec elle, souffrant déjà de l’humiliation que j’allais bientôt éprouver quand un connard de papounet avec son gros lard de fiston nous abattrait sans pitié, et sans aucun mérite surtout, parce que vous n’allez pas me dire que ces soucoupes volantes tirent pour de bon – et quoi, d’abord ? –, c’est la bonne femme de la caisse qui décide de tout, c’est elle qui décide des vainqueurs et des perdants, même si j’ignore comment au juste, si elle a un bouton ou autre chose, je ne l’ai jamais compris, bref nous montons dans la soucoupe volante et je pense déjà à comment me justifier quand nous aurons perdu une, deux, trois, quatre fois, quand Claudia commencera à ne pas trouver drôle de toujours perdre, et au contraire, nous gagnons, oui, les autres tombent peu à peu, nous restons seuls avec une autre soucoupe, à nous tirer dessus très longtemps et à la fin, c’est nous qui gagnons, incroyable, nous gagnons le duel final aussi, ils descendent et nous restons en haut, et non seulement nous gagnons ce duel, mais ensuite nous continuons à gagner et nous n’arrêtons plus, nous restons les derniers en haut, toujours, nous gagnons toujours, contre n’importe quel adversaire, personne n’est épargné, et c’est franchement génial de gagner de cette façon, il n’y a rien de mieux, vaincre sans se battre, sans mérite, et sans fin, car on gagne un tour gratuit et la femme de la caisse ce soir nous a choisis, elle a décidé de nous faire entrer dans le cercle magique victoire-tour gratuit-nouvelle victoire-nouveau tour gratuit, et ces moments ont peut-être été les plus beaux de ma vie, oui, les moments où j’ai été le plus heureux, ce soir-là, à la fête foraine de Castiglion della Pescaia, quand le dernier adversaire qui a osé nous tenir tête sombre dans l’abîme et que nous restons seuls en haut, Claudia et moi, baignant dans les lumières de la côte qui constellent le noir de la mer et caressés par la brise nocturne qui joue dans nos cheveux, convaincus tous les deux désormais – sensation inégalable – que bientôt ça se reproduira, et puis encore et encore et encore, elle parce qu’elle est persuadée que son père est imbattable, moi parce que je sais qu’il s’agit d’une espèce de miracle, que nous avons été choisis.
Da un par de largas caladas, luego también se echa él hacia atrás, sonríe —los hoyuelos pícaros—, y ya me toca a mí otra vez, y entonces le doy yo una, dos veces, y hay ensañamiento en mis caladas, no quisiera decirlo, pero hay porfía, competición, y luego otra vez él, y luego yo, y luego él, ya, la maldición de ser hermanos, la mitad para cada uno, una vez cada uno, primero uno y luego el otro, como cuando éramos niños, en el pony de los parques, o en los platillos volantes del Parque de Atracciones de EUR, junto a papá, y nunca ganábamos, nunca, algunas veces podía pasar que nos mantuviéramos arriba hasta el final, pero luego, en el duelo final, siempre éramos derribados, y me quedé con este trauma del uno-contra-uno durante años, no es broma, siempre he tenido miedo a los duelos, siempre he pensado que perdería y por eso siempre los he evitado, no sólo en el parque de atracciones, quiero decir, sino en la vida misma, siempre los he evitado cuidadosamente, los duelos, los mano a mano, siempre que fuera posible, hasta hace tres años, hasta esa maravillosa epifanía en la feria de Castiglion della Pescaia, cuando Claudia insistía en que la llevara a los platillos volantes, precisamente, y yo me armé de valor y la llevé, sufriendo ya por la humillación que sentiría dentro de poco cuando ese jodido papaíto junto al hijo gordinflón nos derribaran sin piedad, y sin mérito alguno, por otra parte, porque no iréis a decirme que esos platillos volantes disparan de verdad —¿qué, además?—, es la mujer que vende los tickets abajo, en la garita, la que lo decide todo, es ella la que decide quién gana y quién pierde, aunque no sé exactamente cómo lo hace, si hay un botón o qué, nunca lo he entendido; en fin, que nos subimos al platillo volante y yo ya empiezo a pensar en cómo justificarme en cuanto hayamos perdido una, dos, tres, cuatro veces, cuando Claudia empiece a estar mal, a perder siempre; y, por el contrario, ganamos, sí, los demás caen uno tras otro, nos quedamos solos con otro platillo, disparándonos durante un larguísimo instante y al final ganamos nosotros, increíble, ganamos incluso el duelo final, ellos se bajan y nosotros nos quedamos arriba, y no sólo ganamos ese duelo, sino que en adelante seguimos ganando y ya no paramos, permanecemos arriba siempre nosotros, ganamos siempre nosotros, contra cualquier adversario, todo para nosotros, y es verdaderamente fantástico ganar de esta forma, no hay nada mejor, de verdad, ganar sin luchar, ganar sin méritos, y sin fin, porque se gana un viaje extra y la mujer de la taquilla esta noche nos ha elegido a nosotros, ha decidido hacernos entrar en el formidable círculo mágico victoria-viaje extra-otra victoria-otro viaje extra, y tal vez ésos fueron los momentos más hermosos de mi vida, sí, los momentos en que fui más feliz, esa tarde, en la feria de Castiglion della Pescaia, cuando el último adversario que se atreve a enfrentarse con nosotros se hunde en el abismo y nosotros nos quedamos solos, Claudia y yo, ahí arriba, rodeados por las luces de la costa que puntean el negro del mar y acariciados por la brisa nocturna que nos desordena el pelo, ambos convencidos, ahora ya sí —es esto lo que no tiene comparación—, de que dentro de poco sucederá otra vez, y luego otra, y otra, y otra, ella porque está convencida de que su padre es invencible, yo porque sé que se trata de una especie de milagro, que hemos sido elegidos.
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