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Translation examples
Il hurla : « Eh, fais gaffe, imbécile.
Furioso, gritó: —Cuidado con eso, bobo.
Gaffe à tes manières
Ten cuidado de no meter la pata
Il avait encore gaffé.
Otra vez había vuelto a meter la pata.
— Laisse-moi réfléchir. Je ne veux pas faire de gaffe.
– Déjame pensar. No quiero meter la pata.
Ann comprend qu’elle a encore gaffé.
Ann comprende que ha vuelto a meter la pata.
— Pas de gaffe, c’est le mot d’ordre général, commença Adamsberg.
—Nada de meter la pata, ésa es la consigna general —comenzó Adamsberg—.
Il était horrifié par l’éventualité de faire une gaffe dans une affaire ayant de telles implications.
Le horrorizaba la posibilidad de meter la pata en un asunto con semejantes implicaciones.
Il avait peur de faire une gaffe, car il ignorait ce qui s’était passé avant son arrivée.
Tenía miedo de meter la pata, pues ignoraba lo que había pasado antes de su llegada.
— Et vous, vous avez fait une gaffe, mon vieux, dit alors Dillon.
—Claro —dijo finalmente Dillon—, y usted acaba de meter la pata, viejo.
La sensation confuse de la gaffe… Cette sensation, il l’avait depuis sa rencontre avec Sylvie, à la porte de l’hôtel…
La sensación confusa de meter la pata… Tenía esa sensación desde su encuentro con Sylvia a la puerta del hotel…
— Je n’ai rien… Et, comme elle ne pouvait rater une occasion de faire une gaffe, elle poursuivait avec une belle assurance :
—No me pasa nada... Y como Odile no podía perderse ninguna ocasión para tirarse una plancha, insistió con necia firmeza:
Je vis enfin quelle gaffe j’avais commise en volant l’auto.
Empecé a darme cuenta de lo tonto que había sido al robar el coche.
Le croc lui est entré dans la jambe jusque-là… » Il montrait la gaffe apportée à cet effet, et souleva une vive émotion. « Non, imbécile, il n’avait pas le grappin dans la chair ; il s’était accroché à son pantalon.
Se le clavó en la pierna hasta aquí. —Mostró el bichero, que había llevado abajo con tal fin, y provocó una gran sensación—. ¡No, tonto! No lo sostuvo la carne, sino los pantalones.
Qu’est-ce qu’elle ne donnerait pas, notre vieille et laide Nicola Fuller-Smith, pour une ou deux années de ces six-là, que cette petite écervelée de Lauren Faitchier gâcherait sans même y faire gaffe.
Lo que daría la vieja fea de Nicola Fuller-Smith incluso por uno o dos de esos seis años que ella, la tonta del culo de Lauren Putamierda, desperdiciará sin haberse dado cuenta siquiera de que los tuvo.
Et cette fois il n’y aurait pas de place pour les sottes erreurs – ces gaffes d’assimilationniste amateur – qui avaient failli lui coûter la vie la semaine précédente dans la chambre fanée d’un hôtel de Floride avec un vieux lubrique à la chair molle ;
Y esta vez no podía cometer ninguno de esos errores tontos —los deslices del integracionista novato— que casi le habían costado la vida hacía una semana en una desvaída habitación de hotel floridano con ese vejete desnudo de carnes flácidas;
Les criminels font des gaffes stupides, parfois, mais tout de même pas au point d’arrêter la voiture qui leur permet de fuir à un jet de pierre du lieu de leur délit pour demander où ils sont et aggraver leur cas en descendant de voiture pour menacer un piéton inoffensif parce qu’ils n’ont pas aimé sa façon de répondre à leur question.
A veces los criminales hacen cosas bastante estúpidas, pero no tan tontas como parar el soche en el que se están fugando justo al lado de lugar de la escena del crimen para preguntar en qué pueblo están, encima bajándose del coche para machacar a un peatón que ha respondido desairadamente a sus preguntas.
Tandis que Benjamin mangeait son entrée du bout des lèvres — salade de poulet thaï aux papayes vertes et à la roquette —, Paul entreprit de raconter à Malvina, avec une autodérision charmante, sa gaffe de l’après-midi ; et bientôt il évoquait plus généralement l’interdépendance problématique qu’il percevait entre le gouvernement et les médias.
Mientras Benjamin jugueteaba con su primer plato (una ensalada tailandesa de pollo con papaya verde y rúcula), Paul empezó a contarle a Malvina, de una forma divertida y autocrítica, lo del comentario tonto que le había hecho a un periodista esa tarde, y pronto se puso a hablar de un modo más general de la desagradable dependencia mutua que, según él, existía entre el gobierno y la prensa y los demás medios de comunicación.
Les robots de l’usine sont de grosses brutes décérébrées. Des bras articulés en acier, avec des gros joints, terminés par des embouts thermiques, des fers à souder ou des pinces. Ils perçoivent la présence d’êtres humains, et le contremaître répète à qui veut l’entendre qu’ils sont sécurisés. N’empêche que nous, on fait tous bien gaffe à ne pas se retrouver à portée. Les robots industriels sont robustes et rapides.
Los robots con los que trabajamos en la fábrica son unos brutos grandes y tontos. Brazos chapados en acero llenos de articulaciones con pulverizadores térmicos, soldadores o pinzas en el extremo. Perciben a los humanos, y el encargado dice que no son peligrosos, pero todos sabemos que no debemos meternos en su espacio de trabajo. Los robots industriales son fuertes y rápidos, pero los androides son lentos. Débiles.
Ils se disent bien qu’elles ne sont pas particulièrement brillantes, mais n’ont-elles pas un instinct — qu’ils appellent féminin pour le distinguer de celui des animaux ? Malheureusement, cet instinct si réputé n’est qu’un mot qui dissimule vraisemblablement une réalité statistique ; puisque les femmes se mêlent de tout et donnent leur avis sur tout (du fait de leur bêtise, elles ne s’aperçoivent pas de leurs gaffes), il faut bien de temps à autre qu’elles tombent juste.
Admiten que no son muy listas, pero añaden que, a cambio de ello, tienen instinto, un instinto al que llaman femenino para diferenciarlo del de las bestias. Pero, desgraciadamente, ese celebrado instinto femenino es en realidad una manera de sublimar la probabilidad estadística: como las mujeres se meten en todo y dicen en todo momento sus opiniones (porque, al ser tontas, no se dan cuenta de cómo se ponen en ridículo), algunos de sus pronósticos tienen por fuerza que confirmarse.
En guise de réponse, Aniceto me donne un coup de pied en pleine figure, son pied s’incruste dans ma chair déchirée, elle emprisonne ce pied qui me démolit, à nouveau je n’ai plus de visage, mes traits ont commencé à se dissoudre, ils vont disparaître, j’y vois à peine avec mes yeux fêlés, je vais rester aveugle, non, pas même aveugle, il ne restera rien de moi, Aniceto se met à marcher, le pied dans ma figure, il me foule par en dedans, il boite, les autres on se tord de rire, dis donc, fichtre, ce qu’il l’écrase, ce qu’il est marrant ce couillon d’Aniceto, et ce con de Romualdo qui le poursuit à quatre pattes par terre pour attraper la tête, comme si c’était autre chose qu’un tas de lambeaux de carton-pâte maintenant, comme s’il pouvait la sauver, bosselée, râpée, dépeinte, et cette imbécile d’Iris qui poursuit Romualdo en train de poursuivre la tête et Aniceto, qu’est-ce qu’il peut bien vouloir en faire, maintenant qu’elle n’est plus bonne qu’à jeter à la poubelle, en essayant de l’enlever à Aniceto, il la déchire davantage encore et glapit de terreur, regarde, le chapeau lui est resté dans la main, mets-le-toi Gina, il est grand pour toi, danse, Gina, avec le chapeau du Géant sur la tête, danse, voilà, c’est comme ça que j’aime, fifille, donne-moi le chapeau que je me le mette, à moi, non, à moi, je le veux, partageons-le, moi une oreille, non, non, s’il vous plaît, que vont dire les Turcs, comment vais-je payer la tête du Géant, je suis pauvre et, par votre faute, ils vont me ficher à la porte, vous allez devoir me payer la tête, voyez, un morceau d’œil, pauvres mecs de malheur, je vais appeler les carabiniers qu’ils vous mettent tous en taule, à commencer par toi, Gabriel, avec ton commerce clandestin, alors fais gaffe, eh bien, essaye, Romualdo de malheur, si les carabiniers viennent, nous allons leur raconter que tu exploites cette pauvre connasse de Gina qui est mineure, et nous sommes tous mineurs, tandis que toi tu as vingt et un ans et tu n’as pas répondu à l’appel pour le service militaire, regardez-la pleurer comme une idiote, cette connasse de gonzesse, avec le nez du Géant à la main, elle doit croire que c’est sa pine, une pine énorme et molle et rouge, ça doit être la pine du Géant alors, si elle est si grande, danse avec la pine, Gina, danse et arrête de pleurer, là, ne fais pas la bête et danse, je te dis.
En respuesta, Aniceto me da una patada en medio de la cara, su pie se incrusta en mi carne desgarrada que apresa ese pie que me está deshaciendo, ya no tengo rostro otra vez, mis facciones han comenzado a disolverse, van a desaparecer, apenas veo con mis ojos trizados, voy a quedar ciego, pero no ciego, porque nada de mí va a quedar, Aniceto comienza a andar con su pata metida adentro de mi cara, me pisotea por dentro, cojea, los demás nos retorcemos de la risa, oye, puchas qué estruje, qué divertido ese huevón de Aniceto y el tonto de Romualdo persiguiéndolo en cuatro patas por el suelo para pescar la cabeza, como si fuera otra cosa que un montón de jirones de cartonpiedra ahora, como si pudiera salvarla, abollada, raspada, despintada y la tonta de la Iris persiguiendo a Romualdo, persiguiendo a la cabeza y a Aniceto, para qué la querrá ahora que no sirve para nada más que para tirarla a la basura, tratando de quitársela a Aniceto la raja más todavía y chilla de terror, mira, se quedó con el sombrero en la mano, póntelo, Gina, te queda grande, baila, Gina, con el sombrero del Gigante puesto, baila, así, así me gusta, mijita, dame el sombrero para ponérmelo yo, a mí, no, a mí, yo quiero, partámoslo, yo una oreja, no, no, por favor, qué van a decirme los caballeros turcos, cómo voy a pagar la cabeza del Gigante si soy pobre y por culpa de ustedes me van a echar de la pega, ustedes me van a tener que pagar la cabeza, miren, un pedazo de ojo, cabros desgraciados, voy a llamar a los carabineros para que los metan presos a todos empezando por ti, Gabriel, que soi clandestino así es que ándate con cuidado, atrévete no más Romualdo desgraciado, si vienen los carabineros nosotros les vamos a contar que andái explotando a esta pobre huevona de la Gina que es menor de edad, y todos nosotros somos menores de edad, tú tenís veintiún años y no te hai presentado para el servicio militar, mírenla cómo llora como tonta la cabra huevona, con la nariz del Gigante en la mano, baila con la pichula, Gina, baila, déjate de llorar, ya, no seái lesa y baila, te digo.
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