Translation for "fringant" to spanish
Fringant
Similar context phrases
Translation examples
Je parie qu’elle est aussi fringante !
¡Y me apuesto a que también es fogosa!
… le fringant Allemand, Salum-Salum ;
el apuesto alemán, Salum-Salum;
Notre fringant toubib n’avait pas terminé ses études de médecine.
Nuestro apuesto médico no había acabado sus estudios de medicina.
Ton fringant jeune homme de frère a faim.
Tu apuesto y reflexivo hermano tiene hambre.
— Et ce jeune homme si fringant et si triste ?
—¿Y este joven tan apuesto y triste?
Dans l’un d’eux, il était décrit comme « le fringant adjoint du procureur ».
En una ocasión se lo describía como «el apuesto ayudante del fiscal del distrito».
Heydrich est un fringant officier de la Kriegsmarine et un redoutable escrimeur.
Heydrich es un apuesto oficial de la Reichsmarine y un temible tirador de esgrima.
— Je suis sûr que vous en recevez beaucoup de tous ces jeunes et fringants officiers.
–Estoy seguro de que debe recibir muchos, de todos esos apuestos oficiales jóvenes.
Il n’était plus le jeune Anglais aimable et fringant, mais un homme du néolithique.
Ya no era un apuesto joven inglés, sino una bestia neolítica.
C’était l’un des hommes les plus fringants que j’aie connus, avec un port viril parfait.
Era uno de los tipos más apuestos que haya conocido, el porte viril perfecto.
Steenstrup avait appartenu à cette fringante confrérie.
Steenstrup había formado parte de aquella gallarda compañía.
Cet Adrian Wicherly était une vraie caricature de jeune Anglais fringant comme on en trouve seulement dans les romans de P.G. Wodehouse.
Adrian Wicherly era prácticamente una caricatura de ese tipo de británico joven y gallardo que ella creía que solo existía en las novelas de P. Wodehouse.
Nickie se dirigea vers les toilettes et passa près de la porte d’entrée au moment où les deux pilotes fringants et bronzés pénétraient dans l’établissement.
Nickie se dirigió al lavabo de señoras, que estaba justo al lado de la caja. Los pilotos entraron por la puerta, gallardos y bronceados.
comment, une fois leur jeunesse perdue et avec elle la fringante bonhomie de leur condition, ils étaient réduits à de honteuses images, méprisables et ridicules.
en cómo, una vez pasada ya la juventud y con ella la gallarda cordialidad propia de su condición, quedaban reducidos a figuras desgarbadas y vergonzosas, objeto de menosprecio y de ridículo.
Orné de sourcils et d’une fringante moustache faits de cheveux véritables, il figurait le visage taillé à coups de serpe d’un marin tanné qui aurait arpenté toutes les mers du globe.
Tenía cejas y un bigote gallardo de pelo auténtico, y su rostro era la cara nudosa y curtida por el sol de un marinero que ha recorrido medio mundo.
Le héros du poème, le fils du colonel, fringant et élancé, portait un casque colonial avec une pièce de coton blanc pendant derrière, ainsi qu’un cordon attaché sur son pistolet.
El héroe del poema, el hijo del coronel, esbelto y gallardo, llevaba un salacot envuelto en una tela blanca y un cordón en el gatillo de la pistola.
Cela étant, elle sembla un instant apprécier ce qu’elle voyait ; depuis toujours elle trouvait les habits traditionnels, les livrées et les uniformes, « chouettes » ou « fringants », et elle sourit, amusée, mordilla l’intérieur de ses lèvres.
Por un momento pareció que lo que veía le gustaba: los uniformes, las libreas y los capotes siempre le habían parecido «elegantes» y «gallardos», y esbozó una sonrisa complacida, mordiéndose el labio.
J'imagine qu'il enviait ma bravade insolente de façade – je répétais déjà mes futurs premiers rôles fringants – ainsi que le dédain que je professais pour les études et le travail assidu.
Al volver la vista atrás, creo que también estaba colgado de mí. Imagino que envidiaba mi pose de bravucón insolente —yo ya ensayaba para esos futuros papeles de gallardo intérprete— y mi proclamado desdén por el estudio y el esfuerzo.
Il n’avait même pas de quoi payer son enterrement – et même cela, il devait le défendre chaque jour à la pointe de son épée – et il n’était pas non plus un bel élégant, ni un de ces hommes fringants et cultivés qu’admiraient les femmes dans la rue et les soirées.
No tenía donde caerse muerto —incluso eso lo establecía a diario con la espada— y tampoco era un lindo elegante, ni un hombre gallardo y cultivado de los que admiraban las mujeres en las rúas y los saraos.
brillante
Keith n’a pas encore trente ans et arbore une moustache brune fringante et un crâne rasé luisant.
Keith tiene veintitantos años, bigote castaño y una brillante cabeza afeitada.
En débarquant à San Francisco, fringante et riche, elle remarqua les regards lascifs qui la suivaient et eut la brillante idée d'en tirer bénéfice.
Al bajar en San Francisco, rozagante y enriquecida, notó las miradas de lascivia que la seguían y tuvo la brillante idea de cobrar por ellas.
— Vous êtes vulgaire, Angel ! — Vous êtes belle et intelligente, mais vous êtes comme une petite gazelle fringante et nubile qui vient de rencontrer le bouc.
–Angel, eres demasiado cínico. –Y tú eres brillante y hermosa, y no puedes evitarlo. Eres como una pequeña gacela núbil, tímida y lista, y acabas de divisar al macho de la manada.
Sur les fresques éclatantes du mur, l’omniprésent Padmasambhava tient un danyen très semblable à celui dont le fringant musicien jouait hier soir.
En los brillantes frescos de las paredes, el omnipresente Padma Sambhava sostiene un danyen muy parecido al que anoche tocaba el músico de Saldang;
– Le malheur c'est que j'ai grandi, depuis... se dit-il en se ressouvenant de la brillante époque, non lointaine, où le marquis de Gesvres, son dernier oncle, l'emmenait tout fringant chez ses fournisseurs.
–Lo malo es que he crecido desde… –se dijo, recordando la brillante época, no lejana, en que el marqués de Gesvres, su último tío, le llevaba muy elegante a casa de sus proveedores.
Plus facile de regarder la vieille Harriet Bennigan, à côté de laquelle Mme Perrine avait l’air d’une fringante pouliche, courbée sur les montants de son espèce de trépied à roulettes – un déambulateur –, en route pour sa laborieuse promenade matinale.
Era más fácil observar a la anciana Harriet Bennigan, que hacía que la señora Perrine pareciera un polluelo, inclinarse sobre su andador, con el brillante abrigo rojo de entretiempo revoloteando a su alrededor mientras avanzaba en su tambaleo matutino.
La voiture du Consul était un landau rouge rutilant doté de cinq vitrages, avec deux C entrelacés sur la portière, tiré par deux fringants étalons gris. C’était une journée humide, il bruinait un peu. Le cocher avachi sur son siège était presque entièrement dissimulé sous une cape et un chapeau en toile cirée.
El carruaje del Cónsul era un landó5* de cinco luces brillante rojo con las cuatro C de la Clave en el lado, tirado por un par de impecables sementales grises. Era un día húmedo, con llovizna débil, y su conductor se sentaba con desplomo en el asiento del frente, casi completamen- te oculto por un sombrero impermeable y la capa.
Curieusement, cette fille audacieuse et indépendante avait ensuite épousé l’ignoble, le ricanant et radotant, le multiplement vérolé Lord Lepton, joueur insatiable qui n’honorait jamais ses dettes, gazouilleur impénitent, même lorsqu’il fut ruiné au cours d’une des Bulles les plus extravagantes du Marché Financier, sommairement éjecté de maints Clubs prestigieux et sordides, conseillé par ami et ennemi de prendre la seule Décision raisonnable, savoir de franchir le pas qui lui permettrait de quitter le Monde. – Convaincu qu’ils voulaient dire « partir pour l’Amérique », résolument fringant, il mit son habit et son pantalon les plus robustes, prit un faux nom puis un moyen de transport public jusqu’au quai, là se lia par contrat à un maître de forges de North Riding, et en temps voulu mit les voiles (consigné avec les autres esclaves pendant toute la durée de la Traversée, très en dessous de la Ligne de flottaison du navire) jusqu’à la lointaine Chesapeake aux nuages fiévreux, où on le conduisit dans l’Intérieur pour creuser et pétarader la terre, pour surveiller et alimenter au service des Feux perpétuels, empester l’indéniable puanteur du Soufre, mener les esclaves Africains avec toute la bassesse qu’on pouvait attendre d’une Créature de son acabit, se voir confier un jour la poudre explosive, – un événement qui, compte tenu de l’état de son Ame, prit la dimension d’un bond majeur vers la Rédemption, – et après trois de ces années trans-Stygiennes, devint Compagnon, puis, deux ans plus tard, alors son propre Maître, fit son coup d’éclat suivant, retournant une seule fois en Angleterre, non pas vers les Maisons qui l’avaient repoussé avec dédain, mais vers la Durham aux cieux obscurcis, afin que de ramener en Amérique cette femme qui, s’étant mystérieusement laissé circonvenir, se dresse désormais céans, Châtelaine du Château de Lepton, presque comme Dixon se souvient peut-être d’elle sur l’une des vieilles tours délabrées de Raby, simulant encore, surveillant en contrebas le Déploiement intriqué non pas des hommes et des chevaux autrefois prisés, mais de la Dentelle de Bruxelles et de la Satinette d’aujourd’hui, des Brocarts et des Gazes fleuries et les arcs-en-ciel fantasques du Satin sur le parquet de Sa propre Altesse, tandis que la musique se fait complainte inconsolable d’Amours, au pis difficultueux, au mieux impossibles.
Por alguna razón, aquella muchacha de valerosa independencia se había casado con Lord Lepton, hombre de mala fama, de piel salpicada con múltiples erupciones pustulosas, despectivo y con tendencia a decir necedades, un jugador insaciable que no pagaba si perdía, siempre riéndose, incluso cuando se arruinó en una de las burbujas bursátiles más extravagantes del periodo y fue expulsado sumariamente de los clubes, tanto elegantes como rastreros, y todos, amigos y enemigos, le dijeron que lo único decente que podía hacer era arrojarse por el borde del mundo. Creyendo que con eso querían decir que se marchase a América, resuelto y alegre, se puso la casaca y los calzones más recios de su vestuario, adoptó un nombre falso, tomó un vehículo público que le dejó en los muelles, donde se ofreció como aprendiz a un maestro fundidor, y cuando hizo buen tiempo zarparon (viajó con los demás esclavos, muy por debajo de la línea de flotación del barco) y llegaron a la lejana Chesapeake, enturbiada por las fiebres palúdicas, desde donde le llevaron al interior para cavar y abrir la tierra con cargas explosivas, alimentar y atizar los fuegos perpetuos, oler sin remedio a azufre, dirigir a los esclavos africanos con tanta vileza como cabía esperar de un hombre como él, recibir un día el encargo de custodiar la pólvora de las voladuras (un acontecimiento que, dado su estado anímico, significaba un salto importante en su redención) y al cabo de tres años, al otro lado del océano, llegó a ser oficial, y transcurridos otros dos, cuando se había independizado, amasó una fortuna y regresó a Inglaterra sólo una vez, y no a las mansiones donde le habían rechazado, sino al Durham de cielo oscuro, para llevarse a América a la mujer que, por algún misterioso motivo, permitió que eso sucediera, y esa mujer se encuentra aquí ahora, convertida en dueña y señora del castillo de Lepton, y está casi igual a como Dixon pudo antaño haberla visto, allá en lo alto de una de las viejas y deterioradas torres de Raby, y finge todavía, mientras contempla el complicado despliegue que tiene lugar ahí abajo, no el de los elegantes hombres y mujeres del lejano pasado, sino el del encaje de Bruselas y la mignonette del presente, el de los brocados, gasas floreadas y desarreglados arcos iris de satén que se desplazan sobre el parqué de la esposa de Su Señoría, mientras la música se lamenta inconsolable de amores que, en el peor de los casos, entrañan grandes esfuerzos y, en el mejor, son imposibles. —… un lunático delirante, por supuesto —dice Su Señoría, Lord Lepton, fijando en los astrónomos sus ojos brillantes—, ¿no es así?
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