Translation for "ellébore" to spanish
Ellébore
Translation examples
Ils ont tué une brebis qu’ils ont abondamment fourrée d’ellébore, de belladone, de petite ciguë, de soufre et de poix de cordonnier.
Mataron una oveja, la llenaron de eléboro, belladona, beleño, azufre y pez de zapatero.
Il faisait trop sombre pour voir les larges feuilles, implantées bas, de l’ellébore se détacher sur le sol ;
Demasiada oscuridad para distinguir las hojas de eléboro, bajas y espaciadas, sobre la tierra negra;
Il me contait des anecdotes pittoresques sur l’histoire de la médecine. Il me parlait de Cos, l’île des guérisons, des techniques employées par les Égyptiens, des plantes magiques comme la digitale et l’ellébore.
Me contaba coloridos relatos de historia médica: de Cos, la isla de las curaciones, de las artes de los antiguos egipcios, de hierbas mágicas como la digital y el eléboro.
S’il avait eu quelque chose de plus fort sous la main que de l’ellébore et de la belladone, la peau du dragon sécherait contre une palissade de Holopole, ma ballade serait déjà achevée et je ne moisirais pas aujourd’hui ainsi au soleil…
Si hubiera tenido a mano algo más fuerte que eléboro y belladona, el pellejo del dragón estaría secándose ahora en las empalizadas de Holopole, el romance estaría listo y yo no me estaría asando aquí al sol...
— Cette nuit ? L’Empereur réclamait le poison que Cabanis avait inventé pour Condorcet, et dont Corvisart, son médecin parisien, avait recomposé la formule : opium, belladone, ellébore… Il porterait ce mélange dans un sachet, sous son gilet de laine.
—¿Esta noche? El emperador reclamaba el veneno que Cabanis había inventado para Condorcet y del que Corvisart, su médico parisino, había recuperado la fórmula: opio, belladona, eléboro… Llevaría esa mezcla en un saquito, bajo el chaleco de lana.
Nivéole, sabot-de-Vénus, gentiane parédiante, aconit des chats, tussilage, lys ambré, campanule ridescente, euphorbe des pâtres, genépi, alchémille des neiges, fritillaire, potentille, dryade, orpin, ellébore noir, androsace, soldanelle argentée, la ronde était interminable et me faisait tourner la tête.
Nevadilla, zapatito de Venus, genciana cruciata, matalobos, uña de caballo, lirio ambarino, campánula iridiscente, euforbia del pastor, artemisa de montaña, pie de león, corona imperial, sieteenrama, dríada, vermicularia, eléboro negro, gregoria, soldanela plateada... La lista, interminable, hacía que la cabeza me diera vueltas.
L’Oberforstmeister lui montra les gros champignons aux chapeaux rouges à pois blancs sous lesquels dorment les elfes et les trolls, l’ellébore noir qui rend fou, mais qui se couvre le 24 décembre de roses de Noël, les trompettes de la mort dont les cornets putrescents quoique comestibles annoncent la proximité d’une charogne, la belladone qui tarit la sueur et dilate les pupilles, les bolets de Satan au pied cramoisi et tuméfié, et surtout ces petites cavernes échevelées de racines et de radicelles qui s’ouvrent au flanc des talus et marquent l’entrée de la demeure d’un de ces gnomes, apparemment chenus et décrépits, mais qui parlent avec une voix de tonnerre et arrêtent n’importe quel cheval en se jetant à sa tête.
El Oberforstmeister le mostró los grandes champiñones con sombreretes rojos y lunares blancos bajo los cuales duermen los elfos y los trolls; el eléboro negro, que vuelve loco pero que el 24 de diciembre se cubre de rosas de Navidad; las trompetas de la muerte, cuyos pabellones putrescentes, aunque comestibles, anuncian la proximidad de la carroña; la belladona, que seca el sudor y dilata las pupilas; los boletos de satán, hongos de talo tumefacto y carmesí;
… ce jour où nous avions mangé des oranges à l’ombre de l’usine de traitement d’eau avec ses murs jadis nus et brillants auxquels les intempéries autant que les grappes de lilas et de glycine avaient donné une patine de vieille abbaye, j’avais caressé la chevelure de Julia occupée à cueillir le vert ellébore, antique remède de la folie, dont elle entremêlait les fleurs à mes cheveux, et mes pensées avaient franchi l’austère cadre géométrique de mon crâne et de ses murailles, agrémentées malgré tout de leur floraison neigeuse, pour pénétrer jusqu’au cœur du mécanisme autonome de l’installation dont les bruits nous parvenaient, faiblement, inexorablement, indiquant qu’elle puisait, purifiait et redéversait d’innombrables tonnes d’eau de mer dans des conduites souterraines, et j’avais alors médité sur la double personnalité de Herbert Styler, représentant local de Doxford Industries sur la planète Alvo, impossible à concevoir tant elle se trouvait éloignée de l’astre pâle des hommes, mais Julia ne s’était rendu compte de rien cette fois-là et ne m’avait pas lancé son « Qu’y a-t-il ? » habituel, tandis que je me demandais si l’homme qui avait subi une restructuration expérimentale de ses neurones, encore interdite sur Terre et devant lui permettre un accès parfaitement conscient aux entrailles d’un complexe d’ordinateur géant, si donc cet homme, qui pour le compte de sa compagnie barrait le chemin à l’expansion de la COSA sur les avant-postes galactiques les plus intéressants, devait être considéré comme une machine dotée d’une personnalité humaine, ou bien comme un homme avec un ordinateur à la place du cerveau, et si, dans ce cas, ma future mission relevait vraiment de l’homicide ou d’une tout autre innovation, le mécanicide ou le cyborgicide par exemple… et tout ce temps-là résonnait en nous le sourd ressac de la mer mêlé aux vibrations plus proches de l’usine, accompagné des senteurs de fleurs et de sel que la brise transportait.
Mientras comíamos naranjas a la sombra de la planta de transformación de agua, cuyos muros en tiempos brillantes y pulidos estaban suavizados por las inclemencias del tiempo y también por la intervención de plantas y matorrales que le daban el aire de un monasterio, había acariciado el pelo de Julia y ella había arrancado el eléboro verde pálido, ese viejo remedio de la locura, mezclando aquellas flores conmigo, y mis pensamientos habían ido más allá de los rígidos diagramas de cráneo y paredes, suavizados por sus brotes, y en el funcionamiento totalmente automático de las instalaciones de la planta de agua, cuyos sonidos se repetían para nosotros, suave, inevitablemente, mientras la maquinaria purificaba y bombeaba a través de conductos subterráneos miles de litros de agua de mar, y yo consideraba la doble naturaleza de Herbert Styler, representante de campo de Industrias Doxford en el planeta llamado Alvo, tan alejado de la pálida estrella humana que formábamos como para resultar igualmente inconcebible; pero esta vez ella no se dio cuenta y dijo: «¿qué pasa?» como preguntándose si el hombre que se había sometido a una abreviación neurológica experimental de un tipo que aún se consideraba ilegal en la Tierra y que al parecer le permitía pleno acceso consciente a las tareas de un gran complejo computadorizado, si éste hombre, al que su compañía colocaba como un obstáculo en el camino de expansión de COSA en lo más escogido de los mundos exteriores, podía considerarse una máquina con personalidad humana o un hombre con mente de computadora, o si lo que se me había pedido que hiciera era en realidad homicidio o algo totalmente nuevo -mecanicidio y ciberneticidio, por ejemplo- mientras el apagado estruendo del mar y la vibración más próxima de la planta de agua nos cubrían, junto con la fragancia de los capullos y la caricia salina de la brisa.
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