Translation for "incline" to spanish
Translation examples
Sur un plateau incliné.
Sobre una bandeja inclinada.
— Avec des toits inclinés.
—Con tejados inclinados.
 Son front… il est incliné !
—La frente ¡Es más inclinada!
Les fenêtres inclinées.
Las ventanas inclinadas.
Même Kutuzov s’était incliné devant lui.
Hasta Kutuzov se había inclinado ante él.
Elle repéra d’autres surfaces inclinées.
Había otras superficies inclinadas.
– J'incline à penser… commençai-je.
-Estoy inclinado a pensar… - dije.
Nous nous sommes posés sur le pont incliné.
Nos posamos en la cubierta inclinada.
Elle secoua sa tête inclinée.
Ella negó con la cabeza inclinada.
Le chapeau incliné.
El sombrero ladeado.
Les examina, la tête inclinée.
Las leyó con la cabeza ladeada.
Une putain de casquette inclinée sur le côté ?
¿Una puta gorra ladeada?
Il le regarda, la tête inclinée.
Se lo quedó mirando con la cabeza ladeada.
Il la regarde, le visage légèrement incliné.
La está mirando, con la cara ligeramente ladeada.
Il était presque retourné, un peu incliné.
Estaba casi boca arriba, un poco ladeado.
Il écoutait, la tête inclinée sur le côté.
Él escuchaba con atención, con la cabeza un poco ladeada.
La tête inclinée, il souriait patiemment.
Él tenía ladeada la cabeza y sonreía pacientemente.
Comme toujours, son chapeau était incliné sur une oreille ;
Como siempre, llevaba el sombrero ladeado;
Son chapeau brun était incliné en casseur.
Su sombrero, también marrón, iba ladeado airosamente.
— À la réflexion, j’incline à penser qu’un soupçon pourrait être jeté sur la crédibilité de ladite Farmer.
—Aunque bien pensado, me inclino a creer que podría arrojarse alguna duda sobre la veracidad de la Farmer.
Ni Odeen ni Dua n’avaient envisagé une interpénétration, mais de toute façon il ne leur serait pas venu à l’esprit de ne pas s’incliner devant cet ordre.
Ni Odeen ni Dua habían pensado en fusionarse, pero en caso contrario, tampoco les hubiera pasado por la mente desobedecer la orden.
Depuis le début, Jessica avait eu l’intuition que la période que Socorro avait passée aux États-Unis au titre d’infirmière l’avait inclinée vers le bien.
Jessica siempre había pensado instintivamente que los años de estudio en los Estados Unidos habían reconducido a Socorro por el buen camino.
Mon expérience de femme et d’amie des femmes m’incline à penser qu’une fille aura beau avoir lu, pensé, et parlé autant qu’il est possible, aura beau se croire prête à assumer certaines responsabilités, elle ne peut pas savoir ce qu’elle fait comme une femme mariée ou une femme plus âgée le saurait, et que la règle tacite dit avec raison qu’un homme d’expérience lui doit de la protéger de lui-même – et d’elle-même. » Violet n’était ni une prude ni une puritaine, mais une lesbienne qui ne dissimulait pas la chose à ses amis.
Mi experiencia personal, y la de otras mujeres amigas, me indica que una chica, por mucho que haya leído y pensado y conversado, por mucho que desee asumir ciertas responsabilidades, no puede tener el criterio que tiene una mujer casada o mayor, y que tiene razón el código no escrito que afirma que un hombre con experiencia debería protegerla de él y de sí misma». Violet no era una mojigata ni una puritana;
À l’autre bout du fil, Cindy avait dû s’interrompre pour reprendre son souffle. Aussitôt, Mel en profita : « Je ne m’ingénie nullement à démolir tes projets. Neuf fois sur dix, je m’incline, je fais ce que tu veux, bien que ces soirées mondaines me paraissent terriblement futiles. Je préférerais passer ces quelques heures à la maison, avec les enfants. — Foutaises que tout cela ! Et tu le sais ! » Mel sentit ses doigts se crisper sur l’écouteur. Pourtant, il devait reconnaître que cette dernière remarque était justifiée, du moins dans une certaine mesure.
Con todo, había momentos en que ver u oír a Cindy enojada todavía lo excitaba físicamente, renovando viejos deseos. Ahora sentía eso mientras la escuchaba acumular reproches y amarguras. —No es necesario que yo trastorne tus planes porque sí —dijo cuando pudo hablar—. Casi siempre hago lo que quieres aunque no le dé la misma importancia que tú a esas cosas. Lo que sí me gustaría sería pasar más noches en casa con las chicas. —No creo una palabra de esas estupideces. Se puso tenso y apretó la mano en el teléfono. Luego admitió que podía haber algo de verdad en la frase. Esta misma noche había pensado en las veces que se había quedado en el aeropuerto cuando podía muy bien haber ido a casa, sólo para evitar otra pelea con Cindy.
Mais c’est aussi de ta faute, tu ne m’aides pas, tu ne dis pas un seul mot, tu ne poses jamais de question, il est vrai que tu obéis à la consigne que je t’ai donnée quand je t’ai fait venir, bouche cousue… je t’ai dit, viens ici, écris, et bouche cousue… mais à présent tu obéis trop, si je perds le fil il faut me seconder, chez moi les années se chevauchent, et les lieux aussi, il suffirait parfois d’une observation, d’une question, pour me faire retrouver la boussole… ça aide… d’après moi tu le fais exprès, par méchanceté, tu es méchant à ta façon, tu t’es dit cette vieille carcasse arrogante me traite de manière hautaine, il m’offre le privilège de raconter sa vie, mais il me traite comme un pauvre connard, eh bien voyons un peu s’il ne va pas s’incliner à un certain moment, et si ce n’est pas lui qui me présentera ses excuses, s’il ne me demandera pas un coup de main ou un peu de lumière pour s’y retrouver dans ses souvenirs… Tu as pensé cela, n’est-ce pas ?, et à présent tu t’attends à ce que je pleurniche… s’il te plaît… s’il te plaît, tu connais ma vie dans ses grandes lignes, je dis dans ses grandes lignes c’est-à-dire plus ou moins où j’étais en quarante-neuf ou en cinquante-quatre ou en soixante-sept, ou en soixante-neuf, quand la première bombe explosa et qu’eut lieu le premier massacre, et alors, étant donné que tu as ces points de repère essentiels que je n’ai plus car je suis dans un état de grande confusion, donne-moi un coup de main.
Pero es culpa tuya también, no me ayudas nunca en nada, no dices ni media palabra, ni una sola pregunta nunca, es cierto que obedeces a la consigna de cuando te llamé, punto en boca, te dije, tú te vienes aquí, escribes, y punto en boca… pero ahora obedeces demasiado, si yo pierdo el hilo, sal a mi encuentro, a mí los años se me enmarañan y también los lugares, a veces bastaría con una observación, una pregunta, para hacer que recuperara el norte… una ayuda… yo creo que lo haces a propósito, por maldad, a tu manera eres mala persona, te has dicho, este viejo carcamal arrogante me trata con altanería, me concede el privilegio de escribir su vida, pero me trata como a un pobre gilipollas, pues bien, ya veremos si no acaba por rendirse antes o después, si no será él quien me pida una mano o algo de luz para desenredar sus recuerdos… Lo has pensado, ¿verdad?, y ahora esperas que yo gimotee… por favor… por favor, tú, a grandes líneas, mi vida la conoces, digo a grandes líneas, es decir más o menos dónde estaba yo en el cuarenta y nueve o en el cincuenta y cuatro o en el sesenta y siete o en el sesenta y nueve, cuando estalló la primera bomba y hubo la primera carnicería, pues entonces, dado que tienes esas coordenadas esenciales que yo ya no tengo porque estoy confuso, échame una mano.
Le plan architectural, de forme carrée, avait été, à quelques skaku près, fidèlement respecté, les quatre murs entièrement constitués d’étagères avaient été reproduits à l’identique, on les avait même coiffés d’un toit symbolique, ce qui donnait une valeur particulière à ce sanctuaire intérieur unique en son genre, l’entrée, une minuscule ouverture aussi étroite que basse percée dans le mur d’étagères, faisait face à l’entrée du kyôzo, et on avait délibérément percé cette ouverture de façon à ne laisser entrer qu’une seule personne, qui devait franchement baisser la tête et se tourner de côté pour pouvoir se faufiler à l’intérieur, tout avait été prévu pour que dans ce petit sanctuaire miniature à l’intérieur du grand sanctuaire, au centre duquel se trouvait une table basse assez large, une seule personne puisse s’asseoir, une seule personne puisse, une petite lampe à la main, feuilleter un livre qu’elle aurait précédemment choisi sur les étagères du mur est ou du mur ouest, un livre qu’elle ouvrirait ou déroulerait, car en fait il n’y avait pas assez de place pour plusieurs personnes, cet espace avait été conçu et bâti pour n’accueillir qu’une seule personne à la fois, quant à la fonction des quatre murs constitués d’étagères, dont l’un des éléments gisait au sol après avoir été renversé et brisé de façon incompréhensible, elle était absolument évidente : c’est là qu’étaient conservés les livres de prières du monastère indispensables à l’usage quotidien, parmi lesquels certains spécimens très précieux avaient été enfouis, écrasés sous l’étagère saccagée, et jonchaient le sol du sanctuaire, cette étagère, avant l’effraction, abritait plusieurs centaines d’exemplaires identiques du sûtra du Diamant, protégés dans des coffrets cartonnés dont le dos, où figuraient le titre, la désignation, et toutes les autres indications, était tourné vers l’extérieur, afin qu’on puisse les identifier, les retirer de l’étagère et les sortir du kyôzo sans être obligé de pénétrer dans cet espace intérieur, voué à tout autre chose, voué à permettre à quelqu’un de s’immerger dans les prières du Hyakumanto Darani, de rechercher les traces du génie de Kôbô Daishi en étudiant en toute quiétude les écrits du Shingon, ou de trouver la paix intérieure en feuilletant la collection unique de recueils de textes sacrés des sectes Tendai, Miroku et Dainichi, ou tout simplement quelques heures de calme et de tranquillité, à l’instar du petit-fils du prince Genji, qui ici trouva vraiment cette paix et cette tranquillité, car après avoir contourné l’espace saccagé, il s’était faufilé à l’intérieur du petit sanctuaire, s’était incliné devant le chapiteau de colonne face à lui, puis s’était assis sur le tatami et tandis que lentement, ligne après ligne, il examinait les titres de sûtras proches de lui, ses paupières s’étaient alourdies et, très vite, il s’était endormi.
Su planta cuadrada, aunque varios shaku más pequeña, era un fiel reflejo de la planta del kyozo, y las cuatro paredes formadas por estantes, imitaciones de las paredes del edificio, y la circunstancia de que se construyera un techo simbólico sobre estas cuatro paredes formadas por estantes, conferían un significado especial a este santuario interior que no tenía parangón y cuya entrada, una abertura sumamente baja y estrecha practicada en la pared de estantes, se hallaba, además, justo frente a la puerta del kyozo y dejaba claro que había sido creada para una sola persona, que sólo se había pensado en una persona al diseñarla, en aquella que, inclinando debidamente la cabeza y poniéndose de costado, pudiese introducirse en ese espacio interior, es decir, se consideró que únicamente un hombre se sentaría dentro, en ese santuario pequeño dentro del espacio grande, provisto sólo de una mesa ancha y baja en el centro, que únicamente un hombre, con la vela en la mano, desenrollaría o desplegaría y hojearía un libro guardado sea en el lado oriental, sea en el occidental, un libro que sacaría y traería de allí, porque simplemente no había lugar para más allí dentro, es decir, que las dimensiones habían sido calculadas de manera que quedase patente que no se contaba con más de una persona al mismo tiempo, así estaba todo planeado y así se construyó también, mientras que la tarea de las cuatro paredes formadas por estantes, uno de los cuales yacía ahora en el suelo, incomprensiblemente caído y roto, consistía a todas luces en guardar los textos imprescindibles para el monasterio, destinados al uso diario, varios de los cuales habían sido aplastados y destrozados por la estantería derribada y estaban ahora esparcidos por la devastación en el suelo del santuario, ya que hasta la irrupción se conservaban allí varios cientos de ejemplares idénticos del Sutra del Diamante, todos ellos con el lomo de los cartones, el título, las signaturas y los signos de identificación mirando hacia fuera, para que desde fuera se pudiesen identificar, alcanzar y coger de los estantes y sacar del kyozo sin necesidad de entrar en ese espacio interior destinado a un objetivo y a una tarea muy distintos, concretamente a que alguien se sumiese allí en las plegarias de Hyakumanto Dharani, a que alguien empeñado en buscar allí las memorias del genio de Kobo Daishi estudiase con toda calma el mundo escrito de la escuela shingon, a que alguien encontrase sin más la quietud, unas cuantas horas de paz y tranquilidad en esa colección sin par de los libros sagrados de Tendai, de Miroku y de Dainichi, tal como ocurría en esos precisos momentos al nieto del príncipe Genji, quien en verdad encontró allí la paz y la tranquilidad, pues eludió el lugar de la destrucción y se introdujo por la abertura en el santuario interior, se inclinó respetuosamente ante la columna situada enfrente, se instaló sobre el tatami y luego, mientras recorría con la mirada poco a poco, estante por estante, los títulos de los sutras más cercanos, sus párpados comenzaron a pesarle y el sueño no tardó en adueñarse de él. XXXII
à nouveau merci d’être mon ami car vous avez vu mon visage sur le timbre de l’enveloppe de la lettre que j’ai envoyée car je vais m’en aller et retrouver un ami dans l’hiver qui ne s’en va jamais et dit comme ça se fait dans le yorkshire le temps nous laisse encore tomber encore l’hiver à la mi-mai émission dix diffusée le dix-huit mai mille neuf cent soixante-dix-neuf à morley le cadavre de joanne clare thornton découvert dans lewisham park le lendemain matin frappée deux fois à la tête morte sur le coup vêtements remis en place poignardée à vingt-cinq reprises avec un couteau de cuisine à lame de dix centimètres très graves lésions dans la région de l’abdomen et du vagin une chaussure posée entre ses cuisses manteau étendu sur elle et me suis garé et j’ai couru pour la rattraper et j’ai dit s’il vous plaît et je lui ai demandé l’heure et elle a plissé les paupières et regardé la pendule qui se trouvait en face a dit qu’il était vingt-trois heures trente et j’ai dit vous avez de bons yeux et elle a dit merci et j’ai dit d’où venez-vous et elle a dit qu’elle était allée voir sa grand-mère et j’ai dit est-ce que vous avez beaucoup de chemin à faire et elle a dit un bon bout et j’ai dit avez-vous envisagé d’apprendre à conduire et elle a dit qu’elle préférait l’équitation et j’ai dit vous devriez faire attention seule dans ce parc à cette heure on ne peut faire confiance à personne par les temps qui courent et je me suis accroupi j’ai feint d’attacher le lacet de ma chaussure puis j’ai sorti le marteau de ma poche et je l’ai frappée deux fois sur le sommet de la tête et je l’ai traînée hors du chemin j’ai mis ses vêtements en place et j’ai sorti le tournevis philips de dix centimètres à la pointe affûtée et j’ai pris le couteau de cuisine et je l’ai frappée vingt-cinq fois et à trois reprises j’ai inséré le tournevis dans son vagin et j’ai percé l’utérus toujours l’hiver la cassette suivante reçue le vingt juin mille neuf cent soixante-dix-neuf je suis jack je vois que vous n’avez toujours pas réussi à m’arrêter j’ai le plus grand respect pour vous george mais merde vous n’êtes pas plus près de m’arrêter qu’il y a quatre ans quand j’ai commencé sûrement que vos gars vous laissent tomber george ils sont probablement pas très bons hein la seule fois où ils ont failli m’arrêter c’était il y a quelques mois à chapeltown quand j’ai été dérangé et c’était un flic en uniforme pas un officier je vous ai averti en mars que je frapperais encore désolé c’était pas à bradford je l’avais promis mais j’ai pas pu y aller je sais pas bien où je vais frapper à nouveau mais ça sera forcément dans le courant de cette année en septembre en octobre plus tôt si l’occasion se présente je sais pas bien où peut-être à manchester j’aime bien cette ville et il y en a plein qui traînent elles sont pas capables de comprendre hein george je parie que vous les avez averties, mais elles écoutent pas j’avais dit preston et je l’ai fait hein george sale conne j’ai déchargé dedans au rythme où je vais je devrais être dans le livre des records je crois que ça fait onze maintenant hein bon je vais continuer pendant encore un bon moment j’ai pas l’impression que je risque de me faire coffrer pour le moment même si vous approchiez je crois que je me buterais avant bon je suis content d’avoir bavardé avec vous george bien à vous jack l’éventreur inutile de chercher des empreintes digitales vous savez sûrement maintenant que la cassette est propre comme un sou neuf à bientôt salut j’espère que la rengaine de la fin vous plaira ha ha merci d’être mon ami a fait la route dans les deux sens ton cœur est fidèle et tu es un ami et un confident je n’ai pas honte de dire que j’espère que ça sera toujours comme ça je tire mon chapeau tu pourrais te lever et t’incliner si tu organisais une fête et invitais tous les gens que tu connais tu verrais que le plus gros cadeau serait le mien et la carte dirait merci d’être mon ami si c’est une voiture qu’il te faut je t’achèterais sûrement une corsair blanche quoi qu’il te faille à n’importe quel moment jour et nuit ça sera toujours comme ça quand on sera vieux avec une canne et les cheveux gris ne crains rien même si 17
repetiré de nuevo gracias por ser mi amigo porque has visto mi cara en el sello del sobre de la carta que te envié y me iré de aquí para reunirme con un amigo en este invierno que nunca termina y con acento de yorkshire digo que el tiempo nos está volviendo a fallar a mediados de mayo y todavía invierno transmisión número diez enviada en mayo de mil novecientos setenta y nueve en morley joanne clare thornton encontrada muerta en lewisham park a la mañana siguiente murió en el acto de dos golpes en la cabeza la ropa recolocada apuñalada veinticinco veces con un cuchillo de cocina de diez centímetros de largo heridas en la región abdominal y en la vagina un zapato entre los muslos cubierta con el abrigo aparqué y salí corriendo para alcanzarla y dije perdona y le pregunté la hora y entrecerró los ojos para ver el reloj de enfrente y dijo que eran las once y media y dije vaya qué buena vista tienes y dijo gracias y dije de dónde vienes y dijo que de ver a su abuela y dije vas muy lejos y dijo tengo un buen paseo y dije no has pensado en aprender a conducir y dijo que prefería montar a caballo y dije deberías tener cuidado sola en este parque a esta hora de la noche hoy en día no te puedes fiar de nadie y me detuve como si fuera a atarme el cordón del zapato y saqué el martillo del bolsillo y le di dos veces en la coronilla y la arrastré fuera del camino la desnudé y entonces saqué el destornillador de estrella philips de diez centímentros bien afilado y el cuchillo de cocina y le di veinticinco puñaladas y le clavé el destornillador tres veces en la vagina y le perforé el útero todavía invierno la siguiente recibida el veinte de junio de mil novecientos setenta y nueve para ti george pero no estás más cerca de atraparme ahora que cuando empecé hace cuatro años me parece que tus chicos te están fallando george no pueden ser muy competentes si la única vez que estuvieron a punto de pillarme fue hace unos meses en chapeltown cuando perdí los nervios incluso entonces fue un poli de uniforme y no un detective te advertí en marzo que volvería a actuar perdona que no fuera en bradford ya sé que te lo había prometido pero no pude llegar y no estoy seguro de cuándo volveré a actuar aunque será definitivamente este año puede que en septiembre octubre incluso antes si se presenta la ocasión no estoy seguro de dónde puede que en manchester me gusta esa ciudad hay muchas pululando por ahí pero nunca aprenden verdad george seguro que se lo has advertido pero ellas no hacen caso dije que la buscaría en preston y cumplí mi palabra george una cerda asquerosa subió a mi camión al paso que voy debería salir en el libro de los récords creo que ya son once verdad bueno seguiré así un poco más pero no me veo en chirona aunque te acerques probablemente siempre iré por delante bueno ha sido un placer charlar contigo george tuyo jack el destripador no te molestes en buscar huellas dactilares a estas alturas ya deberías saber que soy limpio como un silbido nos veremos pronto adiós espero que te guste la melodía pegadiza del final ja ja gracias por ser mi amigo recorres el camino y una vez más el corazón el corazón es fiel eres un amigo y un confidente no me avergüenzo de decir que espero que todo siga igual me quito el sombrero no querrás levantarte y saludar con una reverencia si dieras una fiesta e invitaras a todos verías que el mejor regalo te lo haría yo y en la tarjeta diría gracias por ser mi amigo si es un coche lo que necesitas yo te lo compraría un corsair blanco lo que necesites a cualquier hora del día o de la noche todo seguirá igual y cuando seamos viejos y andemos con bastón y el pelo gris no tengas miedo aunque
creído
Il avait pris sa passion pour de l’adoration; et voyez un peu: ce n’était qu’une pauvre petite inclination! Il avait mis des mois à la conquérir. Elle lui avait avoué ses sentiments une semaine plus tôt, et pendant sept jours, il avait été le garçon le plus heureux et le plus fier qui soit au monde;
Se había creído locamente enamorado, le había parecido su pasión, un fervoroso culto, y he aquí que no era más que una trivial y efímera debilidad. Había dedicado meses a su conquista, apenas hacía una semana que ella se había rendido, él había sido durante siete breves días el más feliz y orgulloso de los chicos;
Un peu enveloppée, les yeux verts inclinés et les pommettes hautes, Sheriam portait une robe d’équitation verte. Et bien qu’elle fût assise sur un des deux tabourets branlants, en face d’Egwene, elle parvenait à paraître à la fois élégante et assurée. Si on avait remplacé son étole bleue, plus étroite que celle de la Chaire d’Amyrlin, par le modèle plus large, nul n’aurait songé un instant à mettre en doute sa légitimité. Parfois, elle devait d’ailleurs s’imaginer que c’était elle, la dirigeante suprême.
Algo metida en carnes, con pómulos altos y rasgados ojos verdes, con su vestido de montar en color verde oscuro, la mujer se las arreglaba para ofrecer una apariencia elegante y autoritaria a pesar de estar sentada en una de las inestables banquetas que había al otro lado de la mesa. Si hubiera cambiado la estrecha estola azul de Guardiana de las Crónicas por la de la Amyrlin, cualquiera habría creído que la llevaba por derecho. Lo cierto es que a veces actuaba como si la estola de rayas descansara sobre sus hombros—.
Il n’éprouvait aucune inclination mystique et n’avait jamais cru aux karmas ni aux augures des santeros8, ni même aux simples hasards capables de forger un nouveau destin, mais la victoire sur le temps de cette fresque de la chapelle Scrovegni, peinte par Ambrogio di Bondone presque sept siècles avant ce jour singulier où il fêtait ses trente-huit ans, lui transmit la sensation physique et tangible d’assister à la naissance de quelque chose de plus proche et de plus actif qu’un Dieu céleste.
Miguel era un hombre sin inclinaciones místicas y nunca había creído en karmas, ni en augurios de santeros, ni siquiera en simples casualidades capaces de hacer un nuevo destino, pero la victoria sobre el tiempo de aquel fresco de la capilla Scrovegni, pintado por Ambrogio di Bondone casi siete siglos antes de ese día singular en que Miguel cumplía los treinta y ocho años, le provocó la tangible sensación física de estar asistiendo al nacimiento de algo más cercano y activo que un Dios de los cielos.
Le tronc mince, les branches rares et anguleuses et cette forme relevée des feuilles donnent au niyk un aspect épineux très particulier, de sorte que même à une grande distance on ne peut le confondre avec un autre arbre. Etowan partit en courant vers la plantation, accompagné de Simoost. À plusieurs centaines de mètres des niyks, il remarqua quelque chose qu’il n’aurait pas cru possible. Toutes les feuilles étaient inclinées, comme si, au lieu de niyks, il s’agissait d’arbres pleureurs, des tanigales ou des halatingas !
Dado que el árbol es muy delgado y sus ramas escasas y angulosas, las hojas erguidas le confieren un aspecto espinoso muy llamativo, de tal modo que un niko es inconfundible incluso visto a gran distancia. Cuando Etowan y Simoost echaron a correr hacia los árboles, el primero, pese a encontrarse a varios centenares de metros, vio que algo raro ocurría, algo que él jamás habría creído posible: las hojas de todos los nikos estaban orientadas hacia abajo, como si no se tratara de esos árboles sino de tanigales o halatingas…
« J’aurai quarante ans en juin », pensa-t-il. Il avait toujours été convaincu que, si un homme n’atteignait pas la crête de la vague avant quarante ans, il ne l’atteindrait jamais. D’un autre côté, quelle était la règle applicable à celui que la lame avait porté au faîte avant trente ans, qui l’avait allègrement chevauchée pendant une décennie et se trouvait subitement projeté dans le creux ? Était-il désormais condamné à la médiocrité ? Il sentit la révolte gronder en lui… non, il n’allait pas s’incliner humblement devant le mauvais sort.
En junio cumpliré cuarenta años.» Siempre había creído que si un hombre no ha sido arrollado por la gran ola antes de los cuarenta años, nunca lo logrará, pero ¿qué reglas rigen la vida de un hombre que lo ha logrado antes de los treinta, que se ha montado a ella y se ha deslizado a lomos de la ola, hasta perderla antes de cumplir los cuarenta y ha sido arrastrado al fondo del mar por un enorme torbellino? ¿Acaso él también había perdido su oportunidad? Nick se miró al espejo y sintió que su furia se transfiguraba: esta vez estaba encauzada hacia un fin particular. Se metió en la ducha y se dejó envolver por los hilillos de agua ardiente.
Et quand X voit son beau-père, à l’occasion des visites incessantes auxquelles il escorte sa femme, dans la chambre de malade aménagée dans son (c.-à-d. celle du vieux monsieur) opulente résidence néoromane sise à l’autre bout de la ville (et, ce lui semble, dans une tout autre galaxie économique, à des années-lumière), très loin de la demeure plutôt modeste des X, l’expérience est insoutenable, pour toutes les raisons citées plus haut, et ce d’autant que le père de la femme de X – lequel, bien qu’il demeure à ce stade confiné au lit d’hôpital télécommandé dernier cri installé par sa famille, une aide-soignante portoricaine postée à ses côtés, est cependant toujours rasé de près, vêtu et coiffé avec grand soin, le double Windsor de sa cravate club impeccablement noué, les triple foyer à monture d’acier immaculées, comme s’il se tenait prêt à sauter du lit dans le costume Signor Pucci et la robe d’avocat qu’il aurait exigés de la Portoricaine pour retourner au tribunal d’instance du septième district rendre quelques derniers verdicts implacablement syllogisés, mise et maintien que dans son égarement la famille semble interpréter comme une preuve supplémentaire de la dignité déchirante et de la joie de vivre dum spiro du vieil oiseau de proie, et de son inflexible volonté – d’autant que le beau-père, donc, semble toujours réserver à X une froideur et une distance démonstratives lors de ces visites charitables et lui, sentinelle maladroite derrière sa femme qui s’incline au-dessus du lit, les larmes aux yeux, au-dessus du malade telle la petite cuillère ou la barre de métal attirée et tordue par la puissance maléfique du médium, lui se sent d’abord submergé par un sentiment d’exclusion puis de dégoût, tenaillé par le ressentiment et le désir de faire du mal au vieux monsieur aux prunelles d’acier qu’il a, à vrai dire, toujours tenu in petto pour un connard de la pire espèce, et il découvre maintenant qu’il suffit d’un reflet sur les triple foyer du beau-père pour l’attiser, cette haine qu’il n’a jamais pu étouffer ; et de son côté le beau-père, percevant sans doute la haine secrète et involontaire de X, lui fait sentir qu’il n’éprouve aucune joie à le voir, ne tire nul réconfort ni soutien de sa présence et préférerait qu’il ne soit pas dans la pièce, entre Mrs. X et la luxueuse infirmière d’hospice, souhait que X lui-même, dans l’amertume de son for intérieur, se surprend à partager, lors même qu’il s’applique à déployer et projeter un sourire toujours plus large, toujours plus dévoué, toujours plus empathique, d’où l’intense perplexité, le dégoût et la rage qui l’étreignent dans la chambre du malade où, aux côtés de son épouse, il finit invariablement par se demander ce qu’il a bien pu venir chercher.
Y los encuentros de X con su suegro, siempre que X acompaña ahora a su mujer en sus incesantes visitas a la habitación de enfermo del viejo en la opulenta casa neorrománica que él (es decir, el viejo) y su mujer tienen en la otra punta de la ciudad (en lo que parece una galaxia económica completamente distinta) respecto a la casa más bien modesta de los X, resultan especialmente atroces, por todas las razones antes mencionadas, a las que se añade el hecho de que el suegro de X —que, a pesar de que en esa fase de su enfermedad, está recluido en una cama de hospital ajustable especial de primerísima calidad que la familia ha llevado a la casa, y siempre que X va a verlo está postrado por la enfermedad en esa cama especial de alta tecnología y atendido por un técnico portorriqueño especialista en enfermos desahuciados, sin embargo siempre está inmaculadamente afeitado, acicalado y ataviado, con un doble nudo Windsor en su corbata del club y sus trifocales con montura de acero perfectamente limpias, como si se mantuviera preparado para saltar en cualquier momento, ordenarle al portorriqueño que le trajera su traje Signor Pucci y su toga de juez y regresar al Tribunal Fiscal del Distrito Séptimo para seguir tomando decisiones despiadadamente bien razonadas, un porte y una indumentaria que la familia consternada parece percibir de forma unánime como una señal más de la dignidad sobrecogedora, el dum spero joie de vivre y la fuerza de voluntad del viejo—, el hecho de que el suegro siempre parece mostrarse ostensiblemente frío y arrogante en sus modales hacia X durante estas visitas obligadas, mientras que a su vez X, de pie y sumamente incómodo detrás de su mujer mientras a esta le hacen un ademán suplicante para que se incline sobre la cama del enfermo igual que una cuchara o una vara de metal es conminada a doblarse hacia delante por la escalofriante fuerza de voluntad de un mentalista, normalmente se siente abrumado en primer lugar por la alienación, luego por el disgusto y el resentimiento y finalmente por una verdadera malevolencia hacia el viejo de mirada férrea que, la verdad sea dicha, X siempre ha creído secretamente que era un gilipollas de primera categoría, y ahora siente que un simple destello de las gafas trifocales del suegro le molesta, y no puede evitar sentir odio hacia él; y el suegro, a su vez, parece captar el odio involuntario de X y responde mostrando de forma inequívoca que no se siente en absoluto contento, animado o respaldado por la presencia de X y que desearía que X no estuviera allí en la habitación con la señora X y el flamante técnico en enfermos desahuciados, un deseo que X siente que comparte amargamente en su interior por mucho que se esfuerza en mostrar una sonrisa todavía más amplia, compasiva y generosa dirigida a la habitación en general, de forma que X siempre se siente confuso, asqueado y colérico en la habitación de enfermo del viejo con su mujer y siempre termina preguntándose qué demonios está haciendo allí. Sin embargo, como es obvio, a X le produce unos remordimientos considerables el hecho de sentir ese disgusto y ese resentimiento en presencia de un humano semejante y un pariente legal que está deteriorándose de forma continuada e inoperable, y después de cada visita a la resplandeciente cabecera, mientras lleva en coche en silencio a su consternada esposa, X se castiga a sí mismo en secreto y se pregunta dónde están su decencia y su compasión fundamentales.
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