Translation for "folkloristes" to spanish
Folkloristes
Translation examples
Agrégé de grammaire et folkloriste amateur.
Profesor de gramática y folclorista aficionado.
Leur couleur est dite ardente et les folkloristes pensent qu’il s’agit de lumière solaire en graines.
Se dice que son de un color vivísimo, y los folcloristas opinan que son las semillas de la ardiente luz del sol.
Elle se situait dans une longue tradition de folkloristes toujours prêts à se rendre dans les lieux les plus reculés pour enregistrer des musiques traditionnelles sur le terrain.
Se sentía parte de una larga tradición de folcloristas que visitaban lugares remotos con el único propósito de grabar temas de música tradicional.
Toby Youlgreave, tout aussi étranger qu’elle à ce monde-là, vint à sa rescousse, lui qui lisait l’allemand en bon folkloriste, mais n’en parlait pas un mot et de plus ignorait tout des Bavarois.
La rescató Toby Youlgreave, también un extraño en aquel mundo, pues aunque sabía leer alemán, como todo buen folclorista, carecía del vocabulario para sostener una conversación y no conocía a los bávaros.
Durant toutes ses années d’études, jamais il n’avait trouvé sous la plume d’un folkloriste ou d’un historien de la littérature la moindre spéculation sur le fait que « la maison qui marchait » pût être en réalité un 747 détourné.
En todos sus años de estudios, no había conocido ni una sola especulación por parte de ningún folclorista o historiador de la literatura que mencionase si la choza que andaba podía o no ser un 747 secuestrado.
Parmi les nombreuses sources auxquelles elle a emprunté pour ce récit, l’auteure tient à remercier tout particulièrement la magnifique traduction du conte Tom Tit Tot dans le dialecte du Suffolk publiée en 1898 par le folkloriste Edward Clodd(8).
De las muchas fuentes en que se ha inspirado para este relato, la autora desea hacer mención especial de la excelente versión de «Tom Tit Tot» hecha por el folclorista Edward Clodd en el dialecto de Suffolk en 1898.
Comparé au miracle auquel elle est parvenue – de l’argent qui tombe périodiquement, des rafales de fric qui s’abattent, se renouvellent sans cesse, sans fatigue, comme des lettres que lui écrirait son folkloriste amoureux après sa mort, son amour éternisé dans le même formol qui empêche son corps de pourrir –, hériter résonne à la façon d’un prototype raté, d’une de ces idées ingénieuses que la difficulté, ou la cupidité, ou la maladresse, ou une combinaison fatidique de ces trois choses, réduisent à un pauvre brouillon.
Comparado con el milagro que ha logrado —dinero que cae periódicamente, ráfagas de plata que soplan, se renuevan sin pausa, sin agotamiento posible, como cartas que su folclorista enamorado le escribiera después de muerto, con su amor eternizado en el mismo formol que impide que su cuerpo se pudra—, heredar suena como un prototipo fallido, una de esas ideas ingeniosas que el apuro, o la codicia, o la torpeza, o una combinación fatídica de las tres, reducen a un pobre borrador descartable.
Et non pas auprès d’un père artiste plutôt que pédicure, mais auprès du plus illustre littérateur ascète d’Amérique, ce géant de patience, de courage, de désintéressement qui, durant les vingt-cinq ans écoulés entre son premier livre et le sixième (pour lequel lui avait été attribué un National Book Award qu’il avait calmement refusé) n’avait virtuellement acquis ni audience réelle, ni consécration publique et, invariablement, son nom fût-il prononcé, était mis au rancard en tant que vestige démodé du ghetto du vieux monde, folkloriste déphasé pathétiquement étranger aux grands courants de la littérature et de la société.
Y no sólo de un padre que fuera artista en vez de podólogo, sino del más célebre asceta literario de EE UU, el gigante de paciencia, fortaleza y desinterés que, en los veinticinco años transcurridos entre su primero y su sexto libro (por el cual le otorgaron el Premio Nacional del Libro, que él, sin alharaca alguna, declinó aceptar), venía careciendo de lectores o reconocimiento, porque, si alguna vez se acordaban de él, era para considerarlo una pintoresca reliquia del gueto del Viejo Mundo, folclorista trasnochado, con un patético desconocimiento de las principales corrientes literarias y sociales.
Chaque village avait son ruisseau qui le longeait ou qui souvent le divisait même en deux, au point d’occasionner de profondes différences culturelles qui remontaient à des usages millénaires entre la communauté appartenant à la rive gauche du ruisseau et celle appartenant à la rive droite, et un folkloriste nordique qui avait passé de terre en terre pour recueillir d’anciens chants avait recensé des quatrains remontant à très loin dans le temps où la jeune fille à peine épousée chantait sa nostalgie de la terre de ses pères qu’elle avait abandonnée pour le mariage, en traversant le ruisseau pour aller vivre dans la maison en face, qui était terre d’autrui, et en passant le gué elle avait mouillé ses bas… Tristano, après l’effort, se tut, les yeux fermés, la main pêcheuse retombant du fauteuil.
Cada aldea tenía su propio arroyo que discurría a su costado o que a menudo lo separaba incluso en dos, hasta el punto de marcar profundas diferencias culturales que se remontaban a usanzas milenarias, entre las comunidades pertenecientes a la orilla derecha o a la orilla izquierda del arroyo, y un folclorista nórdico que había viajado de tierra en tierra para recoger antiguos cantos había grabado unas estrofas remotísimas en las que una muchacha entregada en matrimonio cantaba su nostalgia por la tierra de sus padres que había abandonado al casarse, cruzando el arroyo para ir a vivir a la casa de enfrente, que era tierra ajena, y en el vadeo se había mojado las medias… Tristano, después del esfuerzo callaba, con los ojos cerrados, la mano pescadora colgando de la tumbona.
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