Translation for "forfaite" to spanish
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L’entraîneur savait qu’avec une équipe entièrement blanche, il n’avait aucune chance. Mais déclarer forfait, ce serait une perte sèche, et cela lui donnait à réfléchir, à lui et à tout le monde dans la salle.
El entrenador sabía que con un equipo blanco al cien por cien sus posibilidades eran nulas, pero no jugar equivalía a perder, lo cual le tenía tan perplejo como a todos los demás ocupantes de la sala.
— Si on interrompt le match, ça veut dire qu’on déclare forfait ! protesta Harry. Et on ne va quand même pas laisser la victoire aux Serpentard à cause d’un Cognard fou !
–¡Si paramos ahora, perderemos el partido! – argumentó Harry-. ¡Y no vamos a perder frente a Slytherin sólo por una bludger loca!
En conséquence, si Kamras choisissait une arme avec laquelle le Tuchuk ne serait pas familier, il pourrait sans disgrâce refuser le combat, abandonnant du même coup, par forfait, une simple fille Kassar, ce qui, j'en étais sûr, ne gênerait guère le philosophe Kamchak.
Por lo tanto, si Kamras elegía un arma con la que Kamchak no se sentía a gusto, el tuchuk podría declinar el combate, lo cual solamente significaría perder una chica kassar, y eso no podía importarle demasiado al despreocupado Kamchak.
Mais d’un autre côté, la voix de la raison ne cessait de me souffler à l’oreille que déclarer forfait pour trois cents dollars, ce n’était pas trop cher… si je devais finir mes jours sur deux moignons cautérisés au barbecue !
Mientras tanto, la voz de la razón estaba susurrando en mi oído que perder trescientos pavos no era un precio demasiado elevado para salirse de aquella estúpida situación… ¿o prefería caminar el resto de mi vida sobre dos estúpidos muñones asados?
Nous ne reconnaissons pas le Christ, nous rejetons Mahomet, nous commettons des meurtres rituels, nous contrôlons la traite des Blanches, nous méditons d’empoisonner le sang aryen par le rapport sexuel, et voilà qu’à présent nous avons tout gâché, nous avons perpétré le forfait le plus monstrueux, le pire que la presse mondiale ait jamais connu, sur l’innocent, le paisible, l’irréprochable Arabe.
No aceptamos a Cristo, rechazamos a Mahoma, cometemos asesinatos rituales, controlamos la trata de blancas, pretendemos envenenar la sangre aria mediante las relaciones sexuales, y ahora lo hemos echado todo a perder, ahora hemos incurrido en pecados monstruosos, los peores que la prensa mundial ha visto nunca, contra los inocentes, pacíficos e intachables árabes.
Ils ne parlaient même pas entre eux et ils poussaient leurs chevaux à travers la compagnie dans une sorte de mouvement rituel comme si certains points du sol devaient être foulés dans un ordre déterminé comme dans un jeu d’enfants mais en préparation de quelque horrible forfait.
Sin cruzar palabra se infiltraron con sus caballos entre el grupo en una suerte de ritual como si ciertos puntos del suelo debieran ser pisados en una determinada secuencia, como en un juego infantil mas con el temor a alguna terrible prenda.
Le grand-père disait que son forfait avait été de dire qu’avec ce coup d’État l’Afghanistan avait perdu sa première lettre pour devenir Fghanistan.
El abuelo decía que su crimen había sido afirmar que con aquel golpe de Estado Afganistán había perdido su primera letra y se había convertido en Fganistán.
La vie de cet homme était déjà forfaite quand il a pris la parole, et la flèche lui a accordé une mort plus clémente qu’entre les mains de Gorlaës.
Su vida estaba perdida desde el momento en que habló, y la flecha fue una muerte mucho más benévola que la que le habría deparado Gorlaes.
Les désirs rêvés à perte de vue par de misérables vieillards, les regrets des jours perdus à jamais, ne trouvaient-ils pas leur aboutissement dans les forfaits de cette maison mystérieuse ?
¿Acaso la nostalgia de los tristes ancianos por el sueño inacabado, su pesar por los días perdidos sin haberlos tenido jamás, no estarían ocultos en el secreto de esta casa?
L’homme manque à sa conscience, il manque ostensiblement à la délicatesse, il forfait à cette fleur de l’honneur qui perdue n’est pas encore la [dé]considération générale, il manque enfin à l’honneur, il ne va pas encore à la police correctionnelle, voleur, il n’est pas justiciable de la cour d’assises ;
El hombre falta a su conciencia, falta a su delicadeza —flor del honor que, perdida, no acarrea aún la desconsideración general—, falta, en fin, al honor y aún no va a la Policía correcional; ladrón, aún no llega a la Audiencia;
Incapable d’imaginer une activité qui pourrait l’occuper en attendant, il essaya de lire le journal mais, perdu et médusé dans un labyrinthe de placements à terme sur le grain et une compagnie de caoutchouc qui vendait on ne savait quoi à courte échéance (quelle différence cela pouvait avoir avec une location, il aurait été incapable de le dire), il déclara forfait et fixa la porte.
Incapaz de pensar en otra cosa que hacer mientras esperaba, intentó leer el periódico, pero, perdido y confundido por un laberinto de futuros de grano y una compañía de caucho que vendía algo al descubierto (no sabría decir exactamente qué eran las cosas al descubierto), lo dejó y se quedó mirando la puerta.
Il fallait tenir compte du taux d’humidité, variable selon les saisons, et de tous les paramètres, relativement nombreux, qui pouvaient agir sur le séchage des lattes de bambou coupées en étroites lamelles, il fallait connaître toutes les propriétés d’une espèce de bambou donnée, la sensibilité de cette espèce selon les saisons, selon les différentes conditions climatiques, sa réaction au froid ou à la chaleur lorsqu’il était à l’ombre, ou exposé en plein soleil, ou sous un soleil tamisé, il fallait être attentif à tout pour que les étroites lamelles de bambou, une fois traitées contre les parasites et passées au feu, offrent la texture voulue, à la fois esthétique et homogène, et que l’on puisse, une fois la texture esthétique et homogène obtenue, écrire dessus, puisque c’est de cela qu’il s’agissait, les sûtras en effet furent à l’origine transcrits sur des lattes de bambou, avec de l’encre, un pinceau, et une main assurée, dans de minuscules ateliers mal éclairés, les étroites lamelles de bambou, de longueurs variables selon leur importance, étaient ensuite assemblées grâce à un système ingénieux mais relativement complexe par des rubans de soie ou des cordelettes en cuir, donnant ainsi naissance aux premiers livres en bambou, les plus anciens de tous, qui ici n’étaient pas conservés dans le pavillon des sûtras, mais parmi les objets les plus précieux dans l’armoire située derrière le maître-autel du pavillon d’or, tout comme les livres en bois, inventés à la même époque, de véritables objets d’art constitués de plaques de bois carrées ou rectangulaires soigneusement polies sur lesquelles étaient rédigés des rapports ou des lettres, des textes courts n’excédant pas cent caractères, recouverts par deux tablettes de bois de même dimension, le nom de l’auteur ainsi que le nom et l’adresse du destinataire étaient inscrits sur la tablette de couverture, puis les deux tablettes de bois étaient assemblées par une cordelette que l’on plongeait dans de l’argile, après quoi un sceau était imprimé sur cet « argile tampon », si bien qu’aucune personne non autorisée ne pouvait y toucher sans laisser de trace évidente de son forfait, bref, l’armoire encastrée dans le mur derrière l’autel recelait bien des trésors, à l’instar du kyôzo, qui, outre les sûtras d’usage quotidien, abritait également certains livres et documents – ceux qu’il n’était pas indispensable de placer sous la protection du Bouddha du pavillon d’or –, les livres en soie, par exemple, dont l’ancienneté et l’immense valeur étaient incontestables, étaient jugés plus en sécurité ici, dans le kyôzo, à faible luminosité et teneur en humidité, que dans l’espace ouvert du pavillon d’or, plus exposé aux influences climatiques, ces livres en soie, fruits d’une découverte qui inscrivit un nouveau chapitre dans l’histoire du livre, vinrent remplacer les livres de bambou et de bois, les textes sacrés étaient désormais rédigés sur de la soie blanche qui, peu après son invention et sa commercialisation, fut spécialement tissée à cet effet, une fois la longueur du texte déterminée, une étoffe de soie de longueur suffisante était découpée, une couture, en fil rouge ou noir, servait à délimiter les colonnes d’écriture, puis on rédigeait à l’encre les textes sacrés, après quoi on pliait, avec un soin extrême, ou en enroulait les manuscrits, puis on les recouvrait d’une étoffe de soie bleue, bien entendu les précieux exemplaires de livres en soie étaient conservés ici, dans la pénombre permanente du kyôzo, le long des murs, sur les étincelantes étagères en bois laqué de la « bibliothèque intérieure », une construction de forme carrée installée au centre du sanctuaire, mais, de toute évidence, ni l’intégrité jalousement gardée des livres en soie, ni l’éclat étincelant des étagères en bois laqué, ni la bienfaisante pénombre qui protégeait ce lieu, ni le silence qui depuis mille ans le protégeait plus encore, n’avait intéressé celui qui après avoir brisé la porte s’était introduit ici, c’était sans intérêt pour lui, il avait même renversé l’une des étagères de la bibliothèque intérieure, mais sans véritable intention de causer de dommage particulier, en vérité il était impossible de comprendre ce qui s’était passé dans le kyôzo, on pouvait exclure le vol, car il suffisait d’un simple coup d’œil pour constater que rien n’avait été dérobé, tout comme un acte gratuit de sauvagerie brutale, ce n’était donc ni un voleur, ni un fou furieux qui en proie à une crise de démence aurait voulu saccager tout ce qui représentait à ses yeux de la valeur, c’était une certitude, mais alors quel pouvait bien être le mobile de cette effraction, ici, et dans la porte du Nandaimon, de ce geste à la fois éloquent et incompréhensible, ce geste qui dans sa violence même recelait une forme de délicatesse, quelque chose d’immatériel, de symbolique, quel but poursuivait celui qui avait brisé le battant de la porte du Nandaimon, avait tenté d’incendier le shôsô, avant de forcer la porte pour s’introduire ici ? il y avait autour de cet acte une zone d’ombre, une ombre aussi épaisse que celle qui entourait depuis mille ans les précieux trésors alignés sur les étagères du kyôzo. XXVIII
Había que tener en cuenta la humedad de las diversas estaciones y todas las numerosas circunstancias que intervenían en el secado de las láminas de bambú cortadas en delgadas hojas, era preciso conocer todas las cualidades del bambú utilizado, incluida la sensibilidad de este tipo de bambú en las diversas estaciones y en las diferentes climatologías, era imprescindible saber cómo se comportaba a la sombra fría y a la sombra cálida, a un sol suave y a un sol fuerte, en definitiva, era necesario fijarse en todos los detalles para que las hojas de bambú cortadas, untadas cuidadosamente con el fin de prevenir los parásitos y secadas después prolijamente sobre fuego, cumpliesen realmente su función, es decir, para que su superficie fuese bella y regular y para que, después de alcanzar esta belleza y regularidad, se pudiese, además, escribir en ellas, porque de esto se trataba: los primeros textos de los sutras se escribieron con pincel y tinta china sobre estas tiras de bambú, se escribieron con mano segura en talleres diminutos y mal iluminados, sobre hojitas de bambú delgadas y de diferente tamaño según su importancia, que luego se ataban unas a otras —de manera bastante ingeniosa, aunque también un tanto enrevesada— con cintas de seda o tiras de cuero, creando de este modo los primeros libros de bambú, que eran los más antiguos y que no se guardaban allí, en la biblioteca de sutras, sino, con las piezas más valiosas, en el armario situado en la parte trasera del altar principal del pabellón de oro, al igual que las llamadas tablillas inventadas por esas mismas fechas más o menos, que deben considerarse singulares obras maestras de la bibliogonía, cortadas en forma rectangular o de ladrillo y primorosamente pulidas, usadas para redactar cartas o declaraciones breves no superiores a los cien ideogramas, cubiertas arriba y abajo con unas tapas de madera de idéntico tamaño, en las cuales figuraban los nombres del autor y del destinatario, así como, lógicamente, la dirección a la que se remitía el escrito, y las cuales se ataban, por último, con una cinta, de tal forma que se hacía un nudo y se sumergía en arcilla, en la que, a su vez, se estampaba un sello con la llamada arcilla de sellar para impedir que una persona no autorizada accediese al escrito sin dejar un rastro evidente de su intromisión… Así pues, había libros para guardar en el armario en la parte trasera del altar, como también había libros para guardar en el kyozo, donde no sólo se conservaban, como es natural, los sutras destinados al uso diario sino todo tipo de libros que no habían de permanecer necesariamente en las proximidades del Buda del pabellón de oro, como son, por ejemplo, los libros de seda, que, si bien no cabía la menor duda en cuanto a su antigüedad y a su extraordinario valor, quizá se hallaban allí porque, debido a la poca luz reinante en el kyozo o a la escasa humedad, estaban más seguros que en el espacio abierto del pabellón de oro, más expuesto a las inclemencias del tiempo, de tal modo que los libros de seda, las piezas del siguiente gran capítulo de la bibliogonía, del nuevo paso que marcó otra época en la producción de libros, cuando en vez de escribir los textos de los sutras sobre bambú o sobre tablillas empezaron a hacerlo sobre una seda nívea que, una vez inventada y difundida, no tardó en ser tejida expresamente con este fin, de forma que se establecía la longitud del texto a escribir, se cortaba luego la seda a la medida, se entretejían las rayas que habían de separar las columnas de ideogramas, se escribían los textos sagrados entre estas líneas trazadas con tinta roja o negra y luego se envolvía todo con suma pericia, plegándolo o enrollándolo, para introducir finalmente toda la obra en una seda azul, de tal modo, pues, que estos preciosos ejemplares se guardaban con sumo cuidado, como es lógico, en la oscuridad permanente del kyozo, a lo largo de las paredes o en los estantes primorosamente lacados de la llamada biblioteca interior, más pequeña y cuadrada, construida en el centro del santuario, donde ahora quedaba patente que ni el estado impecable y celosamente vigilado de los libros de seda, ni el brillo de los estantes primorosamente lacados, ni la oscuridad protectora, ni el silencio milenario que suponía una protección aún mayor, habían interesado a aquel que se introdujo forzando la puerta, pues derribó incluso uno de los estantes del cuadrado interior, aunque se veía al mismo tiempo que al derribarlo tampoco se mostró interesado en hacer daño, es más, no se podía entender en absoluto lo que de verdad había ocurrido en el interior del kyozo, porque la escena que se contemplaba no permitía deducir ni robo, ya que se observaba a primera vista que nadie se había llevado nada, ni un propósito de destrucción bárbara, en resumen, que quien entró allí no era ni un ladrón ni alguien que de pronto hubiese perdido la razón e, impulsado por la locura, hubiese deseado romper cualquier objeto que considerase valioso, todo esto se veía sin ningún género de duda, aunque las causas de esta irrupción evidente pero incomprensible tanto aquí como en el Nan-Daimon, de este acto que casi podría definirse como delicado a pesar de su brutal esencia, que casi se parecía a una señal y por ende a algo no del todo perteneciente a este mundo, así como los objetivos de aquel que forzó la puerta del Nan-Daimon, que intentó prender fuego al shoso e irrumpió aquí, quedaban ocultos por unas tinieblas tan espesas como la oscuridad que en los mil años transcurridos se había posado sobre los valiosos objetos colocados en los estantes del kyozo.
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