Translation for "griser" to spanish
Translation examples
L’esprit lucide, un peu grisé.
El espíritu lúcido, un poco embriagado.
Leon était grisé par son succès.
León se sentía embriagado por el éxito.
Tous les peuples, grisés par les mêmes mensonges !
¡Todos los pueblos, embriagados por la misma mentira!
Elle regardait droit devant elle, ravie et un peu grise.
Miraba fijamente ante sí, contenta y un poco embriagada.
Raconte-moi son poudroiement d'or sur tes paupières grisées.
Háblame de su polvo de oro en tus párpados embriagados.
Je regagne ma voiture, grisé par la brise du soir.
Llego hasta mi coche, embriagado por la brisa nocturna.
Un être grisé de vie ne prévoit pas la mort ;
Un ser embriagado de vida no prevé la muerte;
des papillons volaient de travers comme grisés par le vent ;
volaban a más y mejor las mariposas, como embriagadas por el viento;
Il était comme grisé de se retrouver libre, sur le sol.
Se le veía como embriagado por la alegría de sentirse libre, sobre el suelo.
J’étais trop grisée par sa présence ne serait-ce que pour m’en vouloir.
Estaba demasiado embriagada por su presencia incluso para detestarme a mí misma por ello.
Elle était très légèrement grise.
Estaba ligeramente ebria.
Elle avait bu tout le vin et était grise.
Se había bebido todo el vino y estaba ebria.
J’étais légèrement grise et dormis comme une bûche.
Estaba un poco ebria y dormí como un tronco.
Je n’étais pas ivre de vin, mais grisé par ce genre d’aventure ;
Yo no estaba ebrio de vino, pero sí de aventura;
Quand on apporta le café, elle était grise.
Cuando el camarero sirvió el café, estaba ebria.
Mais je ne suis pas seulement grisée par l’alcool et le spliff ;
Pero no son sólo el alcohol y el porro lo que hacen que me sienta ebria;
Du talus où je m’étais assis, comme grisé, je dominais la Morinière ;
Desde el talud donde me sentara, como ebrio, dominaba La Moriniere;
Gretchen commençait à se sentir légèrement partie sans être vraiment grise.
Gretchen empezaba a sentirse un poco atolondrada, pero no ebria.
Il lui arrivait, à son esprit, de s’embrouiller, comme grisé par ses propres compétences.
Le sucedía, a su espíritu, que se embrollaba, como ebrio de sus propias capacidades.
Elle était fatiguée, ralentie par la chaleur intense, et un peu grisée par les vapeurs du souvenir.
Estaba cansada, aletargada por el calor y un poco ebria por el licor de los recuerdos.
J'étais courbatue, épuisée et grisée.
Estaba dolorida, agotada e intoxicada;
Je tirai une bouffée, et aussitôt je fus grisé par l’arôme de la cigarette.
Di una chupada y me sentí intoxicado por el aroma.
Les hommes nus étaient probablement ivres, ou grisés par les Dieux au point de croire qu’aucune lame ennemie ne pouvait les blesser.
A fe mía que los que se habían desnudado estaban borrachos, o tan intoxicados por los dioses que se creían a salvo de hojas enemigas.
Je fus bientôt aussi grisé par cette évocation de la haute montagne que je l’avais été autrefois par celle de la mer, avant que maître Palémon m’indiquât l’emplacement correct de Thrax.
Pronto la idea de las montañas llegó a intoxicarme tanto como una vez, antes de que el maestro Palaemon me revelara la localización correcta de Thrax, me había intoxicado la idea del mar.
Puis, quand vint la nuit, je me laissai séduire – aheum – par un Anglais ivre, un noble à la peau claire semée de taches de rousseur qui descendait de très vieilles familles françaises et anglaises. Le comte de Harlech – tel était le titre que lui avait valu son ascendance britannique – parcourait l’Italie afin d’en admirer les merveilles, grisé par ses délices, dont la sodomie en pays étranger.
Más tarde, cuando cayó la noche, me dejé seducir por un inglés borracho, un noble rubio y pecoso perteneciente a uno de los títulos francés e inglés más antiguo, el conde de Harlech, quien viajaba por Italia para admirar sus maravillas y estaba intoxicado con los numerosos placeres que ofrecía, inclusive la práctica de la sodomía en un país extraño.
On savait de toutes parts qu’on y trouverait un être diablement grisé, ayant un sacré coup dans l’aile, et qui laissait transparaître tous ses sentiments : il y avait là, par exemple, Mme Stöhr, Mlle Engelhart, Mlle Kleefeld flanquée de son amie au visage de tapir, l’incurable M. Albin, le jeune homme à l’ongle long, et bien d’autres patients qui, la lèvre dédaigneuse, observaient en pouffant par le nez son sourire hagard et passionné, ses joues en feu depuis le soir de son arrivée, et ses yeux où la toux du cavalier avait aussitôt fait naître une lueur, et qui regardaient dans une certaine direction… Autant dire que M.
Se sabía en todas partes que había un muchacho intoxicado y excitado, cuyas emociones se leían en su rostro, y allí se reunían madame Stoehr, la señorita Engelhart, la Kleefed, su amigo de cara de tapir, el incurable señor Albin, el joven de la larga uña, y otros miembros de la compañía. Todos estaban de pie allí, con los labios apretados con ironía, riendo por la nariz y mirándole cuando sonreía con un aire ausente y apasionado, con aquellos ojos brillantes como cuando oyó la tos del gentlemanrider, mirando en determinada dirección...
Mais, à force d’être répété, ce principe se grava dans son esprit et Ashton se rendit d’autant mieux compte de ce que le Burra-Sahib [4]  – jamais il n’avait appelé son père autrement – voulait lui faire entendre, que son oncle Akbar s’employait à illustrer ce principe en lui racontant l’histoire de nombreuses et terribles injustices commises en ce monde par des hommes que la possession du pouvoir avait grisés. — Mais pourquoi le peuple endure-t-il de telles choses s’exclama Hilary à l’adresse de son ami. Ils sont des millions contre une poignée de gens représentant la Compagnie.
Pero le repitieron la lección todos los días hasta que, por fin, entendió lo que «burra-sahib»: Hombre Grande (nunca llamó a su padre de otra manera) quería decir, porque el tío Akbar también hablaba de lo mismo, le contaba historias y citaba al libro sagrado: «Un hombre es más grande que los reyes», y agregaba que cuando Ashton fuera un hombre descubriría que esto era cierto. De manera que debía tratar de ser justo en todo lo que hacía, porque en aquellos momentos, en el país, los hombres que tenían el poder y se habían intoxicado con él, cometían muchas y terribles injusticias. —¿Por qué la gente las tolera? —preguntaba Hilary a Akbar Khan—. Son millones, y los de la Compañía, apenas un puñado.
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