Translation for "enfouir" to spanish
Translation examples
— Et moi, je vais enfouir quelque chose pour lui. Que vas-tu planter ?
—Yo enterraré algo por él. ¿Qué plantarás?
Elle a l’habitude d’enfouir ses blessures.
Normalmente suele enterrar las heridas.
— Elle aime enfouir des choses, dit Constance.
—A ella le gusta enterrar cosas —repitió Constance—.
Le passé qu’elle a tenté d’enfouir revient par vagues.
El pasado que había intentado enterrar vuelve, a oleadas.
Christine essaya d’enfouir sa tête dans les draps du lit.
Christine trató de enterrar la cabeza en las sábanas.
Lui et les messagers, ils avaient enfoui des machines à écrire dans le sol.
Él y los demás correos se encargaron de enterrar las máquinas de escribir.
— J’aimerais enfouir quelque chose pour Oncle Julian », dis-je.
—Me gustaría enterrar algo para el tío Julian —dije.
— Je ne pense pas que la croûte terrestre soit assez épaisse pour enfouir ça.
—No creo que haya tierra lo bastante profunda como para enterrar eso.
Valait-il mieux le reposer ? L’enfouir sous terre ? Le brûler ?
¿No sería mejor que lo dejara? ¿Lo enterrara? ¿Lo quemara? ¿Lo emparedara?
Il est impossible d’enterrer ou d’enfouir les corps assez vite.
No puedes enterrar ni quemar a los cadáveres lo bastante deprisa.
– Quelques-uns ont imaginé d’enfouir un rayon du soleil.
Unos idearon sepultar un rayo de sol.
Quel tribut avait’elle payé pour enfouir des émotions aussi intenses ?
¿Cuánto le había costado sepultar una emoción tan profunda?
tout s’explique, tout s’enchaîne, tout est clair, et je comprends pourquoi Saknussemm, mis à l’index et forcé de cacher les découvertes de son génie, a dû enfouir dans un incompréhensible cryptogramme le secret… – Quel secret? demanda vivement M. Fridriksson.
Todo se explica, todo se aclara, todo se concatena. Ahora me explico por qué Saknussemm, al verse inscrito en el índice y obligado a ocultar los descubrimientos de su genio, decidió sepultar su secreto en un incomprensible criptograma… —¿Qué secreto? —preguntó vivamente el señor Fridriksson.
Il avait les yeux neufs du Sang, j’étais quant à moi son professeur, et nous savons tous combien ce genre de choses est ensorcelant. » Un sourire amer joua sur ses lèvres. Le sinistre sentiment m’envahit qu’elle avait un grave problème, que peut-être elle était folle. Toutefois, il me fallait enfouir cette impression au plus profond de moi – ce que je fis.
Sus ojos tenían la mirada del nuevo bebedor de sangre. Yo era su maestra, y todos sabemos el encanto que eso encierra —añadió, sonriendo con amargura. En aquel momento se apoderó de mí una sensación siniestra, el presentimiento de que algo no concordaba en esa bebedora de sangre, de que quizás estuviera loca. Pero tuve que sepultar ese presentimiento en mi interior.
Les papilles de la langue rougies, le palais sanglant, le larynx dur, rien, rien, enveloppez-moi, les vieilles, langez-moi bien que je ne grelotte pas de fièvre, que je ne puisse remuer ni les bras ni les mains ni les jambes ni les pieds, dépêchez-vous, les vieilles, cousez-moi tout entier, pas seulement ma bouche qui brûle, mais aussi et surtout les yeux pour enfouir leur puissance dans le tombeau profond de mes paupières, pour qu’ils ne voient plus, que lui ne les voie jamais plus, que mes yeux consument leur propre puissance dans les ténèbres, dans le néant, oui, cousez-les-moi, les vieilles, ainsi laisserai-je don Jerónimo à jamais impuissant.
Las papilas de la lengua enrojecidas, el paladar sangriento, la laringe áspera, nada, nada, envuélvanme, viejas, arrópenme bien para que no tirite de fiebre, para no poder mover los brazos ni las manos ni las piernas ni los pies, apúrense, viejas, cósanme entero, no sólo la boca ardiente, también y sobre todo mis ojos para sepultar su potencia en la profundidad de mis párpados, para que no vean, para que él no los vea nunca más, que mis ojos consuman su propio poder en las tinieblas, en la nada, sí, cósanmelos, viejas, así dejaré a don Jerónimo impotente para siempre.
Mais ne le laisse pas te faire de cochonneries, Iris, c’est pour qu’il ne te touche pas et pour empêcher sa quéquette de se dresser qu’on l’emmaillote tant, pour qu’il dorme avec toi comme un vrai poupon, le Mudito est presque comme un vrai poupon, sûrement capable de rien, si brave le pauvre, vous vous rappelez sa tête hier quand on l’a trouvé en train de lire un bouquin relié qui avait l’air d’une Bible car les gros bouquins reliés avec beaucoup d’or sont des Bibles, et il y en a qui disent qu’elles l’ont vu écrire des choses qu’on appelle des pensées, je crois, comme en écrivent les saints, c’est pourquoi ça n’a pas d’importance qu’il dorme avec Iris, qui est chaste aussi, mais entre saint et sainte mur d’enceinte, ce qui fait qu’il vaut mieux prendre des précautions, car après tout ce n’est sans doute qu’un bout d’homme, mais un homme quand même et les hommes sont tous des cochons qui cherchent l’occasion de tripoter les filles, l’emmailloter pour qu’il ne risque pas de la toucher avec ses sales pattes d’homme, avec sa chair avide qu’il lui faut enfouir, car alors, s’il venait à la toucher, ça pourrait lui donner de mauvaises pensées à la pauvre, ce qui est péché, et alors Iris cessera d’être chaste et pure, alors il n’y aura pas de miracle et il n’y aura pas d’enfant, on a été obligées de lui dire qu’elle en attend un pour qu’elle ne nous envoie pas faire fiche, les choses ne sont plus comme du temps de la Brígida, ça a bien changé, et s’il n’y a pas d’enfant miraculeux, on devra rester dans cette vallée de larmes à attendre la Faucheuse qui viendra nous enlever par une nuit de terreur, on entreverra sa figure, dans cette Maison qui va tomber, dit-on, bien que misiá Inés soit sur le point de rentrer de Rome, que va-t-on faire de nous quand on démolira cette Maison, puisqu’on nous a oubliées, tout le monde même Monseigneur, mais sauf l’enfant qui va naître pour nous sauver, il ne permettra pas qu’on nous mette dans un fourgon de l’Assistance publique, comme la pauvre Mercedes Barroso, pour nous jeter à pourrir dans la fosse commune, car bien sûr on n’aurait rien à dire si c’était un enterrement comme celui que misiá Raquel a payé à la Brígida, des patronnes comme elle, il n’y en a plus, ça, ça serait tout à fait autre chose, on n’aurait pas si peur d’être enfermée dans une bonne bière, dans un nicho avec une plaque en vrai marbre blanc, avec le nom écrit, les dates et tout, et la présence de la famille Ruiz en train de prier, qu’on voyait qu’ils avaient vraiment de la peine d’avoir perdu la pauvre Brígida, mais personne n’a une chance comme celle de Brígida, c’est pourquoi il faut s’occuper d’Iris, car il devra y avoir un enfant qui fera le miracle de renvoyer les méchants hommes qui apportent les boîtes noires et qui, en touchant de son saint petit doigt les corbillards et les chevaux qui nous transporteront au ciel, les rendra blancs, et alors il n’y aura plus de quoi avoir peur car nous croyons que les choses blanches sont inoffensives, c’est pourquoi la Brígida ne portait jamais le châle noir que Mlle Malú lui avait offert pour son anniversaire et qui est resté tout neuf… qui sait qui peut bien l’avoir reçu… possible qu’il ait déteint et qu’il soit devenu blanc, car le miracle peut commencer à tout moment, de sorte que pour être prêtes il faut faire des petits paquets avec les affaires qu’on doit emporter, la théière, le réveil, des bas bien chauds parce qu’il peut venter là-haut, un châle de n’importe quelle couleur… ELLES ÉTEIGNENT LES LUMIÈRES.
Pero no vayas a dejar que te haga ninguna cochinada, Iris, que para que no te toque y para que no se le vaya a parar su pichulita lo fajamos tanto, que duerma contigo como una muñeca de veras, el Mudito es casi como un muñeco de veras, qué va a ser capaz de nada, es más bueno el pobre, capaz que sea santo él también, miren la cara con que ayer lo encontramos leyendo algo empastado que parecía ser la Biblia porque los libros gordos empastados con mucho oro son Biblias, y algunas dicen que lo han visto escribiendo unas cosas que creo que se llaman pensamientos y que son las cosas que escriben los santos, por eso es que no importa que duerma con la Iris que también es casta, pero entre santa y santo pared de cal y canto, así es que mejor tomar precauciones porque al fin y al cabo un pedazo de hombre no más será pero hombre al fin y al cabo y los hombres son todos unos cochinos que se lo llevan buscando ocasiones para toquetear a las chiquillas, fajarlo para que no la vaya a tocar con sus sucias manos de hombre, con su carne ávida que tiene que sepultar, porque si la llega a tocar entonces a la pobre le pueden dar malos pensamientos, eso es pecado, y entonces la Iris dejará de ser casta y pura y si deja de ser casta y pura entonces no habrá milagro y no habrá niño, tuvimos que decirle que está esperando para que no nos echara al agua, las cosas ya no son como en el tiempo de la Brígida, han cambiado mucho, y si no hay niño milagroso entonces nosotras nos vamos a tener que quedar en este valle de lágrimas esperando a la pela que vendrá a llevarnos una noche de terror, cuyo rostro alcanzaremos a vislumbrar, en esta casa que dicen que caerá aunque va a llegar misiá Inés de Roma, qué irán a hacer con nosotras cuando demuelan esta casa si se han olvidado de nosotras, hasta monseñor, todos menos el niño que va a nacer para salvarnos, no va a permitir que nos metan en un furgón de la Beneficencia Pública como a la pobre Mercedes Barroso para botarnos a que nos pudramos en la fosa común, porque claro, no diríamos nada si fuera un funeral como el funeral que misiá Raquel le costeó a la Brígida, patrona como ella no se ha visto, eso sería muy distinto, no daría tanto miedo quedarse encerrada en un buen cajón, en un nicho de mármol verdadero, blanco, con el nombre escrito y las fechas y todo y la familia Ruiz presente rezando que se veía que tenían pena de veras de que se les hubiera muerto la pobre Brígida, pero nadie tiene la suerte de la Brígida, por eso es que hay que cuidar a la Iris, porque tiene que haber un niño que haga el milagro de echar a los hombres malos que traen las cajas negras, y para que, tocando con su dedito santo las carrozas y los caballos que nos transportarán al cielo, se transformen en blancos y entonces ya no da miedo, porque nosotras creemos que las cosas blancas son inofensivas y por eso la Brígida nunca se ponía ese chal negro que le regaló la señorita Malú para su cumpleaños y que quedó nuevecito… quién sabe quién se habrá quedado con él… capaz que se haya desteñido y se haya puesto blanco porque el milagro puede comenzar cualquier día, por eso, para estar lista una, hay que hacer paquetitos con las cosas que nos vamos a llevar, la tetera, el despertador, las medias abrigadoras porque puede correr viento, un chal de cualquier color. Apagan las luces. Se van.
Si j’ai des talents, je n’ai plus le droit de les enfouir.
No debo ocultar mi talento, si es que lo tengo.
Elle se recroquevilla dans le fauteuil, tenta de libérer ses bras pour enfouir sa tête entre eux.
Alex se encogió en su silla, trató de liberar sus brazos para poder ocultar la cabeza entre ellos.
Ce lieu solitaire était bien celui qui convenait à un homme qui voulait enfouir un trésor.
Aquel lugar solitario era sin duda el conveniente a un hombre que iba a ocultar su tesoro.
Tout au long de ces premières semaines, je parvins avec un succès relatif à enfouir en moi les sentiments que m’inspirait Sophie.
Durante aquellas primeras semanas, conseguí ocultar con éxito mi interés amoroso por Sophie.
Il jeta un coup d’œil involontaire en direction de Geoffrey avant d’enfouir son front dans ses mains pour dissimuler son expression.
Sus ojos parpadearon involuntariamente hacia Geoffrey antes de llevarse las manos al rostro para ocultar su expresión.
C’était une enfant, une enfant folle de terreur qui aurait voulu enfouir sa tête dans les jupes de sa mère et ne plus rien voir.
Era como una niña loca de miedo y hubiera deseado poder ocultar la cabeza en el regazo de su madre para eludir aquel espectáculo.
Il regardait à présent la profusion de boucles blondes qui descendaient en cascade sur le visage d’Aviva. Son visage était enfoui dans ses mains.
Ahora se encontraba mirando los abundantes rizos rubios de Aviva, que había bajado la cabeza para ocultar el rostro entre las manos.
Il tenta d’enfouir son visage aviné dans sa poitrine mais ils lui collèrent une épée sous le menton et l’obligèrent à cligner les paupières dans la lumière du soleil.
Iba tratando de ocultar su vinoso rostro en el pecho, pero le colocaron una espada bajo la barbilla, obligándolo a encarar el sol con los ojos amusgados.
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