Translation for "grands-têtes" to spanish
Grands-têtes
Translation examples
Comme je le disais, j'étais en train de lui décrire les grandes têtes de pierre...
Como digo, le estaba describiendo las grandes cabezas de piedra…
De grandes têtes baissent vers elle leurs yeux verts à facettes multiples.
Grandes cabezas con ojos verdes multifacetados se inclinan hacia ella.
Les Grandes Têtes iront de maison en maison en remuant les braises et en ravivant les foyers.
Las Grandes Cabezas irán de casa en casa, removiendo las brasas y avivando los hogares.
jetez-y un rayon de lune qui le dessine vaguement, et fasse sortir du brouillard les grandes têtes des tours;
arroje sobre él un rayo de luna que lo dibuje vagamente y haga salir de entre la niebla las grandes cabezas de las torres;
Ils étaient formés d’un grand corps rond, ou plutôt d’une grande tête ronde de plus d’un mètre de diamètre et pourvue d’une figure.
Eran grandes cuerpos redondos, o más bien grandes cabezas redondas, de unos cuatro pies de diámetro, con una cara.
Au nordest, c'est la côte qui se déroule, et, en dépit de la distance qui nous en sépare, je m'imagine voir les grandes têtes de pierre qui marquent la limite entre la terre et l'eau.
Al noreste se extiende la costa, y se me antoja que incluso desde esta distancia puedo ver las grandes cabezas de piedra que marcan el límite entre tierra y mar.
Tout le long de la vallée, les autres hautes silhouettes se mettent également à bouger, et les grandes têtes rectangulaires se détachent les unes après les autres du rougeoiement céleste, dans lequel se trouve le point lointain d’émissions radio, animé de l’agitation de la vie ;
Por el valle, las demás figuras estiradas se están moviendo también. Grandes cabezas cuadradas gachas desde el amortajado rielar rojizo de arriba, con su distante punto de radio indicador, vivas con el alboroto de la vida.
À Istanbul, au coin nord-est de la Citerne Basilique, avec la fraîcheur de sa mystérieuse eau souterraine et la symétrie — inquiétante comme toute symétrie — de ses douze rangées de colonnes dans l’ombre, deux de ces dernières reposent sur de grandes têtes de Méduse, l’une couchée et l’autre à l’envers, avec leur chevelure entremêlée de serpents et leurs yeux qui, selon la légende, pétrifient celui qui les regarde, parce qu’ils expriment la sombre et insoutenable horreur d’exister.
En Estambul, en el extremo nordeste de la Cisterna Basílica, entre la frescura de su misteriosa agua subterránea y la simetría —inquietante como toda simetría— de sus doce hileras de columnas en la penumbra, dos de estas últimas se apoyan sobre grandes cabezas de Medusa, giradas hacia un lado o boca abajo, con su cabellera de serpientes enmarañadas y sus ojos que en el mito petrifican a quien los mira, porque muestran el insoportable y oscuro horror de existir.
Mais déjà tous six, Elric et la Rose légèrement en avant, se lançaient au canter à travers la forêt miroitante et tintinnabulante, l’épée tirée, les chevaux alezan à la crinière d’argent, élevés pour la guerre à une époque lointaine et conduits ici par les sœurs à partir d’un Royaume plus barbare, levaient leurs sabots avec impatience, leurs harnais pesants cliquetant à l’unisson des branches brisées d’arbres cristallins, leurs grandes têtes hochant d’impatience, leurs narines dilatées dans l’attente de la puanteur du sang, renâclant, grinçant des dents, roulant des yeux et se pavanant dans l’attente du combat imminent, car c’était là ce pour quoi ils avaient été dressés ; ils n’étaient vraiment vivants qu’au plus fort d’une violente destruction.
Pero los seis, con Elric y la Rosa ligeramente al frente de sus compañeros, ya se habían lanzado a medio galope a través del bosque refulgente y ruidoso, con las espadas desenvainadas, con los caballos de crines plateadas, criados en una era distante sólo para la guerra, y traídos aquí por las hermanas desde algún ámbito mucho más bárbaro, levantando los cascos en una enérgica anticipación de la batalla, con sus pesados arneses resonando al unísono con las ramas rotas de los árboles de cristal, con sus grandes cabezas moviéndose de impaciencia, las aletas de las narices abiertas, como si anticiparan el olor de la sangre, bufando y rechinando los dientes, haciendo rodar los ojos en sus órbitas y glorificados ante la expectativa de la batalla que se avecinaba, pues era para eso para lo que habían sido criados, y sólo encontraban su más plena viveza en lo más denso de la violenta destrucción.
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