Translation for "herbe pousser" to spanish
Translation examples
L’herbe pousse entre les pavés.
La hierba crece entre el empedrado.
L’herbe pousse dru entre les pavés de la route.
La hierba crece espesa y áspera entre los adoquines.
De l’herbe pousse dans les gouttières, les groseilliers à maquereau vibrent sous les assauts du vent.
La hierba crece en los canalones y los groselleros se agitan con el fuerte viento.
Pourquoi est-ce qu’elles jettent de l’eau dessus ? Elle chercha à exprimer sa pensée. — La pluie tombe. L’herbe pousse.
¿Por qué echan agua? —Tuvo que hacer un esfuerzo para expresar lo que pensaba—. La lluvia cae del cielo. La hierba crece.
Il existe une certaine parenté entre la merde et Dieu, l’herbe pousse sur la merde, elle verdit et illumine le monde, elle nous maintient en vie au cours de l’hiver et Dieu agit de même pour nous.
Existe cierta relación entre Dios y el estiércol, la hierba crece sobre el estiércol, se vuelve verde e ilumina el mundo, nos mantiene con vida durante los largos inviernos y lo mismo hace Dios por nosotros.
Des petites flaques d’eau trouent les étroites allées sablées du cimetière, de l’herbe pousse partout, il ne faudra pas attendre cent ans pour qu’on ne sache plus qui a été enfoui sous ces monticules de boue, et, à supposer qu’on le sache encore, il est douteux que cela intéresse quiconque, les morts, quelqu’un l’a déjà dit, sont comme des assiettes fêlées auxquelles il est inutile de fixer ces crampons de fer, désuets eux aussi, qui unissaient ce qui s’était cassé ou séparé, ou, en l’occurrence, pour expliciter la métaphore à l’aide d’autres mots, les crampons de la mémoire et de la nostalgie.
En los estrechos caminos de sablón del cementerio hay pequeñas pozas de agua, la hierba crece por todas partes, no serán necesarios cien años para que deje de saberse quién fue metido debajo de estos montículos de lodo, y aunque todavía se sepa es dudoso que saberlo interese verdaderamente, los muertos, alguien lo ha dicho ya, son como platos rajados en los que no vale la pena enganchar esas también desusadas grapas de hierro que unen lo que se había roto y separado, o, en el caso que corre, explicando el símil con otras palabras, las lañas de la memoria y de la nostalgia.
Et en effet la victoire aurait tout réglé, car si nous avions gagné, imaginez-le un instant, si l'Allemagne avait écrasé les Rouges et détruit l'Union soviétique, il n'aurait plus jamais été question de crimes, ou plutôt si, mais de crimes bolcheviques, dûment documentés grâce aux archives saisies (les archives du NKVD de Smolensk, évacuées en Allemagne et récupérées à la fin de la guerre par les Américains, jouèrent précisément ce rôle, lorsque fut enfin venu le temps où il fallut presque du jour au lendemain expliquer aux bons électeurs démocratiques pourquoi les monstres infâmes de la veille devaient maintenant servir de rempart contre les héroïques alliés de la veille, aujourd'hui révélés comme monstres pires encore), voire peut-être, pour reprendre, par des procès en règle, pourquoi pas, le procès des meneurs bolcheviques, imaginez ça, pour faire sérieux comme ont voulu le faire les Anglo-Américains (Staline, on le sait, se moquait de ces procès, il les prenait pour ce qu'ils étaient, une hypocrisie, inutile de surcroît), et ensuite tout le monde, Anglais et Américains en tête, aurait composé avec nous, les diplomaties se seraient réalignées sur les nouvelles réalités, et malgré l'inévitable braillement des Juifs de New York, ceux d'Europe, qui de toute façon n'auraient manqué à personne, auraient été passés par pertes et profits, comme tous les autres morts d'ailleurs, tsiganes, polonais, que sais-je, l'herbe pousse dru sur les tombes des vaincus, et nul ne demande de comptes au vainqueur, je ne dis pas cela pour tenter de nous justifier, non, c'est la simple et effroyable vérité, regardez donc Roosevelt, cet homme de bien, avec son cher ami Uncle Joe, combien donc de millions Staline en avait-il déjà tué, en 1941, ou même avant 1939, bien plus que nous, c'est sûr, et même si l'on dresse un bilan définitif il risque fort de rester en tête, entre la collectivisation, la dékoulakisation, les grandes purges et les déportations des peuples en 1943 et 1944, et cela, on le savait bien, à l'époque, tout le monde savait plus ou moins, durant les années 30, ce qui se passait en Russie, Roosevelt le savait aussi, cet ami des hommes, mais ça ne l'a jamais empêché de louer la loyauté et l'humanité de Staline, en dépit d'ailleurs des avertissements répétés de Churchill, un peu moins naïf d'un certain point de vue, un peu moins réaliste, d'un autre, et si donc nous autres avions en effet gagné cette guerre, il en aurait certainement été de même, petit à petit, les obstinés qui n'auraient cessé de nous appeler les ennemis du genre humain se seraient tus un à un, faute de public, et les diplomates auraient arrondi les angles, car après tout, n'est-ce pas, Krieg ist Krieg und Schnaps ist Schnaps, et ainsi va le monde.
Y, efectivamente, la victoria lo habría solucionado todo, pues si hubiéramos ganado, suponedlo por un momento, si Alemania hubiera aplastado a los rojos y hubiera destruido la Unión Soviética, nunca más se habrían vuelto a mencionar los crímenes, o mejor dicho, sí, pero crímenes bolcheviques, debidamente documentados merced a los archivos incautados (los archivos de Esmolensco del NKVT), que trasladamos a Alemania y recuperaron, después de la guerra, los americanos, desempeñaron precisamente ese papel cuando l egó por fin el tiempo en que, casi de la noche a la mañana, hubo que explicar a los honrados votantes democráticos por qué los monstruos infames de la víspera tenían ahora que servir de bastión contra los heroicos aliados de la víspera, que ahora habían resultado ser unos monstruos aún peores), e incluso, quizá, para reanudar, con juicios en toda regla, por qué no, el juicio de los dirigentes bolcheviques, os lo podéis imaginar, para que diera impresión de seriedad, como querían los angloamericanos (a Stalin ya sabemos que le importaban un bledo esos juicios, los tenía por lo que eran, una hipocresía, y encima inútil); y, después, todo eJ mundo, con los ingleses y los americanos en cabeza, habría transigido con nosotros, los cuerpos diplomáticos se habrían adaptado a las nuevas realidades y, pese al inevitable griterío de los 569 judíos de Nueva York, los de Europa, a quienes, por lo demás, nadie habría echado de menos, se habrían cargado en las pérdidas y ganancias, como todos los demás muertos, por cierto, gitanos, polacos, qué sé yo, la hierba crece muy espesa encima de las tumbas de los vencidos y nadie le pide cuentas al vencedor; no lo digo para intentar justificarnos, no, es la verdad, sencil a y tremenda, y, si no, mirad a Roosevelt, ese hombre de bien, con su querido amigo Únele Joe; ¿y a cuántos mil ones había matado ya Stalin en 1941, o incluso antes de 1939?, a muchos más que nosotros, desde luego, e incluso, si hiciéramos un balance definitivo, hay muchas probabilidades de que siguiera él en cabeza, entre la colectivización, la deskulakización, las grandes purgas y la deportación de los pueblos en 1943 Y en I944» Y eso bien sabido que era por entonces, todo el mundo estaba más o menos enterado, durante los años treinta, de lo que sucedía en Rusia;
Sans machines agricoles et sans bétail, l’herbe pousse en quantités.
Sin maquinaria ni ganado, crecerá mucha hierba.
Il pouvait le voir comme il entendait probablement l’herbe pousser.
Lo podía ver, lo mismo que seguramente era capaz de ver crecer la hierba.
Carmen se disait que c’était une drôle de façon de gagner sa vie, que de regarder l’herbe pousser.
A Carmen le parecía un modo extraño de ganarse la vida, viendo crecer la hierba.
– Mon cher Watson, le Pr Moriarty n’est pas homme à laisser l’herbe pousser sous ses pas.
—Mi querido Watson, el profesor Moriarty no es un hombre que deje crecer la hierba bajo sus pies.
C’était le printemps, la période des vacances scolaires, il avait plu, l’herbe était verte et haute (c’est toujours surprenant de voir à quel point l’herbe pousse pour les pur-sang), et le cheval rua.
Fue en primavera, durante las vacaciones escolares. Había llovido y la hierba estaba verde y enhiesta (siempre me sorprende lo alta que dejan crecer la hierba para los purasangres).
Après il regarde ce qu’il a écrit, il se concentre, quoi, et puis il sort cette merde en fer-blanc d’un tiroir, il me la met, avec toutes ses pièces, et il dit à mon père : “Votre petit, il va entendre l’herbe pousser tellement il est bon, ce modèle-là.” » Là-dessus Joey se mit à tourner le curseur jusqu’à ce que j’entende le bruit d’un robinet dans une baignoire, et la baignoire c’était moi. Ensuite il le fit tourner vigoureusement – et ce fut un coup de tonnerre.
Entonces mira lo que ha escrito, lo mira muy concentrado, y después saca este chisme de un cajón. Me lo pone, con todas las piezas, y le dice a mi padre: «Este modelo es tan bueno que su hijo va a oír crecer la hierba». —Y diciendo esto, Joey empezó a mover de nuevo el mando hasta que oí un ruido de agua que llenaba una bañera… y yo era la bañera. Entonces lo hizo girar vigorosamente… y el ruido fue como de truenos. —¡Apágalo! —grité—. Basta.
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