Translation for "expirant" to spanish
Expirant
Translation examples
expirando
Pancratès s’enflamma à l’idée du fauve blessé expirant parmi les fleurs.
Pancratés se inflamó con la idea de la fiera herida expirando entre las flores.
Le parapluie gisait comme une sauterelle écrabouillée de frais, expirant tristement sur le bitume.
El paraguas yacía como una marioneta recién aplastada, expirando tristemente en el suelo.
Je me voyais sauvant la jeune fille des mains de ses ennemis, l’arrachant d’une prison, héroïque et tout couvert de sang, puis, expirant à ses pieds…
Me veía a mí mismo salvando a la joven de manos de sus enemigos, arrancándola a una prisión, heroico y cubierto de sangre, y expirando después a sus plantas…
La beauté vénale sans amateurs, sans célébrité, sans la croix de déshonneur que lui valent des fortunes dissipées, c’est un Corrége dans un grenier, c’est le Génie expirant dans sa mansarde.
La belleza venal sin aficionados, sin celebridad, sin la cruz del deshonor que le da la fama de fortuna disipada, es un Corregio en un desván, es el genio expirando en su guardilla.
— Vous savez comment s’accomplit cette nuit douloureuse où vous étiez expirante sur votre lit, dans cette chambre de damas rouge, tandis que moi, presque aussi haletant que vous, j’attendais votre délivrance.
—Ya sabéis lo que ocurrió aquella dolorosa noche en que estabais en vuestra cama casi expirando, en aquel cuarto forrado de damasco rojo, mientras que yo casi sufriendo tanto como vos esperaba vuestra libertad.
La belle salle à manger, avec son admirable buffet en chêne, son armoire aux portes garnies de vitraux, ses murs couverts d’un enduit crème, son modeste panneau représentant un saumon expirant sur un tas d’huîtres, avait des prises pour le filtre et le grilloir électrique.
El pulcro comedor (con su admirable aparador de roble, su chinero con vidrieras emplomadas, sus paredes de estuco color crema y su conmovedora escena de salmón expirando sobre un montón de ostras) tenía enchufes para la cafetera eléctrica y para la tostadora eléctrica.
Frappé des messages successifs que le hasard m’envoyait, et qui, dans ce grand concert d’infortunes, préparaient par de douloureuses modulations le thème funèbre, le grand cri de l’amour expirant, je m’écriai : — Vous le croyez, ce beau lys coupé refleurira dans le ciel ?
Afligido por los mensajes sucesivos que el azar me enviaba, y que, en este gran concierto de infortunios, preparaban con dolorosas modulaciones el tema fúnebre, el gran grito del amor expirando, exclamé: —¿Creéis vos que ese bello lirio tronchado volverá a florecer en el cielo?
Tels étaient les représentants de cette grande {p. 212}   noblesse qui voulait mourir ou rester tout entière, qui méritait autant d’éloge que de blâme, et sera toujours imparfaitement jugée jusqu’à ce qu’un poète l’ait montrée heureuse d’obéir au roi en expirant sous la hache de Richelieu, et méprisant la guillotine de 89 comme une sale vengeance.
Éstos eran los representantes de aquella gran nobleza que quería morir o permanecer íntegra, que merecía tantos elogios como censuras y que será siempre imperfectamente juzgada, hasta que un poeta la muestre feliz al obedecer al rey, expirando bajo el hacha de Richelieu, y despreciando la guillotina del 89 como una sucia venganza.
Il quitta l’hôpital du mont Hira et envoya l’essentiel de sa retraite dans une vieille maison de la ville de Q. habitée par trois vieilles femmes qui refusaient de mourir, contrairement à Bariamma qui avait depuis longtemps accompli cette tâche convenable en expirant, si bien calée dans ses oreillers qu’il se passa une journée entière avant que quelqu’un se rendît compte qu’il s’était passé quelque chose… Une ayah parsie continua à recevoir de l’argent et Omar Khayyam vécut paisiblement sous le toit de Raza Hyder, en mangeant des pignes et en regardant par la fenêtre du grenier, comme s’il avait surveillé quelqu’un, bien qu’il n’y eût personne.
Se retiró del hospital de Mount Hira y enviaba la mayor parte de su pensión a una vieja casa de Q., habitada por tres ancianas que se negaban a morir, a diferencia de Bariamma, que había hecho hacía tiempo lo correcto, expirando, apuntalada con almohadones, de forma que pasó casi un día entero antes de que nadie se diera cuenta de lo que había pasado… Se envió más dinero al ayah parsi, y Omar Khayyam vivió tranquilamente bajo el techo de Raza Hyder, partiendo piñones, mientras sus ojos, vagando hacia el exterior por la ventana del desván, parecían seguir a alguien, aunque no había nadie.
Il ferma les yeux, serra les paupières, crispa le poing et tenta d’invoquer un fantasme plausible pour se mettre en train. En désespoir de cause, il visualisa la nouvelle présentatrice des infos de six heures de la BBC, et rassemblait ses forces en vue du long travail devant le conduire à l’orgasme lorsqu’il fut brusquement distrait par l’image de ces milliers de spermatozoïdes sans joie qui allaient échouer sur les draps, suffoquant, expirant sans avoir accompli leur destin. D’où ça sortait encore, cette vision, bon Dieu ? Et quelle importance ? Pendant vingt ans, des millions de pauvres bougres identiques avaient épuisé leur énergie en vaines rencontres avec les ovules de sa femme, et au bout du compte ils étaient Gros-Jean comme devant. Que dalle.
Cerró los ojos, los apretó mucho, cerró con fuerza la mano, y trató de evocar alguna fantasía plausible para entrar en calor. Desesperado, se imaginó a la nueva reportera de las noticias de las seis de la BBC, y comenzó a prepararse para el trabajo que implicaba llegar al orgasmo, pero entonces se distrajo con la imagen de esos miles de tristes espermatozoides a punto de naufragar en las sábanas, expirando, boqueando, sin haber alcanzado su objetivo. ¿De dónde había sacado aquella imagen mental, Dios Santo? Además, ¿qué más daba? Millones de cabroncetes como aquellos habían empleado sus esfuerzos en encuentros inútiles con los óvulos de su mujer en los últimos veinte años, y al final no les había lucido nada el pelo… En ese sentido, no tenía ninguna esperanza. Había fracasado totalmente.
Souvent, çà et là, dans le monde, une jeune fille expirant sous le poids d’une peine inconnue, un homme dont l’âme vibre sous les pincements d’une passion, prennent un thème musical et s’entendent avec le ciel, ou se parlent à eux-mêmes dans quelque sublime mélodie, espèce de poème perdu.
Suele suceder a menudo que una joven que expira bajo el peso de un dolor desconocido, un hombre cuya alma vibra bajo los arrebatos de una pasión, tome un tema musical y conversen con el cielo, o hablen con su propia alma en una sublime melodía, semejante a un poema perdido.
À l’issue de cette discussion, X se sent un peu mieux – soit parce que le plan d’action préconisé par Y est pénétrant et revigorant, soit simplement parce qu’il est soulagé d’avoir enfin vomi les secrets dont il sentait la malignité le ronger – et les choses continuent à suivre à peu près le même cours : le lent déclin de l’odieux beau-père, le chagrin de la femme de X, le cinéma inlassable des conseils de famille et, toujours, derrière son sourire chaleureux et pincé, les sentiments de haine, de confusion et d’auto-urtication de X, qui lutte désormais pour tâcher de considérer tout ce maelström émotionnel, malgré son infestation, comme un cadeau sincère à sa femme adorée et à son – grimace de dégoût crispée – beau-père, et pour les six mois qui suivent seuls deux autres développements méritent d’être rapportés : l’épouse aux yeux creusés et l’une des sœurs se voient prescrire l’antidépresseur Paxil et deux des neveux sont arrêtés pour l’agression présumée d’une élève handicapée mentale en classe d’adaptation dans leur collège. Et les choses suivent leur cours – de temps en temps X revient la queue entre les jambes trouver auprès de Y une oreille sympathique et se livrer à une ou deux expériences de pensée, et sa présence passive au chevet du patriarche ainsi qu’aux conseils de famille fébriles se fait si extraordinairement constante que le plus facétieux des grands-oncles de sa femme fait mine de se demander s’il ne faudrait pas l’épousseter – jusqu’à ce qu’un jour, enfin, par un beau matin, plus d’un an après le diagnostic, le vieux, l’inopérable, le ravagé, l’agonisant, l’illucide beau-père finisse par rendre son dernier soupir, en expirant dans le puissant sursaut du tarpon achevé au gourdin(18), et qu’on l’embaume, le farde, le revête de sa robe de juge (tel que stipulé dans son testament), et qu’on honore sa mémoire au cours d’une cérémonie funéraire où un piédestal infiniment pompeux élève le cercueil bien au-dessus de l’assemblée, et à cette cérémonie les yeux à vif de la pauvre femme de X ressemblent à deux énormes brûlures de cigare au milieu d’une couverture en acrylique, et à ses côtés se tient X qui – éveillant d’abord les soupçons puis la surprise émue de la belle-famille massée et vêtue de noir – pleure plus fort et plus longtemps que quiconque, brisé par une détresse si violente et sincère qu’au sortir de la sacristie épiscopale c’est la frêle belle-mère en personne qui lui presse son propre mouchoir dans la paume et le console en lui serrant brièvement l’avant-bras tandis qu’on l’aide à monter dans sa limousine, et l’après-midi même X reçoit un coup de fil du fils aîné, celui qui a hérité du regard à l’acier le mieux trempé, l’invitant, avec Mrs. X, au très sélect conseil postinhumation du Comité central de la famille endeuillée, qui se tiendra en cercle restreint chez le défunt juge, dans la bibliothèque de son opulente demeure, inclusion qui procure à Mrs. X ses premières larmes de joie depuis bien avant qu’on ne la mette sous Paxil.
Todo esto hace que X se sienta un poco mejor —ya sea porque el consejo de Y es profundo y alentador o bien porque X ha obtenido alivio del hecho de vomitar finalmente los secretos perversos que le han estado corroyendo— y que las cosas continúen más o menos como antes, con el odioso deterioro del viejo, la pena de la mujer de X y el histrionismo interminable y las reuniones de su familia, y con X sintiéndose todavía lleno de odio, confusión y resquemor hacia sí mismo detrás de su sonrisa calurosa y tensa, pero ahora pugnando por percibir todo este torbellino séptico emocional como un regalo sincero hacia su querida mujer y —gesto de dolor— hacia su suegro, y durante los seis meses siguientes los únicos avances significativos son que la mujer de mirada vidriosa de X y una de sus hermanas empiezan a tomar el antidepresivo Paxil y que dos sobrinos políticos de X son detenidos por presuntos abusos sexuales a una chica mentalmente disminuida en el ala de Educación Especial de su instituto. Y las cosas continúan de este modo —X sigue acudiendo periódicamente con el sombrero en la mano a Y en busca de alguien que le escuche con simpatía y para llevar a cabo ocasionales experimentos de reflexión y sigue siendo una presencia pasiva pero tan abrumadoramente constante en la cabecera patriarcal y en los dramáticos consejos familiares que el tío abuelo más bromista de la mujer de X empieza a decir en broma que van a tener que echarlo— hasta que por fin un día a primera hora de la mañana, casi un año después del primer diagnóstico, el viejo inoperablemente devastado, desesperado y aturdido por la enfermedad exhala por fin su último suspiro y expira con el estremecimiento poderoso de un sábalo muerto a garrotazos,[4] y lo embalsaman, lo maquillan y lo visten (como por codicilo) con su toga de juez y le dedican una misa de cuerpo presente durante la cual el féretro es alzado mediante unas andas por encima de las cabezas de todos los asistentes, ceremonia durante la cual los ojos de la pobre mujer de X parecen dos quemaduras de cigarrillo en una manta acrílica, y en la cual X, situado al lado de su mujer, llora durante más tiempo y de forma más estrepitosa que nadie —provocando primero la sospecha, pero luego la sorpresa conmovida de la muchedumbre de sus rigurosamente enlutados parientes políticos—, y su aflicción es tan sincera y tan extrema que a la salida de la sacristía episcopaliana es la propia suegra larguirucha quien le pone su pañuelo en la mano a X y lo consuela con una breve presión en el brazo izquierdo mientras la ayudan a entrar en la limusina, y esa misma tarde X recibe una llamada telefónica personal del mayor de los hijos de su suegro, que es también el de la mirada más férrea, invitándole a asistir, junto con la señora X, a una Reunión especialmente privada y exclusiva postinternamiento del círculo-interior-de-la-familia-de-luto en la biblioteca de la opulenta casa del difunto juez, un gesto de inclusión que arranca las primeras lágrimas de felicidad de la señora X desde mucho antes de empezar a tomar Paxil.
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