Translation for "emballées" to spanish
Translation examples
Les boîtes de drapeaux dans sa camionnette, tous ces cadavres emballés dans du tissu.
Tenía la furgoneta llena de cajas con banderas y los cadáveres estaban envueltos en tela;
— Pourrais-tu m’accorder deux minutes avant que la soirée ne s’emballe ?
—Antes de que la fiesta se llene demasiado, ¿me permites hablar un momento contigo?
Laker Broome avait l’air d’un paquet bien emballé et plein de serpents.
Laker Broome parecía una bolsa llena de serpientes.
« Vous n’allez pas me croire, nous a-t-il dit la bouche pleine, j’ai emballé Steluţa.
«No me vais a creer —nos dice con la boca llena—, pero me he liado con Steluja».
— Le couper en morceaux avant de l’emballer. C’est pas les sacs en plastique qui manquent dans le placard. — Et après ?
—Cortarlo en trocitos y envolverlos. El armario está lleno de bolsas de basura. —Y luego, ¿qué?
Cato prit sa pupusa emballée dans un tabloïde et s’appropria une bouteille d’eau.
Cato recogió sus pupusas envueltas en crímenes de sangre y agarró una botella de agua medio llena.
Il fouilla dans la boîte à gants et en sortit un verre propre et bien emballé, le fixa dans la pince et le remplit à moitié avec sa bouteille.
Sacó un vaso nuevo envuelto en papel, lo puso en la abrazadera y lo llenó hasta la mitad.
ce fut elle, accompagnée de sa mère, qui retourna dans Gemara encombré par les malles des nouveaux locataires, pour emballer ce qui restait de vêtements et d'objets de ménage ;
ella fue, en compañía de su madre, quien volvió a Gemara —llena de maletas de los nuevos inquilinos— para embalar lo que quedaba de ropa y de objetos de la casa;
Et un jour, un jeune Albanais s’est fait prendre avec un réservoir plein d’opium brut, il n’était même pas emballé, juste plongé directement dans l’essence.
Y un día cogieron a un joven albanokosovar con el depósito de gasolina lleno de opio, ni siquiera habían envuelto los bloques, los habían metido directamente en la gasolina.
Elle était emballée dans une boîte guère plus grande qu’une de ces encyclopédies alignées sur une étagère du salon, derrière des figurines poussiéreuses d’anges et de poissons.
Llegó en una caja no mucho mayor que los volúmenes de la enciclopedia que se alineaban en el estante de la habitación exterior, detrás de unas figuritas de peces y ángeles llenas de polvo.
La poudre était emballée dans un sac en sisal.
El polvo estaba empacado en una bolsa de sisal tejido.
Comme toujours, leur équipement était déjà emballé, prêt au départ.
Los equipos ya estaban empacados, siempre listos por cuestiones de rutina.
Les meubles par terre, les objets emballés sans tendresse, efficacement dans certains cas, mais généralement à la hâte.
Los muebles en el suelo, todo empacado sin cariño, con eficacia en algunos casos, con prisa simplemente en la mayoría.
On a apprêté une nouvelle fois les pas de tirs, préparé et emballé de nouvelles cultures de vie microbienne.
Las plataformas de lanzamiento fueron preparadas una vez más, nuevos cargamentos de vida microbiana cultivada y empacada.
Tout était emballé dans des récipients à gravitation polarisée, ce qui neutralisait leur poids en ne laissant à combattre que la force d’inertie.
Todo estaba empacado en recipientes con polarizadores de gravedad que neutralizaban el peso, dejando sólo a la inercia luchar con ellos.
Il n’avait pas dépassé cette limite quand il était descendu dans le cellier avec grand-père pour emballer tous les objets indiens en 1950, après la mort de Père.
Eso era lo más lejos que había llegado con el abuelo cuando habían empacado todos los objetos indios en 1950, después de que mi padre muriese.
L’hôtel avait été privatisé, et nous avions déposé tout notre équipement à côté de la piscine en piles organisées, prêt à être emballé et acheminé par hélicoptère jusque dans la jungle.
La expedición se había apropiado de todo el hotel, y extendimos nuestro equipo a un lado de la alberca en pilas organizadas, listo para ser empacado y llevado a la selva.
L’appareil ne pesait pas moins d’un quintal et je lui proposai de l’aider à l’emporter lorsque nous aurions emballé nos vêtements, nos affaires personnelles, de la nourriture et de l’eau.
Toda la computadora no pesaba más que ochenta kilogramos. Le dije a Richard que todos podíamos ayudar a transportarla, después de que hubiéramos empacado la ropa, los efectos personales y algo de comida y agua.
Les gens de la maison travaillèrent dur avec nous pour nous aider à tout emballer et charger. Ils nous crièrent tristement leurs adieux quand le convoi s’ébranla enfin sur la longue route des collines.
Los granjeros habían trabajado duro junto con nosotros para que todo estuviese empacado y cargado, y nos dijeron adiós apenados mientras la procesión emprendía finalmente la marcha por la larga carretera de la colina.
Tout était bien emballé et bien fermé ; pourtant, dans un coin, sur une ancienne table de bridge en acajou, Kerans vit une collection de membres et de torses en bronze et en marbre, morceaux de statue attendant d’être triés.
Todo estaba bien empacado, pero en un rincón, sobre una antigua mesa de caoba, Kerans vio una colección de torsos y miembros de mármol, fragmentos de estatuaria no clasificados aún.
— Le sonner avec un pistolet paralysant, l’emballer dans un filet et ensuite une injection.
—Lo atontaré con una pistola de aire comprimido, le echaré una red y luego puede que le ponga una inyección.
Un silence désolé s’étendait sur la plaine pierreuse, comme comprimé et emballé et entassé pesamment là-dessus, pas même le chuchotement d’un soupir de vent, rien que le clipclop métronomique des sabots de son mustang, lui et son cheval les seules choses qui bougeaient dans tout ce vide.
Un silencio desolado cubría la pétrea llanura como comprimido y hecho un fardo y amontonado pesadamente sobre ella, ni siquiera un suspiro de viento, nada sino el hueco y cronométrico toc toc de los cascos del mustang, el caballo y él las únicas cosas que se movían en aquel vacío.
Quand j’eus terminé avec la mailloche, j’aidai à emballer les autres baraques de Rya Raines, puis je m’en fus à travers le parc en plein effondrement, donnant un coup de main partout où il en était besoin. Nous avons déboulonné les panneaux de bois, plié les tentes en parachutes prêts à s’ouvrir sur Yontsdown, démonté poutres et traverses, échangé des plaisanteries, nous nous sommes écorché les phalanges, nous avons forcé sur nos muscles, nous nous sommes coupés aux doigts, nous avons cloué les couvercles des caisses, chargé celles-ci dans les camions, arraché le plancher du pavillon des autos-tamponneuses, grogné, transpiré, juré, ri, englouti du soda, ingurgité de la bière glacée, évité les deux éléphants qui faisaient rouler les plus grosses poutres jusqu’aux camions, chanté quelques chansons (dont certaines de Buddy Holly, mort depuis déjà quatre ans et demi, son corps compressé dans la carcasse d’un Beechcraft sur le sol glacé d’une ferme entre Clear Lake, dans l’Iowa, et Fargo, dans le Dakota du Nord), et nous avons dévissé les vis, décloué les clous, dénoué les cordes, enroulé quelques kilomètres de câbles électriques et la dernière fois que j’ai regardé du côté de la grande roue, j’ai découvert qu’elle avait été entièrement dévorée, qu’il n’en restait pas le plus petit ossement.
La noria recibió otros dos mordiscos. Cuando terminé con el medidor de fuerza, ayudé a desmontar las otras concesiones de Rya Raines y después deambulé por el recinto ferial en vías de desmantelamiento echando una mano allí donde era necesario. Mientras trabajábamos, sin dejar de bromear, nos despellejábamos los nudillos, tensábamos los músculos, nos hacíamos cortes en los dedos, gruñíamos, sudábamos, maldecíamos, reíamos, sorbíamos soda, bebíamos cerveza fría, esquivábamos a los dos elefantes que arrastraban las largas vigas hasta los camiones y cantábamos canciones, incluida la escrita por Buddy Holly, muerto hacía ya cuatro años y medio y cuyo cuerpo estaba comprimido junto al de un Beechcraft Bonanza en la solitaria y helada pradera de una granja situada entre el lago Clear (lowa) y Fargo (Dakota del Norte). Desmontamos paneles de madera, doblamos tiendas envolviéndolas como paracaídas para su lanzamiento en Yontsdown, retiramos vigas y travesaños, cerramos con clavos las cajas de embalaje, las subimos a los camiones, desmontamos el suelo de planchas de madera de los autos de choque, destornillamos tornillos, desclavamos clavos, desatamos cuerdas y enrollamos varios kilómetros de cable eléctrico. Cuando volví a mirar la noria, descubrí que había sido devorada completamente, que no quedaba siquiera un hueso de ella.
Des tendons saillants et des veines serpentines emballés sous vide.
Tendones marcados y venas serpenteantes que parecen envasados al vacío.
Il sera emballé dans une caisse, comme outillage agricole, par exemple. Et nous ne serons pas les premiers à faire entrer du matériel en fraude dans ce pays.
Lo colocarán en una caja marcada como Maquinaria agrícola o algo así, y lo haremos entrar de contrabando como hace todo el mundo.
Sur le bas de la page, une photo sur deux colonnes d’un jeune homme torse nu, tout en muscles, tous parfaitement définis, découpés, saillants, au point d’avoir l’air emballés sous vide.
Abajo había una fotografía a dos columnas de un joven con el torso desnudo y montones de músculos, todos muy marcados, «cincelados» y como «fundidos» con termosoldadura.
À la mi-journée, le troisième jour, les éditions étrangères étaient emballées, la correspondance marquée et classée dans un semblant d’ordre, et Lisey avait une bonne idée des meubles qui partaient et de ceux qui restaient.
Mediado el cuarto día, las ediciones extranjeras ya estaban guardadas en cajas, la correspondencia marcada y clasificada de algún modo, y Lisey ya tenía bastante claro qué muebles conservaría y cuáles descartaría.
c’était comme emballer une action sale dans un papier immaculé. On était samedi soir, et Kim venait tout juste de récupérer les paiements de la semaine – plus de soixante paquets de billets, chacun fraîchement étiqueté au nom des commerces.
Era sábado por la noche y Kim acababa de recaudar los pagos de la semana, más de sesenta fajos de dinero en efectivo, todos envueltos en papel y marcados con el nombre del negocio.
Les mois incomparables qu’il a vécus avec Anselmo l’ont marqué pour toujours, et trois ans après leur séparation il sent encore son cœur s’emballer et sa peau se glacer quand il aperçoit un visage cuivré, une moustache fournie, des yeux d’animal triste qui lui rappellent la personne qu’il a le plus aimée de sa vie.
Los meses irrepetibles que vivió con Anselmo lo han marcado para siempre y todavía, tres años después del final, siente cómo su corazón palpita desenfrenado y su piel se enfría cuando ve un rostro trigueño, un bigote coposo, unos ojos de animal triste que le evocan a la persona que más ha amado en su vida.
La demoiselle de Finlande était si raffinée que sa mère ne la laissait pas manger le pain avec la croûte, elle le lui épluchait, il y avait tellement de monde dans le magasin qui touchait le pain non emballé – pouah ! –, tant de vachères étaient passées tâter le moelleux des miches avec leurs mains gercées, et toutes les crevasses de leurs mains gercées étaient indélébilement noircies, sans parler des ongles.
La señorita de Finlandia era tan fina que su madre no le dejaba comerse el extremo del pan y lo cortaba, porque lo había tocado todo el mundo en la tienda, qué asco. Esa parte del pan que no estaba envuelta en papel la toqueteaban las jornaleras con sus manazas agrietadas porque tenían la costumbre de comprobar si estaba recién hecho, y dejaban marcadas en el pan las grietas de sus manos, negras y pegajosas, tan negras y pegajosas como sus uñas.
Elle fixa des yeux la nuque rasée et plissée du chauffeur et s’efforça de ne plus songer à rien, s’autorisant juste à noter qu’elle avait faim et soif à présent et pensant avec désir au morceau de pain que sa belle-mère lui avait emballé et dont elle sentait contre sa poitrine les bords durs, et sa tête allait et venait de droite et de gauche, rudement ballottée au rythme des cahots de la voiture qui s’engageait maintenant sur une route large, creusée d’ornières, dont Khady pouvait apercevoir entre la tête du chauffeur et celle du passager de l’avant, à travers le pare-brise fêlé, le déroulement rapide, berçant malgré les secousses, et cette route était bordée de maisons de parpaings au toit de tôle devant lesquelles becquetaient de petites poules blanches et jouaient des enfants alertes, maison et enfants tels que Khady avait autrefois rêvé d’en avoir avec son mari au visage doux, tôle brillante, blocs de ciment bien montés, cour propre et nette et enfants aux yeux vifs, à la peau saine, qui seraient les siens et s’ébattraient sans peur au ras de la route bien qu’il semblât à Khady que le capot de la voiture allait les avaler comme il engloutissait la route creusée d’ornières, rapide et large, et quelque chose en elle voulait crier pour avertir du danger et supplier le chauffeur de ne pas dévorer ses enfants qui avaient tous le doux visage de son mari mais à l’instant où les mots allaient sortir de sa bouche elle les retenait, horriblement honteuse et déconcertée car elle prenait conscience que ses enfants n’étaient que des corbeaux au plumage hirsute qui picoraient devant les maisons et parfois hargneusement s’envolaient au passage des voitures, noir et blanc et belliqueux, vers la branche basse d’un fromager, et que dirait-on si elle s’avisait de vouloir protéger ses enfants-corbeaux, elle qui, par chance, avait encore la figure et le nom de Khady Demba et garderait son visage humain tant qu’elle serait dans cette voiture, tant qu’elle continuerait de fixer la nuque rase et grasse du chauffeur et se tiendrait ainsi hors de l’emprise de cet homme, de cet oiseau féroce au pied léger, que dirait-on de Khady Demba, Khady Demba.
Clavó sus ojos en la nuca rasurada y arrugada del conductor y se esforzó por no pensar ya en nada, sin permitirse más que constatar que ahora tenía hambre y sed y pensando con deseo en el mendrugo que su suegra le había envuelto y cuyos duros cantos sentía contra su pecho, y su cabeza iba y venía a derecha y a izquierda, fuertemente balanceada al ritmo de los traqueteos del coche que ahora tomaba por una carretera ancha, con marcadas roderas, cuyo avance rápido, acuñador pese a las sacudidas, Khady podía percibir entre la cabeza del conductor y del que viajaba delante, a través del parabrisas resquebrajado, y esa carretera estaba bordeada de casas de piedra de sillar con techo de chapa delante de las cuales picoteaban unos pollitos blancos y jugaban unos niños vigilantes, casas y niños como Khady soñara tenerlos en otro tiempo con su marido de dulce rostro, chapa brillante, bloques de cemento perfectamente colocados, patio limpio y despejado y niños de ojos vivos, de piel sana, que serían los suyos y jugarían sin miedo al borde de la carretera, por más que a Khady le pareciera que los capós de los coches fueran a tragárselos como se tragaba la carretera con roderas, rápida y ancha, y algo en ella quería gritar para avisar del peligro y suplicarle al conductor que no devorara a sus hijos que tenían el dulce rostro de su marido, pero en el momento en que las palabras iban a salir de su boca las retenía, horriblemente avergonzada y desconcertada, pues tomaba conciencia de que sus hijos no eran más que unos cuervos de plumaje hirsuto que picoteaban delante de las casas y a veces alzaban el vuelo furiosamente al paso de los coches, negros y blancos y pugnaces, hacia la rama baja de una ceiba, y ¿qué dirían si ella se proponía querer proteger a sus hijos-cuervos, ella que, afortunadamente, tenía el rostro y llevaba aún el nombre de Khady Demba y conservaría su rostro humano mientras estuviera en ese coche, mientras siguiera mirando fijamente la nuca rasurada y adiposa del conductor y se mantuviera así fuera de la influencia de ese hombre, de ese pájaro feroz de pie ligero, qué dirían de Khady Demba, Khady Demba?
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