Translation for "exulter" to spanish
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Le planton de l’infirmerie l’entendit exulter dans son bac, et écarta les rideaux.
El enfermero de la nave lo oyó exultar en su tanque y apartó las cortinas.
Plus concrètement, notre intention était de concevoir une version améliorée de nous-mêmes, plus moderne, et d’exulter devant notre inventivité, de jubiler de notre supériorité.
En términos más prácticos, pretendíamos diseñar una versión mejorada, más moderna de nosotros mismos y exultar de gozo con la invención, con la emoción del dominio.
Mais même à Sisyphe je ne pense pas qu’il soit imposé de se gratter, ou de gémir, ou d’exulter, à en croire une doctrine en vogue, toujours aux mêmes endroits exactement.
No creo que ni a Sísifo le haya sido impuesto rascarse, o gemir, o exultar de gozo, según pretende una doctrina hoy en boga, siempre exactamente en los mismos lugares.
Exulter parce qu’on se sent dépassé par la grâce d’un musicien, l’élégance d’un animal, la grandeur d’un paysage, voire l’horreur grandiose d’un enfer, c’est ce qui donne un sens à la vie.
Exultar porque te sientes abrumado por la gracia de un músico, la elegancia de un animal, la grandeza de un paisaje, incluso el horror grandioso de un infierno, son cosas que dan sentido a la vida.
La mouche de la fable pouvait exulter puisque le coche était arrivé à bon port ;
La mosca de la fábula podía regocijarse porque la diligencia había llegado a buen puerto;
Ils ne vous laissent pas entrer. IBS : C’est la précieuse leçon que Marco tire de ses tentatives de tout décrire à Effing, n’est-ce pas ? L’un de vos meilleurs critiques estime que Marco “apprend à exulter par sauts” et que c’est précisément dans l’écart entre le mot et l’objet que résident nos “chances d’innovation33”. Est-il possible que ce que vous laissez de côté constitue en réalité la principale source de sens, parce que cette absence stimule l’imagination du lecteur et engendre des images évocatrices ?
No te dejan entrar. IBS: Ésa es la valiosa lección de representación que Marco aprende mientras se esfuerza por describir a Effing las cosas cotidianas, ¿no es así? Uno de sus mejores críticos sostiene que Marco «aprende a regocijarse con las lagunas» y que es precisamente en los espacios entre palabra y objeto donde tenemos «posibilidades de innovación».[34] ¿Podría ser que lo que usted deja fuera sea en realidad la principal fuente de significado, porque activa la imaginación del lector y genera imágenes significativas?
J’entrepris de jeter les yeux sur sa vie ; non pas sa vie de dieu ou de demi-dieu dont les triomphes nous faisaient exulter gamins, mais sa vie d’homme aussi vulnérable qu’un autre. C’est ainsi que sans savoir pourquoi — or voici que, comme on dirait ailleurs — je le trouvai à Deal, New Jersey, dans la villa de bord de mer, l’été des onze ans de sa fille, du temps qu’elle ne décollait pas de ses genoux, l’affublait de toutes sortes de tendres sobriquets et ne pouvait « résister », comme elle disait, à l’envie d’explorer du bout du doigt ses oreilles si parfaitement collées à son crâne. Entortillée dans une serviette, elle traversait la maison en courant pour prendre un maillot sec sur la corde à linge, et criait : « Me regardez pas, vous autres ! » ; plusieurs soirs, elle avait fait irruption dans la salle de bains au moment où il se lavait, et s’était écriée à sa vue : « Oh, pardonnez-moi, j’ai pensé que*… », à quoi il avait rétorqué : « Ouste ! Veux-tu bien fiche-le-camper. » Cet été-là, un soir qu’ils rentraient de la plage en voiture, ivre de soleil, affalée contre son épaule nue, elle avait levé les yeux vers lui et lui avait demandé avec un mélange d’innocence et d’audace, en jouant à la grande avant l’heure : « Papa, embbbbrasse-moi comme tu embbrasses mmmmaman. » Saoulé de soleil lui aussi, plein d’une fatigue voluptueuse après une matinée passée à se laisser rouler par les grosses vagues avec elle, il avait constaté en baissant les yeux dans sa direction que la bretelle de son maillot lui tombait sur le bras et qu’on voyait son téton, son téton tout rouge et tout dur comme une piqûre d’abeille.
Empecé por contemplar su vida, no su vida como dios o semidiós de cuyos triunfos uno podía regocijarse cuando era un muchacho, sino su vida como otro hombre atacable, e inexplicablemente, lo cual equivale a decir «¡helo aquí!», le encontré en Deal, una localidad de Nueva Jersey, en una casa en la playa, el verano en que su hija tenía once años, en la época en que ella no podía abandonar su regazo o dejar de llamarle con lindos apodos, no podía «resistirse», como ella decía, a examinar con la yema de un dedo lo muy pegadas que tenía las orejas al cráneo. Envuelta en una toalla, corría por la casa e iba al tendedero en busca de un bañador seco, chillando al pasar «¡Que nadie mire!», y algunas noches se deslizaba en el cuarto de baño donde él se estaba bañando y cuando veía a su padre exclamaba: «Oh, pardonnez-moi! J'ai pensé que…». «Largo», le decía él, «Pírate-moi de aquí». Un día de aquel verano, cuando regresaba con él desde la playa, adormilada por el sol, recostada en el hombro desnudo de su padre, volvió la cara hacia él y, con una mezcla de inocencia y audacia a partes iguales, jugando precozmente a la chica mayor, le dijo: «Papi, bésame como be-be-besas a mamamamá». Él, también embriagado por el sol, voluptuosamente fatigado tras haberse pasado la mañana con la chica en el fuerte oleaje, bajó la vista y vio que una de las tiras del bañador le había caído sobre el brazo y que allí estaba su pezón, la dura y roja picadura de avispa que era su pezón.
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