Translation for "frotter" to spanish
Translation examples
Elle doit frotter et cirer.
Tiene que fregar y bruñir.
J’irai même jusqu’à te frotter le dos.
Incluso fregaré tu espalda.
De nettoyer, de frotter, de cirer.
Lavar, fregar, lustrar.
alors nous cessâmes de savonner et de frotter.
entonces dejamos de enjabonar y fregar.
Comme une bonne sœur fatiguée de frotter les planchers et de croire.
Como una monja cansada de fregar suelos y de creer.
Zoë se mit à frotter un plat à four dans l'évier.
Zoë se puso a fregar una bandeja de horno en el fregadero.
Ben, il y a peut-être des sols qui ont besoin qu’on les frotte, non ? »
Bueno, seguro que queda algún suelo por fregar.
Ida m’a dit de frotter, j’ai frotté, et tellement bien que presque toute la peinture est partie.
Ida me pidió que lo fregara y yo lo fregué tan bien que se le cayó casi toda la pintura.
J'ai eu qu'à les tremper dans l'eau tiède, à frotter légèrement les cols et à les repasser.
Todo lo que tuve que hacer fue humedecerlas en agua tibia y fregar un poco los cuellos y plancharlas.
On entendait des bruits de harnais, des frottements.
Hubo ruido de arneses, ruido de maleza.
Aussitôt, une demi-douzaine de chats sont sortis des buissons comme par enchantement et sont venus se frotter contre ses jambes.
Y salieron unos cuantos gatos de entre la maleza como por arte de magia, al menos media docena, y empezaron a frotarse contra sus piernas.
Le sous-bois était auparavant animé de sons, un oiseau avait émis un grincement, tel celui de deux cailloux frottés ensemble, et il y avait eu un bruissement de pieds sur l’humus des feuilles.
Hasta entonces había oído ruidos en la maleza, el gorjeo de un pájaro parecido al entrechocar de dos guijarros, y una vez un rumor de pasos sobre el lecho de hojas.
Elle conduisait les hommes derrière un buisson épais, les débarrassait de leur uniforme, leur donnait une bassine d’eau, un bon morceau de savon à la potasse pour frotter et distribuait en outre des édredons et des couvertures afin de dissimuler leur nudité pendant qu’elle faisait bouillir leurs effets dans sa grande lessiveuse.
Los obligaba a ir tras un grupo de malezas, los despojaba de sus uniformes, les daba un barreño de agua y un recio jabón de greda para lavarse, y les dejaba mantas o colchas para cubrir su desnudez mientras ella metía en agua hirviendo todas sus ropas en el enorme caldero de la colada.
Certains avaient déjà cherché des randonneurs ou des enfants perdus dans la Réserve et avaient leur technique particulière, mais les adjoints du comté de Beechum avançaient groupés, à quelques mètres seulement les uns des autres, malgré les broussailles et les troncs serrés des pins qui rendaient la progression difficile : il s’agissait de ne pas passer à côté de ce qui avait pu tomber par terre, s’accrocher aux ronces, frotter contre un arbre, du moindre indice du passage de la fille, peut-être capital pour lui sauver la vie.
Algunos componentes de la partida de rescate ya habían buscado antes a excursionistas y a niños perdidos en la reserva y tenían un sistema particular de proceder, pero la estrategia de la policía del condado era no separarse demasiado, mantenerse a muy pocos metros unos de otros, aunque fuese difícil lograrlo allí donde la maleza se espesaba o los árboles estaban muy juntos, porque la idea era no pasar por alto lo que hubiera podido caer al suelo, así como ropa rasgada por los brezales o enganchada en el tronco de un árbol, cualquier señal de que la chica perdida había pasado por allí, un indicio crucial que pudiera salvarle la vida.
Jamais de ma vie je n’avais vu un rouge aussi splendide ! » Le sol se dérobait sous les pieds de Schmidt qui cheminait dans un marécage Il atteignait un arbre, grimpait sur une branche et sentait que l’arbre, lui aussi, commençait à s’enfoncer… Allongé sur son lit près de sa femme, il essayait de lui arracher sa chemise de nuit mais elle se mit à pousser des cris, il se jeta sur elle, la chemise se déchira, sa femme se retourna, elle se mit à rire, au bout de ses énormes seins, les tétons étaient comme de magnifiques roses À l’intérieur il faisait une chaleur épouvantable, l’eau ruisselait Il regarda par la fenêtre Dehors il pleuvait à verse Kráner un carton à la main courait vers sa maison soudain la base du carton s’ouvrit et tout se répandit sur le sol Mme Kráner lui hurla de se dépêcher puis voyant qu’il n’arrivait pas à ramasser la moitié des objets éparpillés il décida qu’il reviendrait demain Un chien se précipita tout à coup sur lui il hurla de peur donna un coup de pied dans la gueule du cabot qui couina et resta à terre Il ne put s’arrêter il continua de le frapper Le ventre du chien était tout mou Le directeur d’école essayait honteux de persuader un petit homme au costume râpé de le suivre il connaissait un endroit tranquille l’autre comme s’il ne savait pas dire non consentit lui n’en pouvait plus et lorsqu’ils entrèrent dans un parc désert il le poussa pour le faire avancer plus vite jusqu’à un banc en pierre couvert de broussailles l’allongea lui sauta dessus l’embrassa dans le cou mais au même moment sur le sentier parsemé de graviers blancs qui menait au banc de pierre quatre médecins en blouse blanche apparurent rouge de honte il leur fit signe qu’il allait partir tout de suite puis il expliqua à l’un des médecins qu’ils n’avaient pas d’autres endroits où aller ils devaient le comprendre ils devaient en tenir compte puis il se mit à injurier le pauvre petit homme car il éprouva soudain une terrible répugnance à son égard mais il eut beau regarder tout autour de lui il s’était volatilisé le médecin le regardait droit dans les yeux avec mépris puis fatigué il baissa les bras Mme Halics lavait le dos de Mme Schmidt le chapelet posé sur le rebord de la baignoire glissa comme un serpent dans l’eau le visage d’un gamin en train de ricaner apparut à la fenêtre Mme Schmidt lui dit qu’elle en avait assez sa peau était en feu à force d’être frictionnée mais Mme Halics la replongea dans la baignoire et continua de lui frotter le dos car elle avait de plus en plus peur que Mme Schmidt soit mécontente d’elle alors elle lui hurlafurieuse que la vipère temorde elle s’assit pleura sur lerebord de la baignoire elle voyait toujours le gamin qui ricanait à la fenêtre Mme Schmidt étaitunoiseau elle volait joyeusement sur la crête desnuages elle vit quelqu’unenbas lui faire un signe elle descendit et alors elle entendit lescrisde Schmidt pourquoila bouffe est pas prêtesalope descendstout de suite maisel lere pritsonenvol etpiailla d’ici demaintu crèveras pasdefaim ellesentit leso leillui brûler ledosschmidtétait soudainàcôtéd’ellearrête toutdesuitemais ellen’ yprêtapasat tention ellevola enra semotte elleauraitvouluattraperun insecte futakisefaisaitmar querauferàl’épaule ilnepouvaitplusbou gerilétaitattachéàunarbre ilsecâbraetsentitla cordeserelâcherilregarda son épauleun elon gueblessures’ou vraitil détournalesyeuxc’étaitinsupportable ilétaitassissurunepelleteuse quicreusaituneé norme fosseun hommearrivaetluidit dépêchetoijenetedonneraiplus d’essence mêmesitu me supplies ilavaitbeauappro fondir lafosseelles’écrou s’écroulaitsansarrêt il essaya à ànou ànouveau maisenvainalorsilpleuraassissur lafenêtreduhan garauxmachines ilnesavaitpas sic’étail’aube oulecrépuscule etçanevoulaitpass’arrêterilrestait assislàsanscomprendre dehorsriennebougea ce n’étaitnilesoirnilematin lejour necessaitdeseleveroudesecoucher IV Ascension ? Hallucination ?
Miró por la ventana: fuera llovía a cántaros Kráner corría rumbo a su casa llevaba en la mano una caja de cartón cuyo fondo se abrió de pronto y el contenido se esparció por el suelo la señora Kráner le pedía a gritos que se diera prisa de manera que no pudo recoger ni siquiera la mitad de cuanto se había caído y decidió ir a buscarlo al día siguiente. Un perro se abalanzó de pronto sobre él y asustado gritó y le dio una patada en el morro al animal que gimiendo se encogió y quedó allí en el suelo. Como no pudo aguantarse le dio otra patada. El perro tenía blando el vientre. El director de la escuela logró convencer con gran esfuerzo y con un sentimiento de vergüenza a un hombrecito vestido con un abrigo desgastado de que lo acompañara pues conocía un lugar apartado y el hombre aceptó como si no pudiera negarse y él apenas podía con su alma y cuando entraron en un parque abandonado incluso lo empujó para que llegaran cuanto antes a un banco de piedra rodeado de una densa maleza y acostó al hombrecito sobre el banco y se tumbó sobre él y le besó el cuello pero en ese instante se acercaron por el paseo cubierto de guijarros unos médicos con batas blancas y él abochornado les hizo señas para avisar que ya se iba pero luego explicó a unos de ellos que no sabían adónde ir que habían de comprenderlo y tenerlo en consideración y empezó a decir pestes del hombrecito pudibundo porque a esas alturas ya le daba muchísimo asco pero miró en vano aquí y allá pues aquél había desaparecido y el médico le miró a los ojos con desprecio la señora Halics le lavaba la espalda a la señora Schmidt un rosario se deslizó poco a poco como una serpiente hacia el agua el rostro sonriente de un chaval apareció en la ventana y la señora Schmidt dijo que ya tenía bastante que le ardía la piel de tanto frote pero la señora Halics la empujó de vuelta a la bañera y continuó frotándole la espalda cada vez más temerosa de que la señora Schmidt no se sintiera satisfecha y enfurecida le gritó quetemuerdalavíbora y se sentó en el borde de la bañera desde donde seguía viendo al muchacho sonriente en la ventana la señora Schmidt eraunpájaro que volaba contento por encima de las nubes y veíaqueabajo alguien la saludaba fuedescendiendo y entonces ya oyó losgritos de Schmidt queporquénohascocinado queeresunafurciabaja ahoramismo pero ella pasó volando arriba y legorjeó quehastamañananotevas a morirdehambre y sentía queelsolle calentabalaespalda y de​pron​toSchmidt​es​ta​baasu​la​do déjaloahoramismo peroella noleprestóatención sinoquedescendió volando que​rí​aco​ger​un​in​sec​toal​vue​lo a Fu​ta​ki​le​gol​pea​ban​elhom​bro​conun​hie​rro no podíamoverse estabaatadoaunárbol rígidosentía queelcordelcedía y se miróelhombroenelque seabrió unaherida a​par​tó​la​mi​ra​da​pues​no​po​dí​aa​guan​tar loqueveía y derepente estabasentado enunbuldózer lapalaexcavaba une​nor​mea​gu​je​ro seacercó unhombre ydijo da​te​pri​sa​que​no​te​da​ré​más​ga​so​li​na por​mu​cho​que​me​lo​pi​das ibaahon​dan​do​el​ho​yo​que​pa​ra​siem​pre​se​de​rrum​bó loin​ten​tó​de​nue​vo pe​roen​va​no seechóallorar sen​ta​doen​la​ven​ta​na​de​la navedemaquinaria yno​sa​bí​aqué​ocu​rría sia​ma​ne​cí​aosia​no​che​cía ytodoellonoquería nuncaacabar sen​ta​doa​llí​no​sa​bí​aqué​pa​sa​ba na​da​cam​bia​baa​llá​fue​ra no​lle​ga​ba​ni​la​ma​ña​na​ni​la​no​che rei​na​baun​cre​pús​cu​lo​sin​ce​sar IV
Elle fait volte-face vers l’ouverture de la tente en entendant ce frottement qui résonne à l’est et trouble le silence à une centaine de mètres de là, vers un bosquet de cornouillers et d’églantiers.
Se vuelve con rapidez hacia la puerta de entrada, y un fuerte crujido, a cien metros, procedente del este, desde unos matorrales de cornejo y rosas silvestres, rompe el silencio.
La veille, en revenant de la plage par le sentier, il avait projeté très haut une balle de base-ball qu’il avait dû aller repêcher dans les fourrés, et cet après-midi dans la douche il avait remarqué des plaques rouges sur sa peau. Il les avait frottées dans la salle de bain à l’aide d’une de ces serviettes blanches et rêches qu’on leur changeait tous les jours, il avait gratté jusqu’à l’extase, jusqu’à ce que la peau se mît à briller et à faire mal.
El día anterior, subiendo de la playa, había lanzado al aire una pelota para seguir entrenándose y había tenido que ir a buscarla al matorral, y al ducharse por la tarde había notado que tenía ronchas en la piel Al salir de la ducha se había frotado con una de las bastas toallas blancas que les proporcionaban cada día, frotándose la piel seca más allá del éxtasis hasta que empezó a dolerle.
Le sol avait été mouillé à grande eau et frotté.
Habían baldeado y fregado el suelo.
Le sol était vigoureusement frotté et ciré.
El suelo se hallaba recién fregado y encerado.
Comme si tout avait été lavé et frotté avant de partir.
Como si lo hubieran limpiado y fregado todo antes de irse.
Entretemps, Sophie avait tant balayé, lessivé et frotté qu’elle pouvait à peine bouger.
Para entonces Sophie había barrido y fregado tanto que apenas se podía mover.
Peut-être même frotter rapidement nos vêtements sur une pierre, dans le courant.
Me pregunto si podremos darle un fregado rápido a nuestra ropa cuando lleguemos al arroyo...
Dee et Dum avaient frotté et briqué partout ; son cottage n’avait jamais été aussi propre.
Dum y Dee habían fregado y limpiado, y la casa nunca había estado tan ordenada.
À cette heure-là, Nina avait frotté les trottoirs qui resplendissaient comme des sous neufs.
A aquella hora, Nina ya había fregado la acera, que resplandecía como una moneda recién acuñada.
le sol, les murs, les objets semblent briller, comme si tout avait été frotté et astiqué.
suelo, paredes, objetos, ofrecen un aspecto reluciente, como si todo hubiera sido fregado y lustrado.
Je le jure, à force d’être frottés, certains endroits étaient devenus aussi minces que le papier que je collais aux murs.
Juro que había sectores del suelo que se habían fregado hasta dejarlos tan finos como el papel que yo había pegado en las paredes.
Elle commence à frotter.
Comienza a restregar.
J'en veux frotter les lèvres de mon jeune disciple.
Voy a restregar con él los labios de mi joven discípulo.
Je pleure en enfilant les gants. Je suis à quatre pattes, je frotte.
Lloro mientras me los pongo. Me pongo a gatas para restregar.
Sans doute venait-elle de frotter les dalles ou de nettoyer les fenêtres.
Era evidente que acababa de restregar su turbio cubil o de limpiar las ventanas.
Mrs Bazeley essora un chiffon et se remit à frotter les inscriptions.
La señora Bazeley retorció el trapo mojado y empezó a restregar de nuevo las letras.
J’ai envie de frotter mon visage sur sa poitrine et sentir ses poils me piquer.
Quería restregar con fuerza mi cara contra su pecho y sentir que el vello me cortaba la piel.
une heure entière quand on n’avait pas besoin de battre et de frotter des draps et une salopette sur une planche à laver ;
una hora entera cuando ya no hubo que restregar las sábanas o los monos de trabajo sobre una tabla de lavar;
Je dus frotter d’onguents ma peau sèche et crevassée, pareille à un cuir mal tanné.
Tuve que restregar con ungüentos mi piel seca y agrietada como un cuero mal curtido.
Il pourrait l’embrasser, frotter sa joue contre les siennes, verser les larmes qu’il avait envie de verser.
Podría abrazarla, restregar la mejilla contra la suya, dar rienda suelta a sus lágrimas.
Il lava ses sous-vêtements et une chemise dans le lavabo, avec du shampoing par trop désinvolte envers la crasse puisqu’il dut frotter comme il avait vu sa grand-mère et sa mère frotter dans les lavoirs de la rue San Clemente.
Se lavó la ropa interior y una camisa en el lavabo con la ayuda de un champú quizá demasiado esquivo a sus suciedades, por lo que tuvo que restregar como había visto restregar a su abuela y a su madre en los lavaderos de la calle San Clemente.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test