Translation for "espéraient" to spanish
Translation examples
Ils n’en espéraient pas tant.
Incluso eso era más de lo que hubieran esperado.
Mais la Terre II n’était pas ce qu’ils espéraient.
Pero Tierra II no era lo que habían esperado.
Ce n’est pas la soirée festive qu’ils espéraient l’un et l’autre.
No era la noche de fiesta que ambos habían esperado.
Après tout il leur avait donné une réponse, la réponse qu’ils espéraient.
Después de todo había respondido a la pregunta fundamental, y la respuesta era la que habían esperado que fuera.
Pas les extraterrestres vivants et conscients qu’ils espéraient rencontrer, bien sûr.
No eran los entes alienígenas vivos que habían esperado hallar.
Cette approche leur apporta quelques clients, mais pas autant qu’ils l’espéraient.
Este enfoque atrajo a algunos compradores, pero ni por asomo el volumen de demanda que los comercios habían esperado.
Bien entendu, c’était bien plus que ce que les insurgés espéraient quelques heures plus tôt.
Era mucho más de lo que habían esperado esa mañana, tal vez.
Ni faucon ni aigle – il l’avait espéré, ils l’espéraient tous – pas même une chouette.
Ni un halcón o un águila —así lo había esperado, como todos—; ni siquiera era una lechuza.
Elle parla à Sue du coffre et des archives historiques qu’ils espéraient y trouver.
Le contó a Sue lo del cofre y los archivos históricos que habían esperado encontrar en su interior.
Elle parut tout à fait surprise et c’était juste comme ça qu’ils espéraient qu’elle serait. — Où suis-je ?
Parecía debidamente sorprendida y así era justo como habían esperado que estuviera. –¿Dónde estoy?
Il menait grand train et passait la plupart de son temps avec ses nouveaux amis hongrois. Les évacuations avaient déjà largement commencé, zone par zone selon un plan très serré, et les plaintes affluaient de partout, du Jägerstab, des bureaux de Speer, de Saur lui-même, cela fusait dans tous les sens, vers Himmler, Pohl, Kaltenbrunner, mais à la fin tout revenait vers moi, et en effet, c'était une catastrophe, un véritable scandale, les chantiers ne recevaient que des jeunes filles fluettes ou des hommes déjà à moitié morts, eux qui espéraient un afflux de gaillards sains, solides, rompus aux travaux, ils étaient outrés, personne ne comprenait ce qui se passait. Une partie de la faute, je l'ai déjà expliqué, revenait à la Honvéd qui malgré toutes les représentations gardait jalousement ses bataillons de travail. Mais parmi ceux qui restaient il y avait quand même des hommes, qui peu de temps auparavant vivaient une vie normale, mangeaient à leur faim, ils devaient être en bonne santé. Or il s'avérait que les conditions des points de concentration, où les Juifs devaient parfois attendre des jours ou des semaines, à peine nourris, avant d'être transportés, entassés dans des wagons à bétail surchargés, sans eau, sans nourriture, avec un seau hygiénique par wagon, ces conditions étaient épuisantes pour leurs forces, les maladies se disséminaient, de nombreuses personnes mouraient en route, et celles qui arrivaient avaient piètre figure, peu passaient la sélection, et même ceux-là se voyaient refusés ou étaient rapidement renvoyés par les entreprises et les chantiers, surtout ceux du Jägerstab qui hurlaient qu'on leur envoyait des fillettes incapables de soulever une pioche. Lorsque je transmettais ces plaintes à Eichmann, je l'ai dit, il les rejetait sèchement, affirmait que ce n'était pas de sa responsabilité, que seuls les Hongrois pouvaient changer quelque chose à ces conditions. J'allai donc voir le major Baky, le secrétaire d'État chargé de la Gendarmerie; Baky balaya mes plaintes d'une phrase, «Vous n'avez qu'à les prendre plus vite», et me renvoya au lieutenant-colonel Ferenczy, l'officier chargé de la gestion technique des évacuations, un homme amer, difficilement accessible, qui me parla pendant plus d'une heure pour m'expliquer qu'il serait ravi de mieux nourrir les Juifs, si on lui fournissait la nourriture, et de moins charger les wagons, si on lui envoyait plus de trains, mais que sa mission principale consistait à les évacuer, pas à les dorloter.
y lo que pasaba era que, tras perder Ucrania, Alemania tenía que enfrentarse a una grave carencia de abastecimientos, sobre todo de trigo, y por lo tanto, había mirado hacia Hungría, que era una gran productora, y, según él, por cierto, ésa era la razón principal de nuestra pseudoinvasión, asegurarnos esa fuente de abastecimiento de trigo y, por lo tanto, en 1944 les estábamos pidiendo a los húngaros 450.000 toneladas de trigo, 360.000 toneladas más que en 1942, es decir, un incremento de un ochenta por ciento; ahora bien, de alguna parte tenían que sacar los húngaros ese trigo, porque, bien pensado, tenían que alimentar a su propia población, pero, precisamente, esas 360.000 toneladas equivalían a la ración de alrededor de un mil ón de personas, algo más que el número total de judíos húngaros; así que los especialistas del Ministerio de Alimentación, en lo que a el os se refería, consideraban que el hecho de que la RSHA evacuase a los judíos era una medida que permitiría a Hungría dejar Ubre un excedente de trigo que iría a parar a Alemania y equivaldría a nuestras necesidades; y en cuanto a la suerte que corrieran los judíos evacuados a quienes, en principio, habría que dar de comer en otra parte si no los mataban, eso no tenía nada que ver con aquel joven, y en última instancia simpático, experto, a quien, no obstante, tenían un tanto obnubilado sus cifras, porque había otros departamentos del Ministerio de Alimentación que se ocupaban de eso, de la alimentación de los presos y de los demás trabajadores extranjeros en Alemania, así que eso no era cosa suya y para él la evacuación de los judíos era la solución a su problema aunque, por otro lado, se convirtiera en el problema de cualquier otra persona. Y ese hombre no era el único en pensar así, todo el mundo era como él, yo también era como él; y también vosotros, si hubierais estado en su lugar, habríais sido como él. Pero es posible que en el fondo os importe un bledo todo esto. A lo mejor, en vez de mis reflexiones malsanas y abstrusas preferiríais anécdotas, historias picantes.
creído
Aussi Betty, qui ne pouvait s’endormir à moins que les choses ne soient tirées au clair, lui demanda-t-elle s’il voulait un verre et pourquoi il s’était conduit si bizarrement avec tout le monde avant la cérémonie. C’était, s’il voulait son avis sincère, le plus rapide moyen de ficher en l’air sa carrière, cette carrière qu’ils espéraient l’un et l’autre pour lui, que de demander au gouverneur, au nom du Ciel, s’il croyait ou non en Dieu.
Pero esto no dio resultado, por lo que Betty, que nunca podía dormir a menos que las cosas hubiesen quedado claras, le preguntó si quería una copa y por qué se había puesto tan raro justo antes de la ceremonia, y le dijo que si quería su sincera opinión la mejor manera de estropear la futura carrera en la que ambos estaban de acuerdo era empezar a preguntarles a los gobernadores de los estados si creían en Dios, por los clavos de Cristo. ¿Quién se había creído que era?
Ils espéraient aussi chaque année ardemment la neige, et profanaient même leur foi en priant pour qu’elle tombe.
También les ilusionaba todos los años la promesa de la nieve, y hasta degradaban su fe rezando para que cayera.
Il raconte la persécution des premiers chrétiens sous l’empereur Néron, et les parents d’Henry espéraient sans doute, en l’offrant à leur fils, qu’il attiserait sa foi.
Refiere la persecución de los primeros cristianos en el reinado del emperador Nerón, y los padres de Henry tenían seguramente la esperanza, al regalársela a su hijo, de que atizaría su fe.
Ils les avaient tant attendus, depuis des heures ils espéraient ces mots libérateurs, ce « pour que votre avenir soit plus juste » et la déception avait délaissé leurs regards pour laisser place à la confiance, à l’espoir, à l’enthousiasme, à la détermination, à la volonté…
Esto era lo que esperaban, llevaban horas esperando esta frase libertadora, la de «un futuro más justo para ustedes», y las miradas hasta entonces desilusionadas dirigidas a Irimiás empezaron a emanar confianza y esperanza, fe y entusiasmo, determinación y una voluntad cada vez más férrea…
Presque tous les pèlerins armés qui tentèrent ou qui firent la conquête de la Terre Sainte prirent pour armes ou des croix, signe de la mission à la quelle ils s’étaient voués, ou des oiseaux voyageurs, symbole du long voyage qu’ils allaient entreprendre et qu’ils espéraient accomplir sur les ailes de la foi.
Casi todos los peregrinos armados que intentaron o que hicieron la conquista de Tierra Santa tomaron por armas cruces, señal de la misión que iban a cumplir; o aves de paso, símbolo del largo viaje que iban a emprender, y que esperaban acabar con las alas de la fe.
Mais comment Dieu peut-il se tromper et frapper comme cela un être innocent, qui n’a rien fait… et comment se peut-il que chez un enfant les jambes meurent brusquement, à cause d’un rien, d’un bacille, comme disent les médecins, et ils pensent ainsi avoir trouvé quelque chose… Mais ce ne sont que des mots, des échappatoires, et la vérité c’est que votre enfant est là, étendue, que ses jambes sont devenues soudain raides, qu’elle ne peut plus marcher, et que devant cela vous êtes impuissant… Comment comprendre cette chose ?… » D’un mouvement rapide de la main il essuya vivement la sueur dans ses cheveux humides et en désordre : « … Bien entendu, j’ai consulté tous les médecins… là où il y en avait un célèbre, nous sommes allés le voir… Tous je les ai fait venir, et ils ont parlé avec assurance, dit toutes sortes de mots latins et discuté et tenu des conciliabules. L’un a essayé ceci, l’autre cela, et puis ils ont dit qu’ils espéraient, qu’ils croyaient, et ils ont pris leurs honoraires, et ils sont partis, et tout est resté comme devant.
Sí…, lo que decía, si me hubiera ocurrido a mí, lo habría comprendido, pero ¿cómo puede Dios errar tanto el tiro y castigar injustamente a una inocente…, y cómo hemos de comprender que a un ser vivo, a una niña, de repente se le mueran las piernas, porque una minucia, un bacilo… dijeron los médicos, y con eso creyeron haber dicho algo…? Pero no es más que una palabra, un pretexto, en tanto que lo otro, lo real, es que una niña está postrada, de pronto tiene las piernas rígidas, ya no puede andar ni moverse y uno tiene que verlo impotente… Eso no se puede comprender. Con un gesto brusco del dorso de la mano se limpia el sudor del cabello humedecido y revuelto. —Claro que consulté a todos los médicos… Dondequiera que hubiera una eminencia, acudíamos a verlo… A todos los hice venir y todos explicaban la lección y hablaban latín, discutían y celebraban consultas, uno ensayaba esto y otro aquello, y luego decían que tenían esperanza y fe, y cobraron su dinero y se fueron y todo quedó como estaba.
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