Translation for "face à eux" to spanish
Face à eux
Translation examples
enfrentándolos
Mais la seule chose qui importe, c’est la façon dont nous y faisons face.
Pero enfrentándolo es como nos ponemos a prueba.
Mais, derrière le muret, une ombre lui faisait face.
Pero del otro lado del muro, enfrentándolo, había una sombra.
Le conducteur descendit de la Bentley et lui fit face.
El conductor del Bentley se bajó del coche, enfrentándolo.
Mais elle les retint en clignant des yeux, lui fit face en levant le menton avec fierté et ajouta :
Pero ella pestañeó y se las tragó, enfrentándolo con el mentón alzado.
« J’exige une explication de l’histoire d’hier soir, dit-elle en lui faisant face dans le couloir, et une semaine de préavis, je vous prie. »
–Necesitaré una explicación del asunto de anoche –dijo, enfrentándole en el vestíbulo–, y una semana de preaviso, por favor.
Ne préférez-vous pas rester ici et passer le reste de votre vie dans l’opulence ? Elle se dressa face à lui et soutint son regard par-dessus l’étalage de carrés de feutre.
¿Estás segura de que no prefieres quedarte aquí y transcurrir tus días gozando de una vida de lujos? Ella también se puso de pie, enfrentándolo por encima de las flores y los trozos de fieltro desparramados.
Tous les taureaux ne sont pas non plus braves. Quand ils ont deux ans, l'éleveur éprouve leur bravoure en les mettant en face d'un picador à cheval, soit dans un corral fermé, soit en pré ouvert.
Todos los toros no son además bravos. Cuando tienen dos años, el ganadero pone a prueba su bravura enfrentándolos con un picador a caballo, ya sea en un corral cerrado o en campo abierto.
Il leva les yeux vers les tours dont les disques, un moment plus tôt, étaient orientés vers le soleil. Les disques, constata-t-il, se tournaient maintenant lentement vers l’est afin de se trouver face au soleil le lendemain.
Al levantar la vista hacia las torres, el escritor notó que los discos giraban lentamente hacia el este, de modo tal que cuando el sol volviera a salir, a la mañana siguiente, estarían ya enfrentándolo.
Tandis que son père marche à reculons, dans la même direction que les voitures qui avancent, mais en leur faisant face, comme s’il avait décidé de ne pas perdre une seconde de plus, il tend le bras, arrête le premier taxi (qui freine toujours avec la même précision : la poignée de la portière arrière servie sur un plateau au niveau de sa main), pousse son fils sur la banquette arrière et, après avoir entassé les bagages sur le siège du passager, prend place à ses côtés.
Mientras camina hacia atrás, en la misma dirección que los autos que avanzan pero enfrentándolos, como si no estuviera dispuesto a perder un segundo más, su padre estira un brazo, detiene el primer taxi (que frena con la misma precisión de siempre, con el picaporte de la puerta trasera servido en bandeja para su mano), empuja a su hijo al asiento de atrás, y después de amontonar el equipaje en el asiento delantero se acomoda a su lado.
Où se trouve la vie – la vieille question de son père que le mort incarne, en le plaçant face à la fragilité et à la menace dont se pare le monde chaque fois que le malheur le frôle – a tendance à se confondre avec cette autre question : où se trouve l’argent ? qui serpente à mi-voix pendant la veillée funèbre, comme circule à l’occasion de circonstances solennelles ou graves une certaine conversation vulgaire, mal intentionnée ou comique, pour couper court justement à la solennité et la rendre plus tolérable ou peut-être pour nous rappeler de quelle misérable étoffe elle est composée, et ravive ainsi quelques désirs de trancher la question, lorsque se présente à cette veillée une personne en théorie habilitée à le faire : un hiérarque de l’usine sidérurgique, par exemple, ou un fonctionnaire de police, ou les deux ou trois membres de la marine et de l’armée qui s’avancent en uniforme, précédés par une troupe compacte de gardes du corps, et se contentent de serrer les mains des individus qui viennent à leur rencontre dès qu’ils les voient arriver, comme si c’étaient eux les endeuillés – alors qu’ils n’ont jamais vu le mort en personne et qui, après s’être mis au garde-à-vous devant le cercueil, ne tardent pas à s’en aller – et pas ceux qui se morfondent depuis des heures dans la lumière diaphane de l’appartement. Où.
Dónde está la vida —la vieja pregunta de su padre que el muerto hace carne, enfrentándolo con la fragilidad y la amenaza de que se tiñe el mundo cada vez que lo roza la desgracia tiende a confundirse con la otra, dónde está la plata, que serpentea en el velorio a media voz, como circula en circunstancias solemnes o graves cierta conversación vulgar, malintencionada o cómica, para cortar la solemnidad y hacerla más tolerable o quizá recordarnos de qué estofa ruin está hecha, y enciende algunos conatos deliberativos cuando aparece en el velorio alguien en teoría habilitado para contestarla, un jerarca de la siderúrgica, algún funcionario policial, los dos o tres miembros de la armada y el ejército que se presentan de uniforme, precedidos por una compacta falange de custodios, y se limitan a estrechar las manos de quienes salen a su encuentro apenas los ven llegar, como si los deudos fueran ellos —que nunca vieron al muerto en persona y, después de cuadrarse junto al féretro, no tardan en irse— y no los que llevan horas consumiéndose en la luz macilenta del departamento. Dónde.
Nous étions face à face.
Estábamos frente a frente.
Ils se placèrent face à face.
Se situaron frente a frente.
Ils s’assirent face à face.
Se sentaron frente a frente.
Nous nous assîmes face à face.
Nos sentamos frente por frente.
Ils étaient maintenant face à face.
Ahora estaban frente a frente.
Nous restons face à face, haletants.
Estamos frente a frente, jadeando.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test