Translation for "ex-employés" to spanish
Ex-employés
Translation examples
Lloyd acquiesça : les employés ou ex-employés, connus comme ayant des liens avec Issler et Hawley ?
Lloyd asintió. —¿Empleados y ex empleados, asociados conocidos de lssler y Hawley?
La police avait épuisé toutes les hypothèses évidentes – ex-employés mécontents, dingues du coin, ennemis personnels de Trumbo.
La policía local había investigado las posibilidades más previsibles: ex empleados enfadados, locos del lugar, alguien con algún odio personal contra Trumbo; pero no había encontrado nada.
Génétron ne se contentait pas de venir en aide à un ex-employé pour résoudre un problème relatif au travail, et ne se préparait pas seulement à tirer avantage d’une découverte sensationnelle.
Genetron estaba tratando de hacer algo más que ayudar a un ex empleado en un problema relacionado con el trabajo, más incluso que prepararse simplemente para sacar partido de un descubrimiento revolucionario.
Le faire littéralement, le fabriquer, comme les employés de la Casa de la Moneda ou les ex-employés reconvertis – plus tard ou même simultanément – en faux-monnayeurs, ou le faire apparaître, ainsi que le fait son père pendant des années, deux vendredis par mois, de onze heures du soir à sept heures et demie du matin, lorsqu’il a une table, selon l’expression qu’il utilise pour lui-même nommer ses nuits de poker, lorsqu’il a décidé de les rendre publiques dans la famille, et surtout lors de ses visites au casino de Mar del Plata, des voyages éclairs qu’il entreprend également les vendredis, un des deux vendredis que lui laissent libres les nuits où il a une table, de véritables raids de ludopathie furieuse qui démarrent à sa sortie du bureau, toujours en taxi, quatre cent quatre kilomètres depuis Maipú et Córdoba, plein centre de Buenos Aires, jusqu’au 2100, boulevard maritime Patricio Peralta Ramos, où il passe environ sept heures à jouer sans arrêt, jamais à la roulette, qui est pour les apprentis, toujours au punto y banca ou au blackjack, parfois au punto y banca et au blackjack en même temps, sept heures sans manger ni dormir et parfois sans même se lever un instant pour se dégourdir les jambes, se nourrissant exclusivement de whisky et de cigarettes blondes, pendant que le chauffeur de taxi – le même gars de Tucumán que son ex-beau-père engage pour le suivre et qui lui prête six cents pesos avec lesquels il fait subir un revers à la fameuse table adverse – l’attend quelques pâtés de maisons plus loin, radio allumée, dodelinant de la tête à cause du sommeil, dans la voiture garée tout près de la place.
Hacerlo literalmente, fabricarlo, como lo hacen los empleados de la Casa de la Moneda o los ex empleados reconvertidos —más tarde o incluso simultáneamente— en falsificadores, o hacerlo aparecer, como de hecho hace su padre durante años dos viernes por mes, de once de la noche a siete y media de la mañana, cuando tiene mesa, según la expresión con que él mismo nombra sus noches de póquer una vez que las hace públicas en la familia, y sobre todo en sus visitas al casino de Mar del Plata, excursiones relámpago que emprende también los viernes, uno de los dos que le dejan libres las noches en que tiene mesa, verdaderos raids de furiosa ludopatía que arrancan al salir de la oficina, siempre en taxi, cuatrocientos cuatro kilómetros desde Maipú y Córdoba, pleno centro de Buenos Aires, hasta el dos mil cien del bulevar marítimo Patricio Peralta Ramos, donde se pasa un promedio de siete horas jugando sin parar, nunca ruleta, que es para aprendices, siempre punto y banca o black jack, a veces punto y banca y black jack simultáneamente, siete horas sin comer ni dormir y en ocasiones sin siquiera levantarse para desentumecer las piernas, alimentado a base de whisky y cigarrillos rubios, mientras el chofer del taxi —el mismo tucumano que su ex suegro contrata para seguirlo y le presta los seiscientos pesos con los que revierte la famosa mesa adversa— lo espera a unas cuadras con la radio prendida, cabeceando de sueño en el coche estacionado junto a la plaza.
Ce sont les cheveux mi-longs, à deux pentes, descendant sur les côtés en dégradé, comme ceux de Jorge Martínez, qui devient célèbre grâce à une publicité de vaisselle incassable et renonce à tout, avant tout à sa carrière de joueur de tennis entrée en franche décadence après avoir connu son heure de gloire en 1966, avec la Coupe Davis, afin de poursuivre son petit bonhomme de chemin, en jouant un rôle de policier, dans le film picaresque argentin sur lequel trébuche Werner Herzog dans un cinéma d’Iquitos où il entre pour se distraire un moment de l’infernal tournage de Fitzcarraldo, ou bien séparés par une raie au milieu, selon la mode rendue célèbre, par de nombreux débrouillards du journal, et entre autres par le malheureux Esteban Molar, né Mario Esteban Moreno Larronde, l’ex-employé d’un atelier de tailleur qui devient secrétaire particulier d’un grand capo comique de l’époque, et devient ensuite celui qui lui procure les doses, puis les petits sachets, et enfin les cailloux de cocaïne qui quinze ans plus tard le tueront, aussi gros que des pains de savon à laver le linge, et qui devient ensuite intermittent dans les émissions d’humour les plus regardées de l’époque, puis l’étalon des apprentis vedettes papillonnant autour des portes des chaînes de télévision, et ensuite leur imprésario, ensuite leur fournisseur dans les fêtes que les hiérarques militaires de chaque force organisent pour impressionner les forces rivales – potlatchs prodigues en cache-sexe, strass et paillettes – et, au passage, pour fêter la réussite du plan d’extermination qu’ils mènent depuis qu’ils ont pris le pouvoir et même avant, et qui ensuite part pour l’étranger, pour Miami, pour la télévision latina, pour le diabète, et enfin pour le tonitruant procès pour violence conjugale qui l’oblige à chercher refuge là où on ne lui demandera pas de rendre des comptes : la jeune mais vigoureuse industrie hongroise du porno, d’abord, puis le trafic de joueurs de football en Amérique centrale.
Es el pelo tirando a largo, a dos aguas, fugado hacia los lados en degradé, con raya al costado, como en el caso de Jorge Martínez, que salta a la fama gracias a un comercial de vajilla irrompible y renuncia a todo, básicamente a una carrera de tenista que ha entrado en franca decadencia tras un pico en 1966, con la Copa Davis, y pasa sin pena ni gloria, haciendo un papel de policía, por el engendro de cine picaresco argentino con el que tropieza Werner Herzog en un cine de Iquitos al que entra para distraerse un rato del rodaje infernal de Fitzcarraldo, o bien partido por una raya al medio, según el modelo que entre muchos buscavidas del período populariza el malogrado Esteban Molar, nacido Mario Esteban Moreno Larronde, un ex empleado de sastrería que pasa a secretario personal de un gran capo cómico de la época, de ahí a ser el que le consigue los papeles, luego las bolsitas, por fin las tizas de cocaína que quince años después lo matarán, grandes como panes de jabón de lavar la ropa, de ahí a extra en los programas de humor más vistos de la época, de ahí a semental de las aspirantes a vedettes que revolotean en las puertas de los canales de televisión, de ahí a su representante artístico, de ahí a proveedor de aspirantes a vedettes para las fiestas que los jerarcas militares de cada fuerza organizan para impresionar a las fuerzas rivales —potlatchs pródigos en concheros, strass y lentejuelas— y, de paso, celebrar el éxito del plan de exterminio que llevan a cabo desde que toman el poder y aun desde antes, y de ahí al exterior, a Miami, a la televisión latina, a la diabetes, al resonante juicio por violencia conyugal que lo obliga a buscar refugio donde no le pidan rendición de cuentas alguna, la joven pero pujante industria húngara del porno, primero, el tráfico de jugadores de fútbol en Centroamérica después. Ese pelo.
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