Translation for "gaz butane" to spanish
Gaz butane
Translation examples
Ici, cela sentait le métal et, très légèrement, le gaz butane.
Allí olía a metal y, débilmente, a gas butano.
Il lui montra une cuisinière à gaz butane sur laquelle fumait une casserole en terre.
Le señaló una cocina de gas butano sobre la que humeaba una cazuela de barro tapada.
La troisième photographie, par-delà le rideau, avait retenu l’image d’un recoin où coexistaient le réfrigérateur, une douche, la cuvette des w.-c., un grabat et la petite cuisinière au gaz butane.
La tercera fotografía iba más allá de aquella cortinilla y lo que había entrevisto como un rincón donde coexistían el frigorífico, una ducha, la taza sanitaria, un catre y la pequeña cocina de bombona de gas butano.
Elle le suivit dans un escalier, et ils débouchèrent dans un vestibule vide, avec des carreaux de céramique empilés contre le mur, où un gros homme en survêtement de sport qui feuilletait une revue, assis par terre, à la lumière d’une lampe à gaz butane, se leva en les voyant entrer.
Lo siguió por la escalera hasta llegar a un vestíbulo vacío, con ladrillos apilados contra la pared, donde un hombre fornido, con polo deportivo, que hojeaba una revista sentado en el suelo a la luz de una lámpara de gas butano, se levantó al verlos entrar.
Maigret s’assied près du réchaud à gaz butane et boirait volontiers quelque chose de préférence un verre de ce vin rosé, dont Félicie lui a parlé et dont il a aperçu la barrique dans l’ombre si fraîche du cellier.
Maigret se sienta cerca del hornillo de gas butano y bebería muy a gusto cualquier cosa, preferentemente un vaso de aquel vino rosado, del que le ha hablado Felicia, y del que ha visto la barrica en la sombra tan fresca de la bodega.
— Et ce que je pense de ce mariage, tu le devines, surtout que mon pauvre Gaston étant mort lui aussi, j’ai dû venir vivre ici, autant dire comme les sauvages, sans électricité, sans eau sur l’évier, et même pas le gaz butane que le Wahrwoorde voulait rien entendre d’avoir et la cuisine à même la cheminée, comme dans le temps.
– Y lo que pienso de ese casamiento, te lo imaginas, sobre todo cuando mi pobre Gastón habiendo muerto también, tuve que venir a vivir aquí, lo mismo que decir como los salvajes, sin electricidad, sin agua en la pileta, y ni siquiera el gas butano porque el Wahrwoorde no quería ni oír hablar de ponerlo y a cocinar en la chimenea, como antaño.
Heureux malheureux, je suivais les traces de Fohr, le peintre « romain allemand » qui se noya très jeune dans le Tibre, je nouai des amitiés qui ne duraient pas, je fis des rencontres et me séparai à des carrefours, m’accordai ici et là, dans la nécessité de la parcimonie, une glace au citron, grimpai d’un pied léger l’escalier de la Trinité-des-Monts, permis à ma sœur de me photographier en chapeau de paille afin qu’un nouvel autoportrait pût faire la preuve de ce que j’étais, je restaurai dans un couvent d’Ombrie, contre le gîte et le couvert, une madone de plâtre avec enfant endommagée, me laissai pousser le soir sur le corso de Pérouse, dansai sous une pergola de vigne éclairée par des ampoules de toutes les couleurs avec une Anglaise qui semblait inspirée des anges de Botticelli, me perdis dans le dédale des rues de Naples, de là écrivis à ma mère une longue lettre qui nourrissait de détails multicolores ses nostalgies inexaucées, gagnai à Messine, comme peintre publicitaire pour un gaz butane, un peu d’argent pour le voyage des prochains jours, me présentai – comme je l’ai souvent raconté depuis – au milieu d’un cercle de mafiosi campagnards comme un pèlerin en route pour Palerme et reçus d’eux, en cadeau, des tomates et du fromage de chèvre.
Seguí feliz o infeliz las huellas del pintor romano alemán Fohr, que se ahogó joven en el Tíber, hice amistades que no podían durar, encontré y abandoné encrucijadas, me permití aquí o allá, forzosamente ahorrativo, un helado de limón, subí con pies ligeros la Escalinata de España, dejé que mi hermana me fotografiara con sombrero de paja para que otro autorretrato más pudiera dar testimonio de mí, restauré en un convento de Umbría, a cambio de mesa y comida, una dañada Virgen de yeso con Niño, me dejé llevar al atardecer por el Corso de Perugia, bailé en una pérgola emparrada y bajo una iluminación de bombillas de colores con una inglesa que parecía inspirada en los ángeles de Botticelli, me perdí en la maraña de calles de Nápoles, escribí desde allí a mi madre una larga carta que alimentó sus nostalgias insatisfechas con detalles coloristas, gané en Messina, como pintor de carteles de gas butano, un poco de dinero para los días siguientes, me hice pasar —como luego he contado con frecuencia—, rodeado de mafiosos rurales, por pellegrino en viaje hacia Palermo y me regalaron tomates y queso de cabra.
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