Translation for "défécateur" to spanish
Défécateur
Translation examples
Je revins vers la rangée de défécateurs.
Volví a la línea de defecadores.
deux avaient essayé longtemps, avec peine et sans succès, de vivre de leur plume – ils étaient terriblement maigres et miteux – et l’un, venu des Antilles, s’était miné par l’invention d’un défécateur à double fond.
otros dos habían intentado vivir de su pluma durante largo tiempo, aunque sin éxito, y estaban extremadamente delgados y andrajosos; otro venía de las Antillas y estaba arruinado porque había inventado un aparato defecador de doble fondo.
— Sans même parler des innombrables dispositifs pour mesurer la vitesse du vaisseau à travers l’eau à l’aide de pales rotatives ou de la pression de l’océan circumambiant – des machines aussi ingénieuses que le défécateur à double fond.
–Sin contar los innumerables dispositivos para calcular la velocidad del barco, bien empleando aspas giratorias o bien midiendo la presión de las aguas circundantes, todos tan ingeniosos como el defecador de doble fondo.
et pendant que l’assemblée dévorait son mouton, on n’entendit guère autre chose que le bruit de mâchoires puissantes, quelques remarques bien intentionnées mais mal informées du capitaine Aubrey sur la dîme, et une explication détaillée du fonctionnement du défécateur à double fond, tout en bas de la table.
Y mientras comían el cordero, sólo se oyó el sonido de sus poderosas mandíbulas, algunos comentarios interesantes sobre los diezmos hechos por el capitán Aubrey y, en un extremo de la mesa, una detallada explicación del funcionamiento del defecador de doble fondo.
En dehors de l’inventeur du défécateur à double fond, dont il avait entendu l’histoire sept fois, ils n’avaient rien à dire, et ils le disaient pendant ce qui semblait des heures, tandis que son sourire, de plus en plus figé et durci, tournait au risus sardonicus.
Aparte del inventor del defecador de doble fondo, cuya historia había oído siete veces, ninguno tenía nada de qué hablar; sin embargo, todos hablaban durante largos ratos que parecían durar horas, y él los escuchaba con una sonrisa estereotipada que llegó a parecerse a la risa sardónica.
Les Lumières, éducation universelle, suffrage universel, droits de la majorité reconnus par tous les gouvernements, droits des femmes, droits des enfants, droits des criminels, affirmation de l'égalité des races, sécurité sociale, santé publique, dignité de la personne, droit à la justice — les luttes de trois siècles révolutionnaires qui triomphent cependant que les liens féodaux de l'Église et de la Famille se distendent et que les privilèges de l'aristocratie (sans aucun de ses devoirs) s'étendent, se démocratisent, principalement les privilèges libidineux, le droit d'être désinhibé, spontané, le droit d'uriner, de déféquer, de roter, de s'accoupler dans toutes les positions, à trois, à quatre, d'être polymorphe, noble en étant naturel, primitif, combinant les loisirs et la luxure inventive de Versailles avec la licence érotique sous les hibiscus des Samoa. Le romantisme sombre se répandait.
Ilustración, educación universal, sufragio universal, el reconocimiento de los derechos de la mayoría por todos los gobiernos, los derechos de la mujer, los derechos de los niños, los derechos de los criminales, la afirmación de la unidad de las diferentes razas, la Seguridad Social, la salud pública, la dignidad de la persona, el derecho a la justicia… y se ganaban las luchas de tres siglos revolucionarios mientras los vínculos feudales de la Iglesia y la Familia se debilitaban y los privilegios de la aristocracia (sin deberes) se esparcían, democratizados, sobre todo los privilegios libidinosos, el derecho a no tener inhibiciones, a ser espontáneo, orinador, defecador, eructador, a acoplarse en todas las posturas, triplicarse, cuadruplicarse, por polimorfo, noble por ser natura, primitivo, combinando el ocio y la lujosa inventiva de Versalles con la facilidad erótica de Samoa.
je préfère attendre, patiemment, je n’ai que vingt-trois ans et toute la vie devant moi, toute la vie devant moi…) ; le grand-père Felipe chaussait ses lunettes et parcourait les comptes (je ne peux pas me plaindre, tout a bien marché, la ferme prospère, les filles vont bien, Hilda a sa musique, Virginia ses livres, celle qui pourrait le plus se plaindre c’est Leticia, séparée de son mari non par un quelconque diktat ou une tyrannie de ma part, mais par un commun accord entre eux, parce qu’ils veulent attendre le futur, sans se rendre compte qu’ils l’ont peut-être déjà perdu, car il faut saisir les choses quand elles se présentent, comme on attrape les oiseaux au vol avant qu’ils ne disparaissent, comme je me suis lancé dans l’aventure socialiste jusqu’à ce que celle-ci s’épuise, et ensuite dans celle de l’Amérique qui, elle, semble inépuisable, un continent sans fond, tandis que nous, les Européens, avons avalé la totalité de notre histoire et maintenant nous la ruminons, nous l’éructons, nous la déféquons, nous sommes des défécateurs d’histoire alors qu’ici l’histoire est encore à faire, sans les erreurs de l’Europe, sans les rêves et les déceptions de l’Europe, en partant de zéro, quel soulagement, quel pouvoir, partir de rien, être le maître de son propre destin, on peut alors accepter les chutes les malheurs les erreurs car ils font partie du destin de chacun et non pas d’un lointain devenir historique, Napoléon, Bismarck, Lassalle, Karl Marx… tous ceux-ci, du haut de leurs trônes et de leurs chaires, avaient moins de liberté que celle dont je dispose ici, assis à faire les comptes d’une exploitation de café, himmel et sapristi de nom de Dieu) ;
prefiero esperar, pacientemente, sólo tengo veintitrés años, la vida por delante, la vida por delante…), se colocaba los espejuelos y recorría las cuentas el abuelo Felipe (no me puedo quejar, todo ha salido bien, la finca prospera, las muchachas crecen, Hilda tiene su música, Virginia sus libros, la que más podría quejarse sería Leticia, alejada de su marido por acuerdo entre ambos, no por ninguna imposición o tiranía de mi parte, sino porque ellos quieren esperar al futuro, sin pensar que acaso ya lo han perdido para siempre porque las cosas hay que tomarlas al instante, como se toman los pájaros al vuelo o desaparecen para siempre, como yo me lancé a la aventura socialista hasta que todo eso se agotó y entonces me lancé a América que por lo visto es algo que nunca se agota, un continente sin fondo, mientras los europeos ya nos tragamos entera nuestra historia y ahora la rumiamos, la eructamos a veces, bah, la defecamos, somos defecadores de historia y aquí hay que hacer historia primero, sin los errores de Europa, sin los sueños y los desengaños de Europa, partiendo de cero, qué alivio, qué poder, partir de la nada, ser amo del destino propio, entonces se pueden aceptar las caídas las desgracias los errores porque son parte del destino propio, no de un lejano acontecer histórico, Napoleón, Bismarck, Lasalle, Karl Marx… todos tenían menos libertad, en sus tronos y en sus púlpitos, que yo aquí, sentado haciendo las cuentas de un beneficio de café, himmel y carajo, pues) y se mecía suavemente la abuela silenciosa, Cósima, en la (rocking chair) llegada de la Luisiana en vez de la ciudad de México (quería decirle a Felipe que yo era también de esta tierra, nada más;
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