Translation for "est invalidante" to spanish
Est invalidante
  • está deshabilitando
  • es incapacitante
Translation examples
es incapacitante
C'est une maladie invalidante.
Es una enfermedad incapacitante.
Rarement fatal, mais souvent invalidant.
Rara vez fatal pero a menudo incapacitante.
Si j’y réfléchis, la maladresse figure parmi différents symptômes survenus ou réapparus à cette période, symptômes plus ou moins invalidants dont j’ai accepté la coexistence, l’addition, la multiplication, sans donner l’alerte.
Si lo pienso, la torpeza figura entre diferentes síntomas sobrevenidos o reaparecidos por entonces, síntomas más o menos incapacitantes cuya existencia, acrecentamiento y multiplicación acepté, sin dar la alerta.
Mais il y a plus grave et plus invalidant pour lui : sous l’effet de l’haldol, il se trouve musicalement « engourdi », interprète médiocre, non dépourvu de compétence, mais privé d’énergie, d’enthousiasme, de joie et d’excès – ce qui était pour lui quelque chose de vital à la fois comme moyen d’expression et comme soutien moral.
Lo más importante, e incapacitante, porque esto era vital para él (como medio de apoyo y también de autoexpresión) es que ha descubierto que con Haldol era musicalmente «insulso», vulgar, competente pero sin energía, sin entusiasmo, sin extravagancia y júbilo.
Parce que en même temps, cette année-là, j’entretenais une liaison avec une femme très séduisante, très forte, responsable, sans blessures invalidantes, sans vices ni délires, d’une intelligence pénétrante, fiable en tous points, trop dépourvue d’ironie pour être spirituelle au sens léger, mais amante attentive, experte et sensuelle. Carolyn Lyons.
Porque entretanto, aquel mismo año, tenía yo una aventura sentimental con una mujer muy atractiva, muy fuerte y responsable, sin heridas incapacitantes, sin vicios ni opiniones extravagantes, de inteligencia minuciosa, fiable en todos los sentidos, demasiado carente de ironía para resultar siquiera un poco ocurrente, pero una amante sensual, experta y atenta. Carolyn Lyons.
Et alors, que ce soit à cause de cette foutue chanson, Dream, sur laquelle nous dansions autrefois toutes lumières baissées dans le sous-sol de l’un ou l’autre d’entre nous, du temps que les Pied Pipers comptaient encore Jo Stafford parmi eux et la chantaient comme il faut la chanter — en harmonie serrée sur le rythme hypnotique des années quarante, avec le tintement éthéré du xylophone à l’arrière-plan — ou parce que Alan Meisner était devenu républicain, et que la seconde base Bert Bergman était devenu un cadavre, et qu’Ira Posner, au lieu de cirer les chaussures devant le tribunal de grande instance de l’Essex, avait fui sa famille dostoïevskienne et s’était fait psychiatre, parce que Julius Pincus avait des tremblements invalidants (effet secondaire du médicament qui empêchait son organisme de rejeter le rein de la gamine de quatorze ans qui le maintenait en vie), et parce que Mendy Gurlik était resté un adolescent de dix-sept ans qui triquait, et parce que Harold, le frère de Joy, avait couché dix ans à la cuisine, parce que Schrimmer avait épousé une femme deux fois plus jeune que lui, dont le corps ne lui donnait pas envie de se trancher la gorge mais à qui il fallait désormais expliquer le moindre détail du passé, ou encore parce qu’il semblait bien que j’étais le seul à me retrouver sans enfants, petits-enfants, « ni rien », pour reprendre l’expression de Minskoff, ou parce que après tant d’années de séparation ces retrouvailles de parfaits étrangers s’éternisaient, une boule d’émotion incontrôlée se mit à me remuer les tripes, à moi aussi, et je me pris à penser de nouveau au Suédois, au désastreux coup de projecteur que sa hors-la-loi de fille leur avait valu, à lui et à sa famille, pendant la guerre du Vietnam.
Primero nos reímos y luego, de improviso, Joy se echó a llorar y, tal vez debido a aquella puñetera canción, Sueña, que soliamos bailar con las luces apagadas en el sótano de uno u otro cuando los Pied Pipers aún contaban con Jo Stafford y la cantaban como debía cantarse, con una armonía perfecta, siguiendo aquel ritmo catatónico de los años cuarenta, con el etéreo y hueco tintineo del xilófono que sonaba a sus espaldas, o tal vez porque Alan Meisner se había hecho republicano, el segunda base Bert Bergman era un cadáver e Ira Posner, en vez de lustrar zapatos en el quiosco ante el palacio de justicia del condado de Essex, había huido de su familia dostoyevskiana y llegado a ser psiquiatra, porque Julius Pincus sufría unos temblores íncapacitantes a causa del medicamento que impedía que su organismo rechazara el riñón de una chica de catorce años que le mantenía vivo, porque Mendy Gurlik seguía siendo un chico cachondo de diecisiete años y porque Harold, el hermano de Joy, había dormido durante diez años en una cocina y porque Schrimmer se había casado con una mujer que casi tenía la mitad de su edad, poseedora de un cuerpo más que satisfactorio pero a la que ahora él tenía que explicar cada detalle del pasado, o tal vez porque yo parecía ser el único que había terminado sin hijos, nietos ni, como dijo Minskoff, «nada de eso», o tal vez porque al cabo de tantos años de separación aquella reunión de unos perfectos desconocidos había durado un poco más de la cuenta, una carga de emoción ingobernable también empezó a deslizarse a mi alrededor, y allí estaba yo, pensando de nuevo en el Sueco, en el escandaloso realce que una hija al margen de la ley les había dado, a él y a su familia, durante la guerra de Vietnam.
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