Translation for "fréquentation" to spanish
Translation examples
Ses fameuses chasses furent de nouveau assez bien fréquentées.
Sus partidas de caza volvieron a contar con una nutrida asistencia.
Ainsi la fréquentation journalière de l’école avait son côté démoniaque.
Así, la asistencia diaria a la escuela tenía su aspecto demoníaco.
Je crains d’avoir manqué d’assiduité, en ce qui concerne la fréquentation de votre église.
Me temo que últimamente descuidamos bastante la asistencia a la iglesia.
La fréquentation des messes, le dimanche, était en déclin régulier depuis près de dix ans.
La asistencia a las misas dominicales experimentaba un descenso constante desde hacía casi diez años. St.
Seize visites en un an ne constituaient pas une fréquentation habituelle, mais suffisante pour qu’il soit en mesure de nous donner quelques précisions.
Dieciséis visitas en un año no era una asistencia habitual, pero sí suficiente para que el hombre pudiera hacernos algunas precisiones.
En outre, les chiffres de fréquentation lors de mes apparitions en public avaient baissé, ça commençait à ressembler au commencement de la fin.
Además, la asistencia a mis actuaciones iba de capa caída, aquello parecía ya el principio del fin.
En quatre ans, la fréquentation des messes augmenta de quarante pour cent, la dette fut épongée, le toit réparé.
A los cuatro años, la asistencia a misa aumentó en un cuarenta por ciento, liquidó la deuda y reparó la iglesia.
Le service du matin occupait toute une heure, bien qu’Ista le soupçonnât d’être abrégé et assez peu fréquenté ;
Los tempraneros oficios ocuparon una hora, aunque a Ista le pareció que los habían recortado, y que la asistencia era escasa;
Au bout de sept ans la fréquentation était de cinquante pour cent plus forte et on jetait les fondations d’une école religieuse.
A los cinco años, reconstruyó la casa del párroco. A los siete, dobló la asistencia a misa y empezó a construir la escuela.
Les familles qui participeront auront un accès illimité et en temps réel à tout : l’endroit où se trouve leur progéniture, les résultats scolaires, les cours qu’il ou elle fréquente, ou sèche, tout !
Las familias que participen dispondrán de acceso constante y en tiempo real a todo: ubicaciones, puntuaciones, asistencia, todo.
Toute cette belle compagnie se connaissait, sans pour cela se fréquenter nécessairement.
Toda esa concurrencia se conocía, sin que por ello se frecuentara Necesariamente.
Lui et Baltasar Toledo, dans un endroit mal situé et de fréquentation douteuse.
El y Baltasar Toledo, en lugar incómodo y de concurrencia dudosa.
Et, si je puis me permettre, docteur Huxley, une controverse fait merveille pour la fréquentation du Muséum.
Y si me permite decirlo, doctor Huxley, una controversia obra milagros en nuestra concurrencia.
Le dimanche, c’était le jour des combats dans les enceintes les plus fréquentées du public. C’est pour des raisons comme celle-là qu’il aimait le dimanche matin.
Los domingos eran días de combate en vallas de buena concurrencia, y por cosas así le gustaban las mañanas de domingo.
Parallèlement, la fréquentation des cinémas passant des films d’épouvante augmentait de façon tout à fait anormale.
Al mismo tiempo, había aumentado la concurrencia de espectadores a los automóvil cines donde se proyectaban películas de horror que no deberían haber estado en la cartelera más de una semana.
La foule est ici très différente de celle qui fréquente les espaces publics, au rez-de-chaussée du casino, et je me sens aussitôt un peu déplacé.
La concurrencia no tiene mucho que ver con los jugadores de las zonas públicas del casino, en la planta de abajo, y de inmediato me siento ligeramente fuera de lugar.
O’Quinn se dépêcha de revenir s’asseoir pendant que l’homme de la CIA reprenait son exposé. — Le bilan des victimes n’est que de sept personnes, car l’explosion a eu lieu à un moment de faible fréquentation.
O'Quinn se apresuró a volver a la mesa porque como agente de la CIA le correspondía responder a esa pregunta. —El número total de muertos asciende a siete; la explosión se produjo en un momento de escasa concurrencia.
En premier lieu, il lui sembla qu’à mesure que la pleine saison approchait, la fréquentation de son hôtel diminuait plutôt que d’augmenter, et en particulier que le flot d’allemand jusqu’ici parlé autour de lui baissait, si bien qu’à table et sur la plage il finissait par ne plus entendre que des langues étrangères.
Primeramente le pareció notar que, a medida que avanzaba la estación, la concurrencia parecía más bien disminuir que aumentar en el hotel. Advirtió especialmente que el alemán iba escaseando, hasta el punto de que llegó un momento en que en la mesa y en la playa su oído percibía sólo sonidos extraños.
Mais pour ne pas rester sur la parole de quelqu’un que nous connaissons à peine, voici un autre journal qui a publié la nouvelle à la bonne page, celle de la nécrologie, et qui présente longuement le défunt, c’est hier qu’ont eu lieu les obsèques de monsieur le docteur Fernando Antonio Nogueira Pessoa, célibataire, quarante-sept ans, notez bien, quarante-sept, né à Lisbonne, diplômé ès lettres de l’université d’Angleterre, écrivain et poète très célèbre dans le milieu littéraire, on a déposé sur le cercueil des bouquets de fleurs naturelles. Les pauvres, ce sont elles qui ont le plus triste sort, si vite fanées. Tandis qu’il attend le tram qui doit le conduire aux Prazeres(7), le docteur Ricardo Reis lit l’oraison funèbre prononcée devant la tombe, il la lit tout près de l’endroit où, comme on le sait, fut pendu, il va y avoir deux cent vingt-trois ans de cela, sous le règne de Dom Joao V, nom cité dans Mensagem, nous disions donc, où fut pendu un colporteur génois, lequel avait tué d’un coup de couteau dans la gorge, à cause d’un morceau de droguet, un Portugais de chez nous, puis avait fait subir le même sort à la gouvernante qui était morte sur le coup, avait donné deux coups de couteau, non mortels ceux-là, à un domestique, crevé l’œil d’un autre comme on le fait à un lapin, et s’il n’y avait pas eu davantage de morts, c’est qu’on avait réussi enfin à l’arrêter, la sentence fut exécutée ici, tout près de la maison de la victime, et il y eut grande affluence, rien à voir avec cette matinée de mille neuf cent trente-cinq, le trente décembre, ciel couvert, dans la rue seulement ceux qui ne peuvent faire autrement, bien qu’il ne pleuve pas en cet instant précis où Ricardo Reis, adossé à un réverbère en haut de la Calçada do Combro, lit l’oraison funèbre, pas celle du Génois qui n’en a pas eue sauf, peut-être, les insultes de la populace, mais celle de Fernando Pessoa, le poète, innocent de tout crime de sang, Deux mots sur son trépas, pour lui deux mots suffisent, ou aucun, le silence eût été préférable, un silence qui l’enveloppe déjà, et nous avec lui, un silence digne de son esprit, si près de Dieu il n’est rien d’autre qui se justifie. Ceux qui furent ses compagnons dans le commerce de la Beauté ne devaient, ne pouvaient le voir ainsi porter en terre, ou plutôt ne pouvaient le voir franchir les ultimes frontières de l’éternité, sans prononcer la calme mais très humaine protestation, celle de la colère provoquée par son départ. Ses compagnons d’Orphée ne pouvaient, avant même ses propres frères, puisque appartenant au même sang idéal de la Beauté, ne pouvaient, répétons-le, l’abandonner là, dans sa dernière demeure, sans avoir au moins effeuillé sur sa mort sublime le lys blanc de leur silence et de leur douleur. Nous regrettons l’homme que la mort nous ravit, et avec lui, la perte du prodige qu’était sa fréquentation et la grâce de sa présence, l’homme seulement, et c’est dur de le dire, car pour ce qui est de son esprit et de son pouvoir créateur, le destin leur a octroyé une étrange beauté immortelle, ce reste appartient au génie de Fernando Pessoa. Eh bien, eh bien, heureusement qu’il y a encore des exceptions aux règles de la vie, depuis Hamlet qui nous disait justement, Tout le reste est silence, car finalement c’est le génie qui se charge du reste, et si c’est lui, c’est aussi bien n’importe quoi.
Mientras espera el tranvía que lo ha de llevar a Prazeres, el doctor Ricardo Reis lee la oración fúnebre pronunciada al pie de la tumba, la lee cerca del lugar donde fue ahorcado, nosotros lo sabemos, va para doscientos veintitrés años, reinaba entonces Don João V, que no cupo en Mensagem, fue ahorcado, íbamos diciendo, un genovés, buhonero, que por causa de una pieza de droguete mató a uno de nuestros portugueses de una puñalada en la garganta, y luego hizo lo mismo con el ama del muerto, que muerta quedó allí del golpe, y a un criado le dio dos puñaladas no fatales, y a otro lo agarró como a un conejo y le vació un ojo, y si más no hizo fue porque al fin lo prendieron y aquí se cumplió la sentencia por ser cerca de la casa del muerto, con gran concurrencia, no se puede comparar con esta mañana de mil novecientos treinta y cinco, mes de diciembre, día treinta, con el cielo cargado, que sólo anda por la calle quien no puede evitarlo, aunque no llueva en este preciso instante en que Ricardo Reis, recostado en un farol en lo alto de la Calçada do Combro, lee la oración fúnebre, no del genovés, que no la tuvo, a no ser que como tal le sirvieran los denuestos del populacho, sino de Fernando Pessoa, poeta, inocente de muertes criminales, Dos palabras sobre su tránsito mortal, para él bastan dos palabras, o ninguna, quizá sería preferible el silencio, el silencio que ya lo envuelve a él y nos envuelve a nosotros, un silencio de las dimensiones de su espíritu, con él está bien lo que está cerca de Dios, pero tampoco debían, tampoco podían, los que fueron sus pares en el convivio de la Belleza, verlo descender a tierra, o mejor, ascender a las líneas definitivas de la Eternidad, sin manifestar la protesta tranquila, pero humana, el dolor que nos causa su partida, no podían sus compañeros de Orfeu, más que compañeros hermanos, que comulgan con el mismo ideal de Belleza, no podían, repito, dejarlo aquí, en la tierra extrema, sin haber al menos deshojado sobre su muerte gentil el lirio blanco de su silencio y de su dolor, lloramos al hombre que la muerte nos lleva, y con él la pérdida del prodigio de su convivencia y la gracia de su presencia humana, sólo al hombre, es duro decirlo, pues a su espíritu y a su poder creador, a ésos les dio el destino una extraña hermosura inmortal, lo que queda es el genio de Fernando Pessoa. Vaya, vaya, por suerte aún se encuentran excepciones en las regularidades de la vida, desde el Hamlet que andábamos diciendo, El resto es silencio, en definitiva, del resto es el genio quien se encarga, éste o cualquier otro. El tranvía llegó y partió ya, Ricardo Reis va sentado en él, solo en el banco, pagó su billete de setenta y cinco centavos, con el tiempo aprenderá a decir uno de siete y medio, y vuelve a leer la funérea despedida, no puede convencerse de que sea Fernando Pessoa el destinatario de ella, en verdad muerto, si consideramos la unanimidad de las noticias, sino a causa de las anfibologías gramaticales y léxicas que él abominaría, tan mal lo conocían para así hablarle o hablar de él, se aprovecharon de su muerte, estaba atado de pies y manos, pensemos en lo del lirio blanco y deshojado, como muchacha muerta de fiebre tifoidea, en aquel adjetivo, gentil, Dios mío, qué recuerdo tan ramplón, con perdón de lo vulgar de la palabra, cuando tenía allí mismo el orador la muerte sustantiva que debiera dispensar todo lo demás, en especial el resto, todo tan poco, y como gentil significa noble, caballero, gracioso, elegante, agradable, cortés, eso es lo que dice el diccionario, entonces la muerte podría ser calificada de noble, caballeresca o graciosa, o elegante, o agradable o cortés, cuál de éstas habrá sido la suya, si es que en el lecho cristiano del Hospital de San Luis le fue permitido elegir, quieran los dioses que haya sido agradable, pues con una muerte que lo fuese sólo la vida se perdería.
Comme de fréquenter une plage publique.
Como ir a una playa pública.
Lui aussi avait fréquenté une école primaire de cette ville.
Seguro que fue al colegio público de la ciudad.
Il ne s’inquiétait pas d’être dans une rue fréquentée. Pas encore.
Aún no le preocupaba dejarse ver en público.
Julienne avait commencé à fréquenter l’école d’Östermalm.
Julienne empezó en el colegio público de Östermalm.
Elle a fréquenté une école primaire municipale d’Ichikawa.
Iba a un colegio público de Ichikawa.
Il n'y a plus personne là-bas, ce n'est plus la même fréquentation...
Ya no hay nadie por allí, el público ha cambiado.
D’aller danser sur le terrain de sport ? Et de fréquenter cet endroit ?
¿Cómo llamas a bailar en un parque público?
Et l’endroit le plus indiqué pour la montrer, c’est un lieu très fréquenté.
Y el mejor lugar para conseguirlo era un sitio público.
Les filles publiques aussi et, en général, tout ce qui fréquente les commissariats.
Las mujeres públicas también y, en general, todo el mundo que frecuenta las comisarías.
— J'ai fréquenté une école secondaire anglaise, si c'est ce que vous voulez dire.
—Fui a una escuela pública inglesa, si es lo que quieres decir.
Tu dois faire attention à mieux choisir tes fréquentations, Lily.
Debes tener cuidado con tus amigos, Lily.
Ses cheveux bruns, frisés, trahissaient une attention fréquente.
Su cabello castaño y abundante se veía rizado y con el aspecto de recibir frecuentes cuidados.
Faut se méfier si on fréquente des gens de couleur et qu’on a des coupures aux mains, disait-elle.
Había que tener cuidado, decía ella, cuando se estaba con negros y se tenía algún corte.
J’avais appris que le risque d’œdème était fréquent et redouté dans les services de soins intensifs.
Había descubierto que algo que impedía habitualmente la extubación era el edema que se producía de forma bastante predecible en cuidados intensivos.
Mais je devais faire attention parce qu’un des soldats de chez moi était assigné à la porte pour surveiller nos fréquentations et nos déplacements.
Pero había que tener cuidado porque uno de los soldados de mi casa estaba destinado a la puerta para vigilar nuestros movimientos y a nuestros visitantes.
Elle n'a pas fréquenté une école ni suivi des cours pour se spécialiser dans les soins à dispenser aux enfants fragiles.
No ha asistido a ningún curso de especialización ni a ninguna universidad para obtener un certificado de cuidados infantiles.
Au-delà s’étendait la petite parcelle de pré qui avait fini, après deux ans de tontes fréquentes, par avoir l’air d’une pelouse.
Más allá había una pequeña zona del prado que, tras dos años de cuidados, había llegado a parecer césped.
Il est recommandé aux soldats d’infanterie de veiller aux infections, qui sont fréquentes dans les zones de combat et peuvent mettre leur vie en danger.
A los soldados de infantería se les exhorta de manera especial a que tengan cuidado con las infecciones, porque se presentan fácilmente en una zona de combate y suponen una amenaza para la supervivencia.
Il a peu à peu cessé de s’occuper de ses affaires, et cette habitude qu’il avait de fréquenter des jeunes prostituées de bas étage… enfin, c’était lamentable.
Abandonó poco a poco el cuidado de su negocio, y aquella costumbre suya de frecuentar jóvenes prostitutas de ínfima condición… en fin, lamentable.
Je n’étais pas une bonne fréquentation ?
¿Yo no era una buena compañía?
Tu n’as pas de mauvaises fréquentations ?
¿No irás con malas compañías?
C’est peut-être la compagnie que tu fréquentes.
Quizá sean tus compañías.
Tu n’as pas de très bonnes fréquentations.
No andas en buena compañía.
— Il a de mauvaises fréquentations ?
—¿Anda en malas compañías?
Il veut pas que tu aies de mauvaises fréquentations.
No quiere que frecuentes malas compañías.
Je ne m’attendais pas à ce que vous ayez ce genre de fréquentation.
No me esperaba que frecuentase semejantes compañías.
Il avait les livres comme mauvaises fréquentations.
Las malas compañías eran los libros.
Ce verset te préservera des mauvaises fréquentations.
Este versículo te preservará de las malas compañías.
– Et ces mauvaises fréquentations, ce ne peut être que moi ?
—Y esas malas compañías, ¿solo puedo ser yo?
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