Translation for "emmurer" to spanish
Emmurer
Translation examples
Pourquoi elle s’était fait emmurer vivante dans la cathédrale de Marienwerder.
Por qué se había hecho emparedar viva en la catedral de Marienwerder.
— Parce que vous m’avez fait emmurer dedans afin que je meure, ô sire, répondit Munnosh.
«"Porque vos me hicisteis emparedar en ella para morir, mi Emperador".
Lucas fait emmurer le coffre et meurt par hasard le lendemain.
Lucas hace emparedar el arca y al día siguiente <> muere.
Après leur mort, de riches libraires se faisaient momifier et emmurer avec leurs ouvrages précieux.
Libreros ricos se hacían momificar después de su muerte y emparedar con sus tesoros.
Je me demande bien ce qu'elle peut contenir pour que Grand-Père l'ait fait emmurer dans sa maison.
Pero ¿qué demonios podía haber dentro para que el abuelito la hubiera hecho emparedar en su propia casa?
S'ils disparaissent dans le passé en 1994, pourquoi vais-je faire emmurer des années plus tard un coffre dans ma maison ?
Si desaparecen en el pasado, en 1994, ¿por qué años más tarde hago emparedar una arca en mi propia casa?
Jusqu’à ce que « quelque chose » eût parlé de la rivière et conseillé à Rade l’architecte de trouver deux petits enfants, des jumeaux, un frère et une sœur, Stoja et Ostoja de leur prénom, et de les emmurer dans les deux piles centrales du pont.
Hasta que «algo» en el agua se dejó oír y aconsejó a Rade el Alarife que buscara a dos niños aún lactantes, gemelos, hermano y hermana, llamados Stoja y Ostoja, nombres que vienen a significar soporte y perpetuidad, y los emparedara en los pilares centrales.
Elle prouve à quel point les architectes de jadis, dont on raconte qu’ils avaient affaire aux fées et à toutes sortes de prodiges et qu’ils devaient emmurer des enfants vivants, avaient le sens non seulement de la beauté et de la permanence de leurs constructions, mais aussi de l’utilité et du confort qu’en tireraient les générations les plus lointaines.
Esto demuestra cuánto sentido tenían los antiguos alarifes, de los que las leyendas cuentan que tuvieron que luchar con las hadas del río y otros prodigios o emparedar a niños vivos, no sólo para la estabilidad y la belleza de una construcción, sino también para la utilidad y comodidad que obtendrían de ella las futuras generaciones.
Jésus dit, Continue, Il y en a d’autres, reprit lentement Dieu, qui se retirent dans des lieux reculés et sauvages et qui mènent une vie solitaire dans des grottes et des cavernes en compagnie des bêtes, d’autres qui se laissent emmurer, d’autres qui grimpent sur de hautes colonnes et qui vivent là des années et des années d’affilée, d’autres, la voix diminua, s’éteignit, Dieu contemplait à présent un interminable défilé de gens, des milliers et des milliers, des milliers de milliers d’hommes et de femmes, sur tout le globe, entrant dans des couvents et des monastères, certains des constructions rustiques, beaucoup des palais superbes, Ils se cloîtrent là-dedans pour nous servir, toi et moi, du matin au soir, avec des veilles et des prières, et ils ont tous le même but et le même destin, nous adorer et mourir avec notre nom à la bouche, ils prendront des noms distincts, ils seront bénédictins, bernardins, chartreux, augustins, gilbertins, trinitaires, franciscains, dominicains, capucins, carmélites, jésuites, et ils seront nombreux, nombreux, nombreux, ah, comme j’aimerais pouvoir m’exclamer Mon Dieu, pourquoi sont-ils si nombreux.
Jesús dijo, Continúa, Otros hay, siguió Dios, reanudando lentamente la conversación, que se retiran a descampados agrestes y hacen, en grutas y cavernas, en compañía de animales, vida solitaria, otros que se dejan emparedar, otros que suben a altas columnas y allí viven años y años seguidos, otros, la voz menguó, fue decayendo, Dios contemplaba ahora un desfile interminable de gente, millares y millares, millares de millares de hombres y mujeres, en todo el orbe, entrando en conventos y monasterios, algunos son construcciones rústicas, muchos, palacios soberbios, allí permanecerán para servirnos, a mí y a ti, de la mañana a la noche, con vigilias y oraciones, y teniendo todos ellos el mismo propósito y el mismo destino, para adorarnos y morir con nuestros nombres en la boca, usarán nombres distintos, serán benedictinos, bernardos, cartujos, agustinos, gilbertinos, trinitarios, franciscanos, dominicos, capuchinos, carmelitas, jesuitas, y serán muchos, muchos, muchos, ah, cómo me gustaría poder exclamar, Dios mío, por qué son tantos.
de pared de hasta
Qu’on pense à moi chaque fois qu’il est question d’un type emmuré toute sa vie dans un asile de fous, c’est précisément ce dont je ne veux plus.
Que piensen en mí cada vez que se trata de un tío encerrado toda su vida entre las paredes de un manicomio es precisamente algo de lo que ya no quiero saber nada.
Il savait que cette femme qu’il avait emmurée lui survivrait pendant des siècles et il savait également, je suppose, que, tôt ou tard, quelqu’un la découvrirait.
Sabía que la mujer que había encerrado tras la pared sobreviviría varios cientos de años después de que él muriera, de la misma manera que tenía claro que tarde o temprano alguien la encontraría.
« La vie est une cellule solitaire dont les murs sont des miroirs. » L’image est parlante, mais ses conséquences terribles : Eugene O’Neill était emmuré vivant dans son œuvre.
«La vida es una celda solitaria con espejos por paredes.» Es una imagen elocuente, pero sus consecuencias son terribles: Eugene O’Neill estaba emparedado vivo por su obra.
Tandis que ma mère, emmurée par la paralysie, ne se lassait jamais d’évoquer le Pine Tree Hotel, les amies qu’elle s’y était faites, et l’argent qu’elle y avait gagné.
En cambio mi madre, encerrada entre cuatro paredes por su creciente parálisis, siempre estaba dispuesta a recordar el hotel Pine Tree, los amigos que allí hizo y el dinero que ganó.
Tout en longeant péniblement les ruelles poussiéreuses de la cité, il sentit renaître en lui un émerveillement muet envers cette Famille qui avait échappé aux pires déprédations des Maraudeurs et se montrait capable d’ériger ne serait-ce que de grossières structures emmurées.
Mientras deambulaba por las calles polvorientas sentía una especie de callada admiración por aquella Familia, que había escapado de los peores ataques de los Merodeadores y que no obstante se fiaba de unas burdas estructuras de gruesas paredes.
Après le déjeuner, lorsque l’histoire de la femme emmurée eut fait le tour de l’établissement (« Ils regardaient avec horreur les os qui dépassaient du bout de ses doigts, comprenant qu’elle était morte en griffant follement la pierre pour tenter de s’échapper »), j’en avais vendu encore une douzaine.
Al final de la hora de comer, cuando ya había corrido la voz sobre el cadáver enterrado en la pared («Contemplaron horrorizados los huesos de las puntas de los dedos, comprendiendo que había muerto escarbando frenéticamente para salir»), eran tres las docenas.
Il eut soudain envie d’un verre. Ce coup qu’il avait prévu de boire avec Bobby Hogan, juste avant leur découverte, vendredi. Un long moment au pub passé à se raconter des souvenirs et des histoires à dormir debout, sans corps emmurés ou abandonnés dans des pavillons d’été.
Sintió el irreprimible deseo de echar un trago, tal como había sugerido Bobby Hogan el viernes antes de que apareciese el esqueleto de la chimenea. Le apetecía tomarse unas copas sin prisas recordando y explicando viejas historias, sin cadáveres enterrados en las paredes ni en los cenadores.
On était assis là à attendre et à regarder dans le vide comme un condamné dans sa cellule, emmuré, enchaîné dans cette attente absurde et sans force, et les compagnons de captivité, à droite et à gauche, posaient des questions, donnaient des conseils et bavardaient, comme si quelqu’un d’entre nous savait ou pouvait savoir de quelle manière on disposerait de nous.
Heme sentado, esp1erando con ansiedad y la vista fija en el vacío, como un condenado en su celda, encerrado entre cuatro paredes y encadenado en una espera absurda y lánguida, y los compañeros de cautividad preguntando a diestra y siniestra, aconsejando y charlando, como si ninguno de nosotros supiera o pudiera saber cómo y qué decidirían respecto a nosotros.
C’était une vraie cave : le rez-de-chaussée de l’immeuble était creusé dans le roc, à flanc de colline. Laquelle colline était notre voisine de palier – massive, renfermée et taciturne, une colline chenue, mélancolique, engluée dans ses habitudes de vieille fille, emmurée dans son silence, somnolente, hivernale, ne déplaçant pas les meubles et ne recevant jamais de visites, ni bruyante ni gênante mais, par les deux cloisons mitoyennes, s’immisçaient jusqu’à nous, telle une odeur de moisi opiniâtre, le froid, l’obscurité, le mutisme et l’humidité de cette morne voisine.
Era un piso soterrado: el bajo del edificio excavado en la ladera de un monte. Ese monte era nuestro vecino, un inquilino recio, introvertido y silencioso, un monte viejo y melancólico que hacía vida de soltero y mantenía siempre un silencio absoluto. Era un monte adormecido, invernal, que nunca arrastraba muebles ni tenía invitados, no alborotaba ni molestaba, pero a través de las dos paredes que compartíamos con él se filtraba siempre, como un ligero y persistente olor a moho, el frío, la oscuridad, el silencio y la humedad de ese melancólico vecino.
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