Translation for "fils-de-un-jour" to spanish
Fils-de-un-jour
  • hijo de un dia
  • hijo-de-uno-día
Translation examples
hijo-de-uno-día
Elle épouserait son fils et, un jour, elle prendrait la tête du ménage à la villa.
Así pues, se casaría con su hijo y un día llevaría el mando del regimiento femenino de la villa.
Un an après la mort de son fils, jour pour jour, il s’est levé de table, comme à son habitude.
Un año después de la muerte de su hijo, el mismo día, se levantó de la mesa como de costumbre.
La seule personne à laquelle Noël Constant en parla fut son fils Malachi, le jour des vingt et un ans de celui-ci.
La única persona a quien Noel Constant se lo dijo fue a su hijo, Malachi, el día que cumplió veintiún años.
– Vous comprenez, Rosie se plaignait tellement de son fils… Pas un jour sans qu’elle revienne avec une nouvelle histoire, une nouvelle dispute avec lui, ça ne s’arrêtait jamais.
—Compréndalo, Rosie se quejaba tanto de su hijo… No había día que llegase sin algo nuevo que contar, otra pelea con él, aquello era continuo.
— Dis-moi : « Non, tu ne chercheras pas à sauver du massacre les gens de ta race », « Non, tu ne te battras pas pour que ton fils soit un jour le maître de Constantinople », dis-moi ces mots, et j’obéirai.
—Dime: «No, no intentarás salvar de la matanza a los de tu raza», «No, no lucharás para que tu hijo sea un día señor de Constantinopla», dime esas palabras y obedeceré.
Ce qui ne devait être qu’un reportage glamour sur le prince, décrivant le baptême de son fils comme le jour le plus heureux de sa vie – remarque toutefois très vexante pour sa femme et ses filles –, devient une source de grave préoccupation à la Zarzuela.
Lo que debía ser un reportaje glamuroso sobre el príncipe contando el bautizo de su hijo como el día más feliz de su vida —observación además muy vejatoria para la mujer y las hijas— se convierte en fuente de grave preocupación en La Zarzuela.
Ainsi donc au début de l’année du commencement de la fin, sans rien savoir de l’avenir et avec un bébé qui s’affairait à ses affaires de bébé : s’efforcer de se tenir assis tout seul pour la première fois, redresser le dos, se hisser en position debout dans son berceau, échouer, refaire une nouvelle tentative jusqu’à ce que vienne le jour où il cesse d’être une chose rampante pour devenir un Homo erectus, en bonne voie vers l’Homo sapiens, et tandis que le frère aîné du bébé prenait une année sabbatique au Mexique où il se ferait arrêter par la police, observerait le jeu des baleines, nagerait dans des lacs sous des chutes d’eau à Taxco et verrait des plongeurs portant une torche allumée se jeter du haut des falaises d’Acapulco, lirait Bukowski et Kerouac, retrouverait sa mère et se rendrait avec elle à Chichen Itza et à Oaxaca, donnerait des frayeurs à son père en restant injoignable pendant de longues périodes très inquiétantes, son père qui ne pouvait s’empêcher de craindre le pire et ne cessait de se faire du souci en silence pour la sécurité de son fils depuis le jour, neuf ans auparavant, où il n’avait pas répondu au téléphone et où on avait retrouvé la maison, qu’on avait prise pour la sienne, porte ouverte, un voyage dont le jeune homme de dix-huit ans allait rentrer si mince, si bronzé, si beau que quand il sonna à la porte et que son père le vit sur l’écran du vidéophone il ne le reconnut pas, Qui est-ce ? s’écria-t-il, tout surpris, avant de comprendre que ce jeune dieu n’était autre que son propre fils ; tandis que tous les aléas de la vie ordinaire suivaient leur cours, comme de bien entendu, même s’ils se déroulaient au sein d’une autre existence effrayante qui continuait à être extraordinaire, alors le jour vint, le lundi 26 janvier 1998, où ils dormirent seuls chez eux, et où, au lieu d’être effrayés par le silence qui les entourait, par l’absence de dispositifs de sécurité et celle de policiers costauds endormis, ils ne purent s’empêcher de sourire, se couchèrent tôt et dormirent comme des morts, non, pas des morts, comme des vivants insouciants et heureux.
y con un bebé que prestaba atención a las cosas a las que los bebés prestan atención, cosas como sentarse sin ayuda por primera vez, erguidos, cosas como intentar ponerse de pie en su cuna, y no conseguirlo, y volver a intentarlo, hasta que llegaba el día en que dejaban de ser seres reptantes y se convertían en Homo erectus, ya camino de sapiens; y mientras el hermano mayor del bebé, tomándose un año sabático, se iba a la aventura a México, donde lo detendría la policía y vería jugar y nadar a las ballenas en charcas bajo altas cascadas en Taxco y vería a los picadistas provistos de antorchas lanzarse desde los acantilados de Acapulco y leería a Bukowski y a Kerouac y se reuniría con su madre e iría con ella a Chichén Itzá y Oaxaca y asustaría a su padre no poniéndose en contacto durante periodos alarmantemente largos, su padre que no podía evitar temer lo peor, que había temido en silencio por la seguridad de su hijo desde el día de las llamadas de teléfono no atendidas y la casa con la puerta delantera identificada erróneamente nueve años atrás; un viaje del que el chico de dieciocho años volvería tan esbelto, tan bronceado, tan apuesto, que cuando llamó a la puerta y su padre lo vio por la pantalla del monitor del interfono, no lo reconoció, ¿Quién es?, exclamó asombrado, y de pronto cayó en la cuenta de que ese joven dios era su propio hijo; mientras proseguía la cotidianidad de la vida cotidiana, como era bueno que prosiguiese, incluso en medio de otra existencia absorbente que seguía siendo extraordinaria, llegó el día, un lunes 26 de enero de 1998, en que durmieron solos en su casa, y en lugar de sentir miedo por el silencio que los rodeaba, por la ausencia de tecnología de seguridad y de corpulentos policías dormidos, no podían dejar de sonreír y se acostaron temprano y durmieron como los muertos; no, no los muertos, como los vivos felices y sin preocupaciones.
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