Translation for "heurté" to spanish
Translation examples
Jesse, qui n’avait pas mis sa ceinture, s’est assommé quand sa tête a heurté la boîte à gants.
Jesse, que no se había puesto el cinturón, ha perdido el sentido al pegar con la cabeza en la guantera.
Deux hommes dont les voitures s’étaient heurtées coururent l’un vers l’autre et le premier tentait de frapper le second qui le retenait simplement.
Dos hombres, cuyos coches habían chocado, corrían uno detrás del otro; el primero quería pegar al segundo, mientras que este se limitaba a cogerle fuertemente.
La semelle de sa chaussure dérapa sur la glace, il eut tout juste le temps de plaquer les paumes sur la surface d’un froid brûlant avant que le reste de son corps ne heurte le trottoir.
La suela del zapato se deslizó sobre el hielo y tuvo el tiempo justo de pegar las palmas de las manos a la superficie congelada antes de que las siguiera el resto del cuerpo.
Quelque chose l’avait frappé juste sous les côtes, sans qu’il sache s’il avait simplement heurté le bureau ou si un projectile l’avait atteint. Il riposta avec fureur à l’aide de son arme et l’homme lâcha son sac.
Sintió un puntapié bajo las costillas, pero no sabía si se había golpeado con el filo de la mesa o si le acababan de pegar un tiro. Disparó sin mirar, y el hombre soltó el morral.
L’oncle Vernon la rattrapa avant qu’elle ne heurte le sol et regarda bouche bée les Weasley qui arboraient tous une chevelure d’un roux vif. Fred et George, les jumeaux, étaient parfaitement identiques, jusqu’à la moindre tache de son.
Tío Vernon la cogió antes de que pegara contra el suelo, y se quedó con la boca abierta, sin habla, mirando a los Weasley, todos con el pelo de color rojo vivo, incluyendo a Fred y George, que eran idénticos hasta el último detalle.
mais, avant qu’il pût faire usage de son arme, Colomba lui saisit le bras qu’elle tordit avec force pendant qu’Orso, le frappant du poing au visage, le fit reculer quelques pas et heurter rudement contre le chambranle de la porte.
pero antes de que pudiera hacer uso de su arma, Colomba le agarró el brazo y se lo retorció con fuerza mientras Orso, golpeándole con el puño en el rostro, le hacía retroceder unos pasos y pegar rudamente contra el quicio de la puerta.
Eddie écrasa la pédale d’accélérateur. Il braqua le volant de telle sorte que l’avant du van vienne heurter l’arrière d’une toute petite berline de fabrication chinoise. En faisant brûler la gomme de ses pneus, la camionnette poussa le minuscule véhicule hors de son passage.
Eddie pisó el acelerador y giró el volante de forma que el morro de la furgoneta se pegara a la parte trasera de un pequeño utilitario de fabricación china que nunca antes habían visto, quemando rueda mientras empujaban el vehículo para quitarlo de en medio.
L'homme étendu sur sa gauche et enchaîné à lui par la cheville n'arrêtait pas de geindre, et ils étaient si serrés qu'au moindre mouvement ils sentaient l'épaule, le bras, la jambe de l'autre. Kounta se releva précautionneusement et toucha de son cr‚ne le plafond de bois contre lequel il s'était heurté : il n'y avait même pas la place de se tenir assis.
A la izquierda de Kunta, encadenado a él por los tobillos, yacía otro hombre, que no cesaba de quejarse. Todos estaban tan encimados que si alguno se movía, se tocaban los hombros, los brazos y las piernas. Se acordó de la madera contra la que se había pegado, y se levantó un poco, para volverse a pegar levemente: no había ni siquiera espacio para sentarse.
Note « Colon Man » : chanson jamaïcaine traditionnelle évoquant la figure de l’ouvrier prospère, de retour au pays après avoir travaillé sur le chantier du canal de Panama. Demus Et la Datsun file sur une autre route que je connais pas, puis une autre route, puis à gauche une autre route, un jeune mec s’écarte d’un bond mais on entend quand même un choc, personne parle mais tout le monde crie, Weeper dit la ferme, abrutis, la ferme, abrutis, on tourne encore, tourne, tourne et on enfile un chemin si étroit qu’on racle les maisons de chaque côté, ça fait des étincelles, et quelqu’un crie au-dedans, au-dehors de la voiture, j’en sais rien, puis on se paie une ornière, deux, trois, la voiture rebondit, on vire à droite sur les chapeaux de roues devant un bar où passe SA chanson, un bar avec une enseigne Pepsi et un autre avec le vieux bonhomme Schweppes, Heckle dit balancez les guns, jetez les guns, et il balance le sien, Weeper dit bomboclat d’imbécile, mais il continue à rouler et on tourne à droite, la rue est si petite qu’y a pas de réverbères, de phares, un chien, on a heurté un chien, à gauche, à droite, et personne sait où on est, moi je sais que je sais pas, je sens que ma tête redescend déjà, je vais pas l’avoir, ma dose, cette descente est de plus en plus triste, la bile monte dans ma gorge, je ravale, on tourne dans une sente vide et une autre sente, et on débouche sur une vraie route qui traverse une vallée dans Ordureland et je vois que la police nous suit plus, moi j’suis qu’un jeune et j’voudrais ma femme, celle que j’ai quittée ce matin en sachant que je reviendrais pas forcément, mais sans y croire, j’veux ma femme, mais personne moufte à bord, sauf Heckle qui dit les chiens vont nous bouffer, on va rôtir en enfer, ils vont nous massacrer, ils vont nous mettre en état d’oppression, ils vont nous éradiquer, il se met à chialer et Weeper stoppe et sort de la bagnole, et qu’est-ce que tu fous bomboclat, dit Josey mais Weeper tire son revolver, ouvre la portière arrière, descends de cette bomboclat de bagnole, la lopette, il dit à Heckle, mais Heckle dit pas question, Weeper tire en l’air, je pense, putain, ça va attirer du monde, mais Weeper lui colle son calibre sur la tempe et me dit Mon frère, tu ferais mieux de te bouger car la cervelle va t’éclabousser, et Heckle commence à pleurnicher, je sors, je sors, j’m’en vais, il descend de la voiture et Weeper lui arrache le M16 et le jette sur une montagne d’ordures, et braque son gun, et dit t’as intérêt à courir car je te connais plus et comme l’autre se retourne il lui fout son pied aux fesses, Heckle chancelle, se relève et s’enfuit, et Weeper remonte à bord, ceux qui veulent faire pareil c’est maintenant qu’on descend, personne veut descendre, je voudrais juste aller dans une grotte sur la plage ou un trou, je voudrais juste un rail, juste un petit rail, rien qu’un petit rail avant de crever et puis je me raisonne je sais qu’ils me tueront parce que bien obligés et j’suis l’un de ceux qui l’ont tué, LUI, c’est comme celui qu’a tué Jésus, j’voudrais que ma femme me chante quelque chose, j’aurais préféré mourir d’une maladie du ghetto comme la polio, le scorbut ou la malnutrition, enfin ce qui tue les pauvres gens, Weeper redémarre et on traverse Ordureland, pendant combien de temps on va rouler, si on s’arrête jamais pourquoi pas aller jusqu’à Copenhagen City, et dans le gully* près de Trench Town, Weeper s’arrête, il sort de la voiture et il court, il court, il court, nous laissant tous les trois, il se barre et il disparaît dans les taillis comme s’ils l’avaient englouti, je guette le beurp et Josey Wales à l’avant regarde Bam-Bam, et Bam-Bam s’enfuit et disparaît vers l’ouest, et Josey Wales me regarde et dit abruti, t’as failli l’être, ç’aurait été toi si t’avais pas sniffé cette saleté-là, et je dis de quoi tu causes mais il s’enfuit à l’est dans les fourrés qui l’engloutissent, je crois que je guette un autre beurp, cette idée me fait rigoler mais y a pas de quoi rigoler, pas cette fois, alors je me mets à pleurer, personne pour me voir, en tout cas personne de visible, j’voudrais pleurer plus fort, j’veux ma femme, j’veux ma dose, car je déteste la descente, j’aime pas, j’aime encore moins que me dire qu’y vont me buter et y a même pas un mois que j’ai commencé à sniffer, à me transformer en fou furieux dans les rues, ce manque, ça rend dingue, mon cerveau a dû se barrer quelque part et il reviendra plus jamais, mais rien revient maintenant, rien du tout, quelque chose effleure la végétation au bord du fossé et les taillis s’illuminent comme des cheveux qui s’enflamment, comme le buisson ardent dans la Bible, cette lumière ça veut dire qu’une voiture vient par ici en prenant le canal comme raccourci, c’est la police, je sais que c’est la police, je sens que c’est la police, cours, cours, cours, trébuche sur une pierre, cogne ton genou, ronchonne et merde, relève-toi, essaie de courir mais la jambe gauche est à la traîne comme l’assassin dans L’Inspecteur Harry, maintenant Harry est après moi, non, non, non, ici même une touffe d’herbes si haute qu’elle me cache comme une petite chaise peut cacher un gros lapin, de quel côté est allé le lapin, de quel côté il est allé, mais je suis pas le lapin, je suis Charlie le coq et je vais me cacher, je dis, je vais me cacher derrière cette touffe-là, et tu vois ce que je vais faire, c’est une blague… je dis, c’est une blague, fiston hi-hi-hi ha-ha-ha, la voiture passe, je peux pas m’arrêter de rigoler, ils vont m’attraper, hi-hi-hi, sais pas pourquoi j’peux pas m’arrêter de rigoler, ferme-toi, bouche, je me ferme la bouche, la voiture passe dans un bruit de ferraille et fait gicler l’eau sale qui s’écoule par le gully, réveillant les rats, plein de rats, envie de crier et aïïïïïïe, personne pour m’entendre, aïïïïïe comme une fille, maintenant mon gun a disparu, il est introuvable, les rats l’ont emporté, y vont m’arracher la peau et grignoter mes orteils, et qu’est-ce qu’y a comme saletés dans ce fossé : paquets de lessive, boîtes de cornflakes, détergent, farine reconstituée, farine enrichie, sacs en plastique, rats morts piégés dans des sacs en plastique, rats vivants sortant de briques de lait, de paquets de biscuits, trottinant sur des bouteilles de soda, des bouteilles d’huile de friture, de liquide vaisselle Palmolive, je crois que c’est Palmolive, vos mains préservent toute leur douceur, y a autant de bouteilles que de rats, et y en a dans des bouteilles qu’arrivent pas à en sortir, faut m’enfuir, faut m’enfuir et oublie ton gun, tire un trait dessus, ils vont venir te tuer, mais j’veux pas mourir, j’vais implorer Jésus, implorer Papa-Lo, implorer Copenhagen City, mais c’est pas Papa-Lo qui nous a envoyés, c’est Josey Wales, mais Josey Wales peut rien sans Papa-Lo qui dit oui, non, peut-être que si, bon, j’essaie de penser en ligne droite mais ligne signifie blanche, signifie coke, besoin d’une dose, d’une dose, d’une dose, et j’ai mitraillé SA maison et c’est pas un truc à quoi je pense tout le temps mais qui entre et qui sort de ma tête comme quand j’ai pas mis de slip, je sais que Josey Wales était censé se faire plein de blé grâce à ça, sinon il l’aurait pas fait, la politique c’est rien pour un homme comme lui, tout le monde sait ça et y avait pas de policiers ni de gardes, pas un seul garde, comme s’ils avaient été prévenus, mais Josey m’avait promis que j’aurais au moins un flic à buter et pas de garde à la grille, on est entrés en vitesse mais on aurait pu prendre tout notre temps, je crois que tout ce que j’ai dégommé c’est un piano, je dois retourner à Copenhagen City parce qu’on dirait qu’ici c’est territoire PNP, pourquoi Weeper nous largue en territoire PNP alors qu’on vient de buter le plus célèbre des sufferahs et celui qui va me trouver va me régler mon compte, j’me demande où j’vais et la route est défoncée, et les rats, les rats, les rats, les rats, les rats, les rats, je m’enfuis et y doit être tard parce que cette première rue est déserte et j’sais pas où je suis, ici, y a deux bars, la pancarte dit fermé, deux chiens qui pioncent, un chat qui rôde, une carcasse de voiture calcinée qui bloque la route, un panneau qui dit : « Rose Town. À pied. À moto. En voiture.
Demus Y el Datsun enfila a to lo que da por otra calle que ni conozco y luego otra y luego dobla a la izquierda por otra calle un chamaco se aparta de un salto, pero aun así oímos un golpe nadie habla, pero to el mundo grita Llorón dice: cállense, maricones, cállense, maricones, volvemos a doblar y a doblar y a doblar y entramos a todo meter por un callejón tan estrecho que el carro toca las casas por los dos laos y hace saltar chispas y alguien pega un grito dentro del carro o fuera, yo no sé, luego pisamos un bache dos baches tres baches el carro va saltando y luego patinamos a la izquierda alante de un bar donde tienen puesta una canción SUYA un bar con cartel de Pepsi y el otro con un letrero del viejo de Schweppes Checho dice tiren las armas tráiganlas y él tira la suya Llorón le dice que es un idiota de pinga pero sigue manejando y jorobamos a la derecha y nadie sabe ni dónde carajos estamos yo no tengo ni idea y siento que me está bajando la farlopa y no voy a tener ahora mismo otra raya y ya estoy bajando y bajando y cada vez más triste y me viene vómito a la boca y me lo trago y nos metemos por un callejón vacío y luego por otro y salimos a una calle ancha que forma un valle por el medio de las Garbagelands y entonces veo que los policías ya no nos siguen ahora mismo soy un vejigo y quiero a mi mujer a la mujer a la que dejé esta mañana sabiendo que quizá yo no volvería pero sin pensarlo quiero a mi mujer pero nadie de los que vamos en este carro dice nada hasta que Checho dice: pinga, cojones estamos cumplíos nos van a tirar to el peso de la ley encima nos van a planchar vivos y se pone a llorar y Llorón para en seco el carro y sale y Josey le pregunta: qué cojones vas a hacer, pero Llorón desenfunda su revólver y abre la puerta trasera de la izquierda y sal del salao carro este ahora mismo, maricón le dice a Checho pero Checho dice: no, no pienso ir a ningún lao Llorón dispara al aire y yo pienso Dios mío ahora sí que va a salir to el mundo pero Llorón le pone la pistola al lao de la cabeza a Checho y me dice a mí hermano, mejor muévete porque vas a quedar to salpicao de sesos, y Checho se pone a berrear ya salgo, ya salgo, ya voy y sale del coche y Llorón le quita el M16 y lo tira en una montaña de basura y lo señala con la pistola y le dice: mejor piérdete porque no quiero volver a verte la jeta y mientras el chama se da la vuelta Llorón le mete una patada en el culo y él se tropieza se levanta y sale que jode y Llorón regresa al carro si alguien quiere irse con él, que salga del singao carro pero ya, ahora mismo, pero nadie quiere salir yo lo que quiero es irme a una cueva de la playa o a algún agujero parecido donde meterme solo quiero otra raya por favor solo una raya más antes de morirme y en ese momento pienso que me van a matar porque no les queda otro remedio y que voy a ser uno de los men que lo han matao a ÉL que es como ser uno de los men que mataron a Jesucristo y ojalá mi mujer me pudiera cantar a mí y ojalá yo me hubiera muerto de alguna enfermedad del gueto de la polio o el escorbuto o la hidropesía o la que sea que mata a los pobres Llorón arranca el coche y atravesamos las Garbagelands quién tiene hora cuánto rato vamos a seguir yendo en carro y si no nos paramos pa nada cómo es que no llegamos todavía a Copenhagen City y en la hondoná que hay antes de entrar a Trenchtown Llorón frena el carro y sale corriendo echa a correr nomás y nos deja a los tres aquí el men sale corriendo ya, así y desaparece entre los árboles como si se lo hubieran tragao vivo y yo me quedo esperando a que lo vomiten y en el asiento delantero Josey Wales mira a Bam-Bam y Bam-Bam sale corriendo y desaparece hacia el oeste y Josey Wales se me queda mirando y me dice: maricón estúpido, has estao a punto, lo habrías terminao si no te hubieras esnifao la mierda de Llorón, y yo le pregunto qué coño está diciendo pero él ya se ha largao corriendo hacia el este y se lo han tragao los árboles y a mí se me ocurre esperar a que lo vomiten y pensar en vomitar me da ganas de reír pero no hay na de que reírse esta vez ni hablar así que me echo a llorar no me ve nadie o al menos yo no veo a nadie mirando y me dan ganas de llorar más fuerte quiero a mi mujer quiero una raya porque odio el bajón lo odio lo odio más todavía que pensar que me van a pegar un tiro y ni siquiera ha pasao un mes pero yo ya voy husmeando como un chiflao por las calles en busca de farlopa volviéndome loco debo de tener el cerebro en otro lao y no puede volver ya no y se oye un susurro en la maleza que hay arriba de la hondoná y la maleza se llena de luz como si fuera pelo en llamas como el arbusto en llamas del Éxodo la luz quiere decir que se acerca un coche hacia aquí que está usando la hondoná de atajo es la policía yo sé que es la policía siento que es la policía corre corre corre me tropiezo con una piedra y me golpeo en toa la rodilla auu puta levanta intenta correr pero la pierna izquierda me cojea como si yo fuera el asesino de Harry el Sucio y ahora me está persiguiendo Harry no no no ahí mismo hay unas matas lo bastante altas pa esconderme igual que un conejito se puede esconder detrás de una sillita, ¿y adónde se fue el conejito adónde fue?, pero yo no soy el conejo soy el Gallo Claudio y me voy a esconder digo me voy a esconder detrás de estas hierbas fíjate en lo que tremenda perra broma… digo de pinga esta broma, hijo, jii jii jii risita risita risita el carro pasa de largo no puedo parar mi risita me van a agarrar jii jii jiii y me van a matar jii jiii jiii no sé por qué no puedo dejar de reírme cállate la boca coño y me tapo la boca con la mano el carro pasa de largo con un traqueteo y sus ruedas chapotean en el agua inmunda de la hondoná y despierta a las ratas pero cuántas ratas me dan ganas de gritar y yiiiiiiiiiiiiiiiií nadie me va a oír yiiiiiiiií como una niña perdí el arma no la encuentro se la han llevao las ratas me van a arrancar la piel y se me van a comer los dedos de los pies y cuánta basura hay en la hondoná: caja de estropajos Brillo caja de rositas de maíz detergente FAB harina reconstituida harina enriquecida bolsas de plástico rata muerta atrapada en bolsa de plástico ratas vivas saliendo de cajas de leche cajas de galletas corriendo sobre botellas de refresco aceite de freír botellas de jabón líquido para los platos Palmolive creo que es Palmolive estás empapao cientos de botellas como ratas y ratas en las botellas que no pueden salir tienes que correr ahora tienes que correr olvídate del arma olvídate ya de eso de que vienen a matarte no quiero morir tengo que suplicarle a Jesús tengo que suplicarle a Papa-Lo tengo que suplicarle a Copenhagen City pero no fue Papa-Lo quien nos mandó fue Josey Wales pero Josey Wales no puede hacer nada sin que Papa-Lo le diga que sí, no o tal vez sea así estoy intentando pensar en línea recta pero línea quiere decir raya blanca o sea farlopa y necesito una raya raya raya y me enredé a tiros en la casa de ÉL y ahora es algo en lo que no pienso to el tiempo sino algo que se me va y se me viene de la cabeza como cuando no llevo gayumbos sé que Josey Wales debe de estar ganando dinero a chorros con esto o bien no lo estaría haciendo la política les importa un carajo a los hombres como él eso lo sabe to el mundo y no había policía ni vigilantes ni un solo guardia que es como si ya supieran que íbamos pa allá pero Josey nos prometió que tendríamos que encargarnos al menos de un policía y no había ni un solo vigilante en la puerta hemos entrao corriendo pero podríamos haber entrao paseando creo lo único que he matao ha sido un piano necesito volver a Copenhagen City porque esto tiene pinta de zona del PNP por qué nos ha dejao Llorón en una zona del PNP cuando acabamos de matar al mayor mártir del PNP y como alguien me encuentre me va a recontramatar no sé adónde se llega por aquí y la calle está cortada y las ratas ratas ratas ratas ratas ratas me largo corriendo y debe de ser tarde porque esta primera calle está vacía y no sé dónde estoy qué es este sitio Dos Bares el letrero dice cerrao dos perros durmiendo un gato acechando la armazón de un carro quemao bloqueando la calle un letrero que dice «Rose Town: ve en carro, a pie o en bicicleta, pero intenta llegar» y otro que dice «reduzca la velocidad: escuela», y los dos letreros están apolismaos de huecos de balas viejas y con cada hueco que veo oigo un pum o un pam o un blam como Harry Callahan te estás preguntando si habré disparao las seis balas o solo cinco y he perdido el arma quizá la dejé en los basureros en las dunas de la basura con toda la confusión, para serte sincero yo también he perdío la cuenta, pero teniendo en cuenta que esto es un Magnum.44, el revólver más potente del mundo y capaz de volarte la cabeza, te toca hacerte una pregunta: ¿tendré suerte?
— Je me suis heurté à un arbre.
—Me he golpeado contra un árbol.
Il venait de heurter la table.
Había golpeado la mesa.
Avait-il heurté quelque chose ? Un caillou ?
¿Se había golpeado con algo? ¿Una piedra?
Je me suis heurté au montant de la table.
Me he golpeado contra una pata de la mesa.
Elle a heurté le sol en tombant.
Se ha golpeado la cabeza al caer.
Ou plutôt, où elle s’était heurtée au coin de la table.
No, donde se había golpeado con el borde de la mesada.
Un objet avait heurté la vitre arrière.
Un objeto había golpeado la ventanilla trasera.
Le monstre avait heurté la tour de Babel.
El monstruo había golpeado la Torre de Babel.
Le poteau heurté par le marteau se déplaça.
Al ser golpeada con el martillo, la viga se movió.
Dans sa chute, sa tête avait heurté l’accoudoir.
Se había golpeado la cabeza contra el brazo del banco al caer.
Lucas était aux anges: les intentions de Heurt allaient bien au-delà de ses espérances et laissaient présager la réussite de son projet.
Lucas estaba en la gloria: las intenciones de Heurt superaban en mucho sus esperanzas y permitían presagiar el éxito de su plan.
Il tenta d’expliquer que les troupes s’étaient heurtées à des Tiger et à des Panther surgis de nulle part, et que le général Montgomery avait reçu un ordre officiel venu d’en haut lui intimant de ne pas courir le risque d’un échec.
El oficial intentó explicar la inesperada aparición de tanques Tiger y Sherman, y que el general Montgomery había recibido órdenes estrictas de las más altas instancias de no poner en peligro el éxito de la operación.
À ce moment-là, ma discipline obstinée, mes études épuisantes, chaque page et chaque ligne que j’avais publiée avec succès, tout cela se dissoudrait, comme lorsqu’en mer la tempête qui arrive se heurte à la ligne violette de l’horizon et recouvre toute chose.
Así las cosas, la tozuda autodisciplina, los estudios tan arduos, cada página o línea que había publicado con éxito se habrían disuelto como en el mar cuando la tempestad inminente choca contra el hilo violeta del horizonte y lo cubre todo.
Les quatre hommes empoignèrent les combattants et tentèrent de les séparer, mais sans succès car Jorian et Boso étaient tous deux des hommes grands et forts. Boso relâcha soudain sa prise et pivota pour balancer un terrible coup de poing au palefrenier qui, sous la violence du choc, alla heurter le mur.
Los cuatro hombres asieron a los combatientes e intentaron separarlos, pero sin éxito, pues Jorian y Boso eran ambos hombres grandes y fuertes. Boso aflojó súbitamente su presa y giró para propinar un terrible golpe al palafrenero que, bajo la violencia del impacto, fue a estrellarse contra la pared.
Le nom du baron Wisnietzky qui, au ministère, s’était heurté à la résistance des partis allemands et qui de ce fait, à la tête du comité pour la grande Idée inconnue de l’Action, devait éveiller une méfiance considérable, remit sous les yeux d’Ulrich, avec intensité, l’action politique de Son Altesse dont c’était le plus grand succès.
El nombre del barón Wisnieczky, cuya actuación como ministro había fracasado por la resistencia de los partidos alemanes y que por estar a la cabeza de la comisión que abogaba por la participación en la gran idea patriótica y desconocida de la Acción Paralela, debía suscitar una gran desconfianza, puso ante los ojos de Ulrich la actuación política de Su Excelencia, que había constituido un éxito.
Kolbeinn avait arpenté la maison à tâtons à la recherche d’un crayon et d’une feuille, il s’était heurté à deux reprises contre les meubles, s’était, la seconde fois, cogné au montant de la bibliothèque, auprès de laquelle il était resté longtemps assis, à caresser les tranches des livres, peut-être l’enfer est-il une bibliothèque et toi un aveugle en son sein, avait-il marmonné, il avait essayé d’afficher un rictus, mais en vain, et quatre ou cinq larmes avaient coulé de ses yeux, espérons que ce sera tout, s’était-il dit, effondré d’être incapable d’affronter le choc sans verser ces larmes, ces poissons transparents.
Por su parte, Kolbeinn recorrió la casa a tientas en busca de papel y pluma, se cayó dos veces al tropezar con los muebles, la segunda vez se dio con la estantería de los libros, se quedó sentado en el suelo largo rato acariciando los lomos de los libros, a lo mejor el infierno de un ciego es una biblioteca, refunfuñó, intentó sonreír sin demasiado éxito, y cuatro o cinco lágrimas brotaron de sus ojos, esperemos que no sean más, pensó, destrozado por no poder sobrellevar aquella desgracia sin que se le escaparan las lágrimas, esos peces de cristal.
Printemps silencieux est arrivé comme un cri dans le désert, un plaidoyer absolument sincère, solidement étayé et brillamment écrit, qui a changé le cours de l’histoire. Sans ce livre, le mouvement écologiste aurait pu être largement retardé – ou tout simplement ne jamais voir le jour. Bien évidemment, le livre et son auteur – qui avait autrefois travaillé en tant que biologiste marine au service de la Vie sauvage et des Poissons – se sont heurtés à une énorme résistance de la part de ceux à qui la pollution rapporte. De très grandes entreprises de chimie ont essayé d’étouffer Printemps silencieux ; et lorsque des extraits du livre ont été publiés dans le New Yorker, un chœur a immédiatement accusé Rachel Carson d’être hystérique et extrémiste – des accusations qu’il arrive d’entendre encore aujourd’hui, dès que quelqu’un s’avise d’interroger ceux dont la santé financière dépend du maintien du statu quo environnemental. (Ayant moi-même été surnommé « Monsieur Ozone » pendant la campagne de 1992, sobriquet qui ne m’était pas adressé comme un compliment, mais que je revendiquais comme un honneur, je suis conscient qu’aborder ces enjeux inspire une réaction toujours féroce, parfois stupide.)
Primavera silenciosa se convirtió en seguida en un éxito de ventas, inspirando un movimiento mundial de preocupación por la conservación de la naturaleza; se convirtió, en suma, en algo así como la Biblia de los movimientos ecologistas, movimientos que él mismo ayudó a crear; «sin este libro», ha escrito el político estadounidense Al Gore, «el movimiento medioambiental podría haberse visto retrasado durante mucho tiempo, o no haber aparecido nunca». Aun así, y a pesar de que en 1992 un grupo de norteamericanos notables designase Primavera silenciosa como el libro más influyente de los últimos cincuenta años, no obstante el peligro que los insecticidas y otros contaminantes artificiales implican, de su enorme potencia biológica, de su capacidad de penetración y persistencia en la naturaleza y ciclos vitales, la producción y empleo de estos productos sintéticos no ha disminuido, aunque sí en el caso del DDT. Desde la publicación del libro de Carson, la utilización en la agricultura de pesticidas en la nación en que vio la luz se ha doblado, alcanzando los 1100 millones de toneladas anuales. Y es incluso peor: los compatriotas de Rachel Carson han prohibido algunos pesticidas en su patria, pero continúan produciéndolos y exportándolos a otros países. La colección «Drakontos» tiene como objetivo primordial ofrecer a sus lectores las mejores exposiciones del universo científico contemporáneo.
Je l’ai vue se heurter aux nuages.
la vi golpear contra las nubes: una clara advertencia.
Il a peut-être heurté un rocher.
Puede que se golpeara con las rocas que hay debajo.
Heurte le sol comme le fait une ombre.
Debes golpear el suelo como una sombra.
Mais je pensais que sa tête avait heurté la chaussée et que…
Suponía que al golpear con la cabeza contra el coche o contra el asfalto…
Une scélérate va heurter le navire.
Una ola gigante está a punto de golpear al barco.
Il n’en avait jamais heurté aucun, ou presque ;
Casi nunca llegó a golpear a ninguno;
Il a dû être arraché lorsqu’il s’est heurté à la créature.
Se habían soltado al golpear a aquella criatura.
Je lâchai son bras juste avant de heurter le sol.
Solté su brazo justo antes de golpear el suelo.
Kendra avait heurté la clôture assez bruyamment.
Kendra había armado bastante ruido al golpear contra la valla.
Les pneus crissèrent et il comprit qu’il allait heurter le trottoir.
Los neumáticos chirriaron y vio que iba a golpear contra el bordillo.
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