Translation for "estivant" to spanish
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Il a un verger, avec des tables et des balançoires en bois pour les estivants.
Tiene un jardín con mesas y columpios de madera para uso de los huéspedes en verano.
Nous ferons la tournée des coins à estivants, à Vassar et Sarah Lawrence.
Iremos a las actividades de verano del Vassar y del Sarah Lawrence.
Dans le New Hampshire, les estivants descendaient sur les plages — une demi-heure de route tout au plus.
En New Hampshire, los turistas de verano iban a las playas, que estaban a media hora de distancia.
Désormais, les estivants auraient bientôt tout acheté et ne daignaient venir que trois mois par an.
Ahora, en cambio, los veraneantes habían comprado casi todo y solo se les ocurría ir allí los tres meses de verano.
Tout l’été de 1940, mon père habita chez les Bates, et chaque soir, il offrait son spectacle aux estivants de Hampton Beach.
Aquel verano del 40, Papá vivió en casa de los Bates, en Dairy. Por la noche trabajaba para el público de Hampton Beach.
D’après eux, l’été amenait une foule d’estivants, mais en cette saison, aucun des restaurants n’était comble et de nombreuses plages étaient désertes.
Tal como les dijeron, el verano atraía hasta allí mucho tráfico y nutridas multitudes, pero en aquella época no parecía que hubiese mucho movimiento en ninguno de los restaurantes, y muchas playas parecían desiertas.
Contrairement à la plupart des estivants en séjour sur l’île magique, Danny Skinner avait hâte de rentrer chez lui.
A diferencia de casi todos los demás visitantes que vinieron a pasar sus vacaciones a la isla mágica aquel verano, Danny Skinner apenas podía esperar el momento de volver a casa.
Angela avait sangloté en disant qu’elle regrettait, avant d’essayer d’expliquer ce qui l’attirait chez ce genre de personnes – les riches estivants.
Angela se había echado a llorar, había pedido perdón por su error y después había intentado explicar qué le atraía de la gente así, la gente que venía en verano.
Il n’y avait probablement personne, dans ce village, qu’il ne connût pas de près ou de loin – les sept cent cinquante-sept résidants permanents et les quelque trois cents estivants.
Quizá no hubiese nadie en el pueblo a quien no conociese de un modo u otro: 757 habitantes permanentes y unos 300 residentes más en verano.
Tu n’as jamais rien soupçonné de tout cela, n’est-ce pas, Mauricio, estivant imperturbable de quelque montagne du Nord ? Et cependant, à la fin de cet été-là… Tu la vois, là-bas ?
Vos nunca sospechaste demasiado todo eso, Mauricio, veraneante imperturbable en alguna quebrada norteña, pero ese fin de verano… ¿La ves, allá?
Afin de mieux admirer la vue, elle avança sans manifester la moindre crainte vers la plate-forme, comme si nous nous trouvions sur une terrasse panoramique destinée aux estivants, au-dessus de la baie de Surrentum. Et j’aurais donné cher pour me trouver à Surrentum !
Mi amada caminó audazmente hacia el patio hundido y contempló las espectaculares panorámicas, como si estuviéramos en un mirador con balaustrada, situado sobre la península de Sorrento y construido para solaz de los turistas estivales. Habría preferido estar en Sorrento.
Puis tous deux sortirent du magasin et se promenèrent un moment le long de la grand-rue en se faufilant entre les petits groupes d’estivants qui avaient réapparu avec le soleil.
Luego salieron de la tienda y dieron un breve paseo por la calle principal, sorteando los pequeños grupos de turistas veraniegos que habían reaparecido con el sol.
Plutôt qu’une prison, le centre de détention Cordillera évoquait une résidence d’été, une sorte d’établissement thermal ou de retraite spirituelle, et seule la présence de soldats lourdement armés indiquait que les estivants n’étaient pas descendus ici de leur plein gré.
El Centro de Detención Cordillera más que una cárcel parecía una instalación veraniega, una suerte de balneario o retiro espiritual, y sólo la presencia de soldados fuertemente armados indicaba que los veraneantes no estaban ahí de manera voluntaria.
Deuxième condition : vous ne direz rien à personne de notre petite transaction. Rien. Si on soulève la question devant vous, tout ce que vous savez, c’est ce que je vous ai dit : nous sommes deux associés qui lançons un commerce destiné aux touristes et aux estivants.
Segunda condición. Usted no dirá nada de la transacción que hemos hecho hoy aquí. Nada. Si alguna vez le preguntan, lo único que usted sabe es lo que yo le dije… que somos dos socios y tenemos intención de abrir una tienda para turistas y visitantes veraniegos.
Ils avaient abandonné les villes pour estivants, stratifiées, de leur jeunesse, avec leurs cloisons étanches, leurs lassantes visites de politesse pour s’établir à longueur d’année dans des endroits invraisemblables, de rustiques villes industrielles comme Tarbox, et avaient tenté d’inventer là un nouveau mode d’existence.
Dejaron atrás las ciudades veraniegas plagadas de estratificaciones y diferenciaciones restrictivas junto con sus tediosas rondas de amabilidades forzadas, y se instalaron durante todo el año en lugares impensables, en poblaciones rurales como Tarbox, donde procuraron improvisar una nueva forma de vida.
Je n’étais pas vraiment à ma place parmi la colonie des estivants, mais j’aimais beaucoup la plage et je trouvais le séjour chez la tante Conchita agréable : il y passait beaucoup de monde et les invités pouvaient rester aussi longtemps que ça leur plaisait, avec le plus grand naturel, de sorte que j’en étais un parmi d’autres et pas un parent accueilli par pitié.
Entre los miembros de la colonia veraniega yo estaba fuera de lugar, pero la playa me gustaba mucho y la estancia en casa de la tía Conchita me resultaba cómoda: por allí pasaba mucha gente y los invitados podían prolongar su estancia tanto como les conviniera, con la máxima naturalidad, de modo que yo era uno más y no un pariente pobre acogido por lástima.
Anciennement les logis de ceux qui servaient de domestiques aux habitants de la grande demeure, à présent les maisons secondaires d’estivants nantis, étrangers comme italiens, désireux d’échapper à l’air étouffant des grandes villes en été. Comme la saison n’était pas encore commencée, elles étaient inoccupées. Personne n’avait pu voir passer Roberto Squali avec la petite fille. Et les gens du pays, s’il avait pris la précaution de se déplacer au milieu de l’après-midi, ne mettaient pas le nez dehors à l’heure de la sieste.
En algún momento, mucho tiempo atrás, esas casas habían servido para satisfacer las necesidades de quienquiera que viviera en la gran villa. Ahora eran casas de vacaciones cerradas que pertenecían a extranjeros o a italianos ricos que venían a las montañas desde ciudades como Milán o Bolonia, para escapar del bullicio urbano y el calor veraniego. Todavía era principio de estación, así que la probabilidad de que alguien en esas casas hubiera visto a Roberto Squali pasar con una niña en su coche varias semanas atrás era demasiado remota para considerarla siquiera. Si había sido listo, Squali habría ido con la niña a media tarde.
CHAPITRE V De la plate-forme supérieure d’un observatoire rarement utilisé à présent (un « point de vue » comme on l’avait appelé naguère) et qui s’élevait sur une colline boisée haute de deux cent cinquante mètres, baptisée Mont Ettrick, dans l’un des plus beaux des beaux États de la Nouvelle-Angleterre, l’estivant aventureux (Miranda ou Mary, Tom ou Jim, dont les prénoms crayonnés étaient déjà presque oblitérés sur la balustrade) pouvait admirer une mer de verdure composée surtout d’érables, de hêtres, de peupliers baumiers et de pins.
 CAPITULO QUINTO  Desde la terraza de una torre raras veces usada, «la torre del mirador», como se la llamaba antiguamente, situada en un cerro boscoso dé ochocientos pies de altura, llamado monte Ettrick y perteneciente a uno de los Estados más bellos de Nueva Inglaterra, el aventurero turista veraniego (Miranda o Mary, Tom o Jim, cuyos nombres escritos con lápiz en la balaustrada estaban casi borrados), podía observar un vasto mar de vegetación, compuesto principalmente de robles, abetos, chopos y pinos.
D’habitude, elle défendait implacablement son morceau de côte bien-aimé, et quand des estivants franchissaient la ligne de marée elle se précipitait sur eux comme un loup dans la bergerie, c’était son expression, pour leur expliquer et leur demander : – C’est mon jardin ici, vous voyez. – Et s’ils étaient insolents – vatefairevoirlavieillelaplageestà-toutlemonde – elle allait chercher chez elle un long tuyau d’arrosage vert qu’elle dirigeait impitoyablement sur les couvertures écossaises et les crosses de cricket en plastique et les bouteilles d’ambre solaire, elle faisait s’effondrer les châteaux de sable des enfants et trempait les sandwiches au pâté de foie, avec le plus doux des sourires : Ça ne vous dérange pas que j’arrose ma pelouse ?… Oh, c’était un cas, bien connue dans le village, on n’arrivait pas à l’enfermer dans un asile de vieillards, elle avait envoyé paître toute sa famille quand ils avaient osé le lui suggérer, ne vous montrez plus jamais à ma porte, leur avait-elle dit, et elle les avait retirés de son testament sans rien demander à personne.
Generalmente, ella era implacable en la defensa de su adorado fragmento de costa, y cuando los excursionistas veraniegos pasaban de la línea de la marea alta, ella se abatía sobre ellos como lobo en el aprisco, según su propia expresión, para explicar y exigir: «Esto es mi jardín, saben ustedes.» Y, si ellos se ponían impertinentes -quésehacreídolavieja lajodidaplayaesdetodos-, ella volvía a su casa, sacaba una larga manguera verde de jardín y la dirigía implacablemente sobre sus mantas escocesas, palos de criquet de plástico, frascos de aceite solar, destruía los castillos de arena de los niños y empapaba sus bocadillos de salchicha sin dejar de sonreír dulcemente: ¿No les molestaría que riegue mi jardín…? Oh, buena era ella, todo el pueblo la conocía, no pudieron encerrarla en una residencia de ancianos, echó a cajas destempladas a toda su familia cuando se atrevieron a proponérselo, no volváis a aparecer por aquí si no queréis que os deje sin un penique ni un ahí te pudras.
Le vent soulevait suffisamment de sable pour que les sommets disparaissent dans une manière de brume lumineuse et angélique. Et, de l’autre côté de la route, en direction de la baie, toutes les petites cabanes blanches destinées aux estivants s’alignaient comme les niches d’un gigantesque chenil bien tenu. Pour l’heure, avec leurs fenêtres masquées de planches, elles avaient un air d’outrage muet. Mais après tout les arbres étaient nus, eux, et arboraient des teintes aussi usées que le pelage d’animaux confrontés à un long hiver dans une contrée sans fourrage. Je pris des risques et conduisis à une vitesse qui m’aurait expédié droit en taule pour peu qu’un garde national capte mon image sur son radar. Mais je ne fis pourtant pas une très bonne moyenne, car je m’avisai soudain au beau milieu de cette course de vitesse du fait que Barnstabble était une ville assez petite pour qu’un conducteur de Porsche se faisant indiquer la demeure de Regency ne passe pas inaperçu. Et je ne voulais pas qu’un voisin d’Alvin Luther allât lui demander le soir qui était l’ami qui avait garé sa voiture de sport à trois cents mètres de chez lui.
El viento estaba cargado de polvillo de arena, que suavizaba los perfiles de las cosas envolviéndolas en un etéreo resplandor mortecino, y al otro lado de la carretera, del lado de la bahía, las pequeñas casitas blancas destinadas a los turistas veraniegos alineadas ordenadamente, como las perreras en un criadero de perros de raza. Ahora, con las ventanas cerradas, estaban silenciosas, como si se sintieran levemente ofendidas, y la corteza de los desnudos árboles tenía el mismo aspecto deslucido que la piel de los animales que pasan un largo invierno en una tierra donde no hay nada que pastar. Me arriesgué a conducir a una velocidad que me habría costado la cárcel si un policía de tráfico me hubiera atrapado con su radar, pero a pesar de ello no llegué pronto, pues mientras conducía se me ocurrió que Barnstable era una ciudad pequeña y que sus habitantes forzosamente tendrían que fijarse en un hombre conduciendo un Porsche que indagara el camino para ir a casa de Regency, y no quería que un vecino bien intencionado le preguntara, aquella misma tarde, quién era el amigo que había aparcado su coche deportivo a trescientos metros de la puerta de su casa.
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