Translation for "fruger" to spanish
Fruger
Translation examples
« Fruges, non viri », c’est ce que disait le frère Gerbert, le dulcissime.
Fruges, non viri, eso dijo el hermano Gerberto, el dulcissimo.
Le frug, personne ne savait encore le danser, ils étaient trop vieux pour apprendre.
El frug, nadie sabía bailarlo todavía, eran demasiado viejos para aprender.
Bernadette, le corps enveloppé de soie, une croix d’or miniature collée entre les seins, entendit qu’on mettait un disque de frug sur le phonographe et ouvrit les bras ;
Bernadette, con el cuerpo envuelto en seda y una cruz dorada de juguete pegada entre los pechos, oyó que ponían un disco de frug en el fonógrafo y abrió los brazos;
Dans ce cas, le sacrifice dont le rabbin a bénéficié sans l’avoir personnellement voulu lui pèserait moins lourd. Mais pas la moindre ombre ne vient assombrir la vie qui devait être celle de la donatrice.) » D’après une ballade du poète yiddish russe Frug, racontée par Michael Landmann dans : Entretiens avec Ernst Bloch en été 1968, à Korcula
En ese caso, el sacrificio, que él nunca quiso, no le pesaría tanto. Sin embargo, en la vida prevista para la donante no se encuentra ni una sola sombra)» (según una balada del poeta ruso-yídish Frug, narrada por Michael Landmann en Conversaciones con Ernst Bloch en el verano de 1968 en Korčula, la isla en que nació Marco Polo).
Iris se met en mouvement, très lentement ; d’abord, elle se contente de frotter une cuisse contre l’autre, puis elle s’agite tout entière au rythme du babalou effréné, elle tourne, la chevelure hirsute, les bras tendus comme pour chercher quelqu’un ou quelque chose, elle tourne et retourne, se courbe, s’étire, laisse pendre la tête en arrière puis la verse en avant avec toute sa chevelure, elle tourne, emportée tout entière par le rythme du rock, du frug ou que sais-je encore, pourvu qu’il s’agisse de danser en tournant pour montrer ses cuisses, sa culotte sale et ses nichons ballants, et sa langue chaude qui cherche aussi, danser dans l’embrasure pour qu’on l’applaudisse et que les gens de la rue la félicitent et lui crient ne te fais pas prier Gina, ma petite, ne te fais pas prier, ma jolie, fais bien bouger tes nichons, que ton pétard se démonte et que la Maison brûle, et brûlons tous.
La Iris comienza a moverse, muy lenta, sólo restregando un muslo con otro al principio, agitándose entera al ritmo del babalú desenfrenado después, girando, el pelo embravecido, los brazos estirados, las manos abiertas como si buscaran algo o alguien, girando otra, otra vez, encorvándose, estirándose, deja caer hacia atrás su cabeza, la cabeza y todo el pelo vertido hacia adelante después, gira toda encajada dentro del ritmo del rock, del frug, qué sé yo qué será, con tal de bailar girando para mostrar los muslos y los calzones cochinos y las tetas bamboleándose, la lengua caliente que también busca, bailar en el alféizar para que la aplaudan y la gente de la calle la celebre gritándole échale no más, Gina, mijita, échale no más mijita linda, que se te muevan harto las tetas, que se desarme el poto, que arda la casa, que ardamos todos.
Et en attendant, les vieilles balayent un peu, comme elles ont fait toute leur vie, ou raccommodent, ou lavent, ou pèlent des pommes de terre ou bien ce qu’il y a à laver ou à peler, pourvu que ça ne demande pas beaucoup de force, parce que, de la force, il ne leur en reste plus, leurs jours sont semblables, chaque matin est la répétition du précédent, chaque après-midi la copie de ceux de toujours, elles prennent le soleil assises dans le caniveau d’un cloître, elles chassent les mouches qui se gorgent de leur bave, de leurs boutons, les coudes cloués aux genoux et les mains couvrant leur visage, lasses d’attendre le moment qu’aucune d’elles ne croit attendre, elles attendent comme elles ont toujours attendu, dans d’autres cours, près d’autres piliers, derrière les carreaux d’autres fenêtres, ou bien elles se distraient en coupant des géraniums rouges pour orner la caisse en bois blanc dans laquelle on a emporté la Mercedes Barroso, pour que la pauvre Menche ne parte pas sans une seule fleur, même si ce ne sont que ces géraniums poudreux, Dieu qu’elle était drôle quand elle dansait les danses que lui avait apprises Iris Mateluna : le frug, le rock, et les autres petites orphelines, et même nous, on donnait le rythme en frappant dans nos mains pour les faire danser ensemble, Iris et la Menche, pauvre Menche… c’est simplement d’être trop grosse qu’elle a dû mourir, une nuit toute pareille à celle qui va commencer maintenant.
Y mientras esperan, las viejas barren un poco como lo han hecho toda la vida, o zurcen o lavan o pelan papas o lo que haya que pelar o lavar, siempre que no se necesite mucha fuerza porque fuerza ya no queda, un día igual a otro, una mañana repitiendo la anterior, una tarde remedando las de siempre, tomando el sol sentadas en la cuneta de un claustro, espantando las moscas que se ceban en sus babas, en sus granos, los codos clavados en las rodillas y la cara cubierta con las manos, cansadas de esperar el momento que ninguna cree que espera, esperando como han esperado siempre, en otros patios, junto a otras pilastras, detrás de los vidrios de otras ventanas, o se entretienen cortando cardenales colorados para adornar el cajón de palo en que se llevaron a la Mercedes Barroso, para que no se vaya sin ni siquiera una flor la pobre Menche aunque no sean más que estos cardenales polvorientos, por Dios que era divertida cuando bailaba esos bailes que le enseñó la Iris Mateluna, frug, rock, y las otras huerfanitas y hasta nosotras llevando el compás palmoteando para que bailaran juntas, la Iris con la Menche… pobre Menche… de puro gorda se debe haber muerto la Mercedes Barroso una noche igualita a la que va a comenzar ahora.
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