Translation for "divaguer" to spanish
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Translation examples
on les avait laissés se lever et divaguer ;
Les habían dejado levantarse y deambular;
Elle pourrait dire ensuite aux voisins qu’il avait pris l’habitude de divaguer.
Así podría decir a los vecinos que ahora le había dado por deambular de aquí para allá.
Mon esprit divague.
Dejo vagar mi mente.
Mon esprit avait tendance à divaguer.
Mi mente tendía a vagar.
— Tu les laisses divaguer ? dit Meyssonnier. — Elles n’iront pas loin.
– ¿Las dejas vagar? -dice Meyssonnier. – No irán lejos.
C’était à présent manifeste, alors que ses mains commençaient à divaguer elles aussi.
Eso era ahora evidente, cuando las manos de Nomuri empezaron también a vagar.
Frustrée, Erica posa les pieds sur son bureau et laissa divaguer ses pensées.
Con un sentimiento de frustración, puso los pies encima de la mesa y dejó vagar las ideas.
Il ne prêta plus attention au doux mouvement abrasif du rasoir, et laissa son esprit divaguer.
Cesó de concentrarse en el movimiento suave y abrasivo de la maquinilla, y dejó que su mente vagara sin orden ni concierto.
Elle laissa ses pensées divaguer tout en contemplant le fourmillement de gens dans les allées gravillonnées.
Mientras observaba el flujo incesante de personas que, apuradas, cruzaban ante ella el sendero que atravesaba el parque, dejó vagar su pensamiento.
après quelque temps, mon cerveau se mit à divaguer et je tombai dans l’une de ces longues méditations sans objet qui semblent ne se produire que lorsqu’on roule seul en voiture.
pero al cabo de un rato dejé vagar la imaginación y acabé sumiéndome en una de esas largas e inútiles meditaciones que únicamente parecen producirse cuando uno va solo en un coche.
Victoria avait fermé les yeux, la tête appuyée contre la vitre, mais elle ne dormait pas. Bercée par les cahots, elle laissait son esprit divaguer parmi ses souvenirs récents.
Victoria había cerrado los ojos y recostado la cabeza contra un lateral, pero no dormía: simplemente, mecida por el traqueteo, dejaba que su mente vagara por la memoria cercana.
La pauvre Adelina, comme je m’amuse à l’appeler en mon for intérieur, est beaucoup moins « pauvre » que je ne l’ai dit : elle couche avec moi, elle consent et exige que je la pénètre (cette expression vertueuse débouche sur une obscénité totale, car la pénétrer signifie littéralement que je me réduis tout entier à quelques millimètres qui me permettraient de divaguer, d’errer à l’intérieur d’elle ou alors, au contraire, cet intérieur aurait acquis les dimensions d’une cathédrale, basilique de Saint-Pierre, église de Notre-Dame, grotte dorée et verte d’Aracena, où je me promène (où je pénètre) avec ma taille naturelle, patinant dans les humeurs et les sécrétions, me reposant sur des muqueuses turgescentes et avançant sans désemparer vers le secret de l’univers, le laboratoire des ovaires, la clameur tonitruante des trompes (muettes) de Fallope, humant les odeurs primordiales de la terre réfugiées là et dans tous les sexes de femme, désormais sans obscénité, car le sexe n’est pas obscène, c’est une chose que je sais aujourd’hui) et à cause de cette pénétration en elle et comme, sans que ma volonté y soit pour quelque chose, elle a sa place dans la vie universelle dont elle et moi participons, juchés tout les deux sur le même rebord, sur une corniche très étroite à Chartres, je ne peux pas dire « pauvre Adelina » ni l’oublier.
La pobre Adelina, como me divierto llamándola para mí mismo, es mucho menos «pobre» de lo que digo: se acuesta conmigo, consiente y exige que yo entre en ella (esa virtuosa trans-posición resulta de una obscenidad total, pues, literalmente, entrar en ella significa que me he reducido todo yo a una dimensión milimétrica, que me permitiría digresar [preferiría que se pudiera decir digredir] en su interior, o, por el contrario, que ese mismo interior ha alcanzado un tamaño de catedral, basílica de San Pedro, iglesia de Notre-Dame, gruta dorada y verde de Aracena, por donde paseo [penetro] en mi natural tamaño, resbalando en los humores, en las secreciones, reposando en las mucosas túrgidas, y avanzando siempre hasta el secreto del universo, al laboratorio de los ovarios, al estentor de las trompas [mudas] de Falopio, respirando los aromas primordiales de la tierra allí resguardos y en todos los sexos de mujer, ahora ya sin obscenidad, porque el sexo no es obsceno, esto es algo que sé hoy), y por causa de ese entrar en ella, y ella estar, sin verdaderamente quererlo mi voluntad, en la vida general en la que yo tengo parte y ella parte, y ambos en un realce común, en una cornisa estrechísima de Chartres, no puedo decir «pobre Adelina» ni olvidarla.
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