Translation for "directoriale" to spanish
Translation examples
Il se contente de nous regarder du fond de son fauteuil directorial, curieux ou perplexe.
Se limita a mirarnos desde su sillón gerencial, curioso o perplejo.
Sur ses gardes, il s’écarta de son fauteuil directorial et tendit les deux mains en avant.
Se puso en guardia, apartó el cuerpo de su sillón gerencial y extendió ambas manos hacia delante.
Ses formes au repos sur le fauteuil directorial étaient vêtues avec la dignité d’une femme d’affaires qui cache ses appétits d’avant-dernières fêtes.
Sus formas en reposo sobre el sillón gerencial estaban vestidas con la dignidad de una señora gerente que oculta hambres de penúltimas fiestas.
Il a beaucoup aimé le rapport que vous aviez fait sur le terrorisme, voici quelques années, et je lui en ai montré plusieurs autres, celui sur les opérations des sous-marins lance-missiles soviétiques, et celui que vous venez de terminer sur les méthodes directoriales de leurs industries d’armements.
Le gustó ese informe sobre terrorismo que usted hizo hace unos años, y además, le he mostrado otros trabajos suyos, el de las operaciones de los submarinos lanzamisiles rusos y el que hizo hace poco sobre prácticas gerenciales en sus industrias de armamentos.
Ma mère ne pouvait s’en consoler ; à nouveau Josie se mit en fureur et se sentit offensée ; et mon père, avec une extrême diplomatie, un déploiement de finesse et de courtoisie qui me révélèrent, peut-être pour la première fois de ma vie, les talents directoriaux pour lesquels on le payait à la Metropolitan Life, s’efforça de lui expliquer que sa femme n’avait eu aucune mauvaise intention, qu’ils étaient ravis de la connaître, mais qu’il valait peut-être mieux pour tout le monde que Philip la reconduise à l’aéroport le lendemain.
Mi madre estaba desconsolada, Josie, una vez más, furiosa y agraviada, y mi padre, con una diplomacia extrema, una exhibición de caballerosa sutileza que me reveló, quizá por primera vez en mi vida, las habilidades gerenciales por las que le pagaban en Metropolitan Life, intentó explicarle que su esposa nada tenía contra ella, que se alegraban de haberla conocido, pero que quizá sería mejor para todos que Philip la acompañara al aeropuerto al día siguiente. Yo estaba desolado, sobre todo porque lo ocurrido era precisamente lo que había temido, y por eso no había querido que Josie me acompañara.
Vous débutez au niveau directorial.
Entras a un nivel directivo.
Cela faisait deux ans qu’il était membre du Conseil Directorial.
Llevaba en el Consejo Directivo un par de años.
Tu pourrais aussi opter pour les hauteurs raffinées de la pyramide directoriale.
Puede que incluso te guste el aire enrarecido de la pirámide directiva.
La Reine et l'apprenti s'enferment dans le bureau directorial et ça négocie ferme à ce qu'il paraît.
La Reina y el aprendiz se encierran en el despacho directivo y, al parecer, la cosa va de veras.
Les semaines qui suivirent furent consacrées à la recherche d’un état-major directorial pour épauler Brad Rogers.
Durante las semanas siguientes se dedicaron a buscar un equipo directivo que ayudase a Brad Rogers.
— Mais vous m’avez dit que la police interdisait les mouvements de personnel pendant l’enquête… Eclat du beau rire directorial :
—Pero me ha dicho usted que la policía prohibía movimiento de personal durante la investigación… Carcajada directiva:
Avant de pouvoir décider quoi que ce soit à son sujet, il était nécessaire de convoquer une assemblée directoriale du BuSab au complet.
Antes de que se pudiera decidir qué tipo de acción podía emprenderse respecto a ella fue necesaria una apresurada conferencia de todo el equipo directivo del DeSab.
La mère de Thomas prenait une part active à la vie de la commune, elle s’était fait élire membre du conseil directorial de l’école et du comité de gestion de la bibliothèque.
su madre era una mujer comprometida con los asuntos del municipio, fue elegida para la junta directiva de la escuela y para la comisión gestora de la biblioteca.
Elle donnait sur une salle de réception meublée d’un immense bureau directorial, d’un canapé de cuir blanc capitonné et de fauteuils assortis.
La puerta daba a una sala de espera con un gigantesco escritorio de los que usaban los directivos de empresa y un sofá tapizado en cuero blanco con varios sillones a juego.
Le magazine ne devait guère souffrir de cette vacance directoriale : les numéros des quatre mois suivants étaient bouclés, et les sujets ne manquaient pas pour l'avenir.
La publicación no debía de sufrir demasiado ante aquellas vacaciones directivas: los números de los cuatro meses siguientes estaban listos, y no faltaban temas para el porvenir.
Faire le compte rendu intégral d’un débat directorial anarresti serait difficile ;
Sería difícil describir un debate administrativo anarresti;
souvent déjà anéanties physiquement et moralement, ne maîtrisant plus leurs sens, délirant, pour beaucoup, affaiblies comme elles l’étaient, ne se souvenant même plus de leur nom, soit ne survécurent pas, ou que très peu de jours, à leur admission, soit, victimes d’une altération psychopathologique extrême de leur personnalité, variante d’un infantilisme déréalisant lié à une perte des capacités d’agir et de parler, furent aussitôt expédiées dans le service de psychiatrie installé dans la casemate de la caserne de cavalerie, où en règle générale, les conditions effroyables aidant, elles périssaient en l’espace d’une à deux semaines, si bien que, malgré la présence à Theresienstadt d’un nombre suffisant de médecins et de spécialistes qui, autant qu’il était en leur pouvoir, s’occupaient de leurs codétenus, malgré les caissons de désinfection à la vapeur occupant l’emplacement de la touraille à malt de la brasserie, malgré la chambre à gaz cyanhydrique aménagée par la kommandantur dans le cadre de sa campagne de lutte contre les poux et autres mesures d’hygiène, le nombre de morts – ce qui au demeurant, dit Austerlitz, était tout à fait le but recherché par les responsables du ghetto –, dans les seuls mois d’août 1942 à mai 1943, dépassa largement les vingt mille, avec pour conséquence que la menuiserie de l’ancienne école d’équitation ne fut plus en mesure de confectionner suffisamment de cercueils, que par moments plus de cinq cents défunts étaient entassés en plusieurs couches dans la morgue centrale de la casemate près de la poterne de Bohuševice et que les quatre fours à naphte du crématorium, en service jour et nuit et travaillant selon un cycle de quarante minutes, étaient utilisés à la limite extrême de leur capacité, dit Austerlitz, et sur ce système de Theresienstadt, poursuivit-il, sur ce système de travaux forcés et d’internement instauré en définitive dans l’unique but d’éradiquer la vie, dont le schéma d’organisation, reconstitué par Adler, réglait l’ensemble des fonctions et des attributions avec une minutie administrative et un zèle démentiels, depuis le détachement de brigades entières pour construire la desserte ferroviaire entre Bohuševice et la forteresse jusqu’à l’installation du guetteur chargé de maintenir en état de marche l’horloge de l’église catholique désaffectée, sur ce système il fallait exercer une surveillance constante et rendre compte en terme de statistiques, en particulier pour ce qui concernait la population globale du ghetto, une tâche exigeant un investissement inimaginable, dépassant de beaucoup les normes ordinaires, si l’on songe qu’en permanence de nouveaux transports arrivaient et que régulièrement il était procédé à des sélections en vue de diriger certains ailleurs, avec la mention administrative R.n.e., Rückkehr nicht erwünscht, retour non souhaité, ce pourquoi les responsables des SS, dont l’un des principes suprêmes était l’exactitude des chiffres, firent procéder à maintes reprises à des recensements, un jour même, dit Austerlitz, le 10 novembre 1943, dehors, devant les murs, en rase campagne, dans la plaine de Bohuševice, où la population entière du ghetto – y compris les enfants, les vieillards et les malades à peu près en mesure de marcher –, après s’être rassemblée dès l’aube dans les cours des cantonnements, a dû sortir, surveillée par des gendarmes armés, en formation par blocs, derrière des pancartes de bois numérotées, sans même pouvoir sortir des rangs ne serait-ce que quelques minutes, contrainte d’attendre tout au long d’une journée baignée d’un brouillard froid et pénétrant l’arrivée des SS qui, enfin, surgis sur leurs motocyclettes à trois heures de l’après-midi, ont entamé la procédure de recensement et ont encore par la suite répété deux fois l’opération, avant de s’être convaincus, l’heure du dîner arrivant, que le résultat auquel ils étaient parvenus, incluant le nombre des rares individus restés à l’intérieur des murs, correspondait bien à l’effectif, estimé par eux, de quarante mille cent quarante-cinq, sur quoi ils s’empressèrent de partir, oubliant dans leur hâte de donner l’ordre du retour, si bien que cette foule de milliers de personnes, en cette grise journée du 10 novembre, est restée sur place jusque tard dans la nuit, trempée jusqu’aux os, dans un état d’inquiétude croissante, ployant comme des roseaux sous les bourrasques de pluie qui maintenant balayaient la plaine, jusqu’à ce que prise d’un mouvement de panique elle reflue dans cette ville que la plupart venaient de quitter pour la première fois depuis leur transfert et dans laquelle, bientôt, dit Austerlitz, juste après le Nouvel An, dans la perspective de la visite d’une commission de la Croix-Rouge prévue pour le printemps 1944 et envisagée par les instances compétentes du Reich comme une bonne occasion de dissimuler la réalité des déportations, allait être engagée ce qu’on appela une action d’embellissement, consistant pour les habitants du ghetto à venir à bout, sous l’autorité de la SS, d’un programme faramineux d’assainissement : ainsi, on aménagea pelouses et chemins de promenade, cimetière paysagé avec urnes funéraires et columbarium, installa des bancs publics et des panneaux indicateurs joliment ornés à la manière allemande, en bois sculpté, agrémentés de décors floraux, on planta plus d’un millier de rosiers, créa une crèche et un jardin d’enfants avec frises en rinceaux, bacs à sable, pataugeoires, manèges ; quant à l’ancien cinéma Orel, qui jusqu’alors avait servi d’abri de fortune pour les plus vieux des habitants et où pendait encore du plafond, au milieu de la salle plongée dans la pénombre, le lustre gigantesque, il fut en quelques semaines transformé en lieu de théâtre et de concert, tandis que par ailleurs, avec des marchandises et matériels provenant des entrepôts de la SS, furent ouverts des magasins d’alimentation et d’articles de ménage, d’habillement pour dames et messieurs, de chaussures, linge de corps, valises et nécessaires de voyage ; désormais il y avait aussi une maison de repos, une maison de prière, une bibliothèque de prêt, un gymnase, un centre postal pour lettres et paquets, une banque dont le bureau directorial était meublé d’une sorte de table d’état-major d’armée et d’épais fauteuils de salon, tout comme un café où les parasols et chaises pliantes créaient une atmosphère de ville de cure propre à attirer le chaland ; et l’on ne cessa d’améliorer et d’embellir, de scier, de clouer, de peindre et de vernir jusqu’à ce qu’arrive le moment de la visite et que Theresienstadt, après qu’on eut une fois encore, au milieu de tout ce branle-bas, pour éclaircir les rangs en quelque sorte, expédié à l’Est sept mille cinq cents personnes parmi les moins présentables, eût été transformé en décor potemkinesque propre à tourner la tête à plus d’un de ses détenus ou pour le moins à susciter en eux certains espoirs, métamorphosé en un Eldorado où la commission, composée de deux Danois et d’un Suisse, lorsqu’elle fut promenée dans les rues selon un itinéraire et un minutage précis élaborés par la kommandantur et foula les trottoirs propres, frottés le matin même à l’eau de lessive, put voir, de ses yeux voir, ces gens aimables et satisfaits, épargnés par les horreurs de la guerre, penchés à leurs fenêtres, ces gens proprement mis, ces rares malades si bien soignés, ces repas corrects et ces portions de pain servis en gants de fil blanc dans des assiettes de porcelaine, ces affiches placardées à chaque coin de rue pour annoncer manifestations sportives, spectacle de cabaret artistique, théâtre, concert, voir ces habitants de la ville s’égailler le soir après le travail pour prendre l’air sur les bastions et les remparts de la forteresse, presque comme des touristes en croisière sur un transatlantique, un spectacle somme toute rassurant, que les Allemands, une fois la visite terminée, soit à des fins de propagande, soit pour légitimer à leurs yeux toute cette entreprise, fixèrent sur un film qui, comme le relate Adler, dit Austerlitz, en mars 1945, alors qu’une majorité des protagonistes n’étaient déjà plus de ce monde, fut encore agrémenté d’une musique populaire juive, et dont, semblerait-il, il se soit trouvé après la guerre, en zone d’occupation britannique, une copie que lui, Adler, dit Austerlitz, n’a toutefois jamais vue, et qui apparemment a aujourd’hui disparu.
con sus mejores prendas y toda clase de cosas y recuerdos totalmente inútiles en el equipaje, a menudo ya con cuerpo y alma devastados, no dueños ya de sus sentidos, delirando, sin recordar con frecuencia ni su nombre y, en su estado debilitado, no sobrevivían al llamado «paso de las esclusas» en absoluto o sólo unos días, o bien, por la extrema transformación psicopática de su personalidad, una especie de infantilismo ajeno a la realidad, acompañado de una pérdida de la capacidad de hablar y de actuar, eran llevados inmediatamente al departamento psiquiátrico situado en la casamata del Cuartel de los Caballeros, donde, en las espantosas condiciones allí existentes, morían al cabo de una o dos semanas, de forma que, aunque no faltaban en Theresienstadt médicos ni especialistas, que, lo mejor que podían, cuidaban de sus compañeros de reclusión, y a pesar de la caldera de desinfección instalada en el secadero de malta de la antigua cervecería y de la cámara de cianuro de hidrógeno y de otras medidas higiénicas introducidas por la comandancia en una gran campaña contra los piojos, la cifra de muertos —lo que por otra parte, dijo Austerlitz, estaba totalmente de acuerdo con las intenciones de los señores del gueto— ascendió, sólo en los diez meses comprendidos entre agosto de 1942 y mayo de 1943, a más de veinte mil y, como consecuencia, la carpintería de la antigua escuela de equitación no pudo hacer ya suficientes ataúdes de madera, en el depósito central de la casamata de la puerta de acceso de la calle, hacia Bohusevice, había a veces más de quinientos cadáveres echados unos encima de otros y los cuatro hornos de nafta encendidos día y noche, en ciclos de cuarenta minutos de trabajo, fueron utilizados hasta el máximo de su capacidad, dijo Austerlitz, y además, continuó, ese sistema de internamiento y trabajos forzados de Theresienstadt, omnicomprensivo y que, en definitiva, sólo se orientaba a la extinción de la vida, cuyo plan de organización, reconstruido por Adler, regulaba con un celo administrativo descabellado todas las funciones y competencias, desde la utilización de brigadas enteras para construir el tramo final del ferrocarril de Bohusevice a la fortaleza, hasta el único vigilante de la torre, que tenía que mantener en marcha el reloj de la cerrada iglesia católica, ese sistema tenía que ser constantemente supervisado y reflejado en estadísticas, especialmente en lo que al número total de habitantes del gueto se refería, una tarea que excedía con mucho las necesidades civiles, si se piensa que continuamente llegaban nuevos transportes y que regularmente se hacían selecciones para enviar a otro lado a los excluidos, marcando sus expedientes con un R.N.E.: Ruckkehr Nicht Erwünscht (retorno no deseado), por lo que también los responsables de las SS, para quienes la corrección numérica era uno de los principios más altos, hicieron varios censos, una vez incluso, dijo Austerlitz, el 10 de noviembre de 1943, en el que todos los habitantes del gueto —sin excluir a niños, ancianos y semiimpedidos—, después de haber sido congregados ya al amanecer en los patios de las barracas, tuvieron que ir a la depresión de Bohusevice, delante de los muros, al aire libre, donde, vigilados por gendarmes armados, fueron formados en bloques bajo tablillas numeradas, sin poder salir de las filas un minuto, y obligados, durante todo aquel día cubierto de bancos de niebla húmeda y fría, a esperar a las SS, que llegaron finalmente a las tres en sus motocicletas, hicieron el recuento y lo repitieron luego dos veces, antes de que, como era hora de cenar, se quedaran convencidos de que el resultado alcanzado, junto con los pocos que quedaban dentro de los muros, correspondía efectivamente a la cifra de cuarenta mil ciento cuarenta y cinco aceptada por ellos, después de lo cual se fueron deprisa, olvidando por completo dar la orden de regreso, de forma que aquella multitud de muchos miles permaneció aquel 10 de noviembre hasta muy entrada la oscuridad en la depresión de Bohusevice, empapada hasta los huesos y crecientemente excitada, inclinados y vacilantes como juncos bajo las ráfagas de lluvia que ahora barrían el campo, hasta que finalmente, empujados por una oleada de pánico, se dirigieron en masa a la ciudad, de la que la mayoría sólo había salido aquella vez desde su traslado a Theresienstadt y donde pronto, dijo Austerlitz, después de comenzar el nuevo año, en vista de la visita prevista de una comisión de la Cruz Roja a principios del verano de 1944, que las instancias decisivas del Reich consideraban una buena oportunidad de disimular el carácter de la deportación, se emprendió la llamada Verschönerungsaktion (Campaña de embellecimiento), en el curso de la cual los habitantes del gueto, bajo la dirección de las SS, tuvieron que realizar un enorme programa de saneamiento: se instalaron céspedes, senderos para pasear y un cementerio para urnas, con columbario, se pusieron bancos e indicadores que, al estilo alemán, se adornaron con tallas alegres y ornamentaciones florales, se implantaron más de mil rosales, una casa cuna para niños de pañales y una guardería con frisos de adorno, cajones de arena, pequeñas piscinas y tiovivos, y el antiguo cine OREL, que hasta entonces había servido de alojamiento miserable para los habitantes del gueto más ancianos y donde colgaba todavía del techo la gran araña en la oscura sala, se transformó en pocas semanas en sala de conciertos y teatro, mientras que en otras partes, con cosas de los almacenes de las SS, se abrían tiendas de alimentación y utensilios domésticos, ropa de señora y caballero, zapatos, ropa interior, artículos de viaje y maletas; también había una casa de reposo, una capilla, una biblioteca circulante, un gimnasio, una oficina de correos y mensajería, un banco, cuya oficina de dirección estaba provista de una especie de escritorio de mariscal de campo y un juego de sillones, así como un café, ante el que, con sombrillas y sillas plegables, se creaba un ambiente de balneario que invitaba a los transeúntes a quedarse, y las medidas de mejora y embellecimiento no acababan, se serró, martilleó, pintó y barnizó hasta que se acercó el momento de la visita y Teheresienstadt, después de haber enviado otra vez al Este, en medio de toda aquella agitación, a siete mil quinientas de las personas menos presentables, por decirlo así para aclarar, se convirtió en una ciudad digna de Potemkin, posiblemente incluso en un El Dorado que fascinó a algún que otro habitante o le dio ciertas esperanzas, donde la comisión, compuesta de dos daneses y un suizo, al ser llevada por las calles de acuerdo con un plan y horario detalladamente elaborados por la comandancia y por las limpias aceras, fregadas con lejía muy temprano, pudo ver con sus propios ojos qué personas más amables y contentas, a las que se evitaban los horrores de la guerra, miraban por las ventanas, qué atildadamente iban todos vestidos, qué bien estaban atendidos los escasos enfermos, cómo se distribuía una buena comida en platos y se repartía el pan con blancos guantes de terliz, cómo, en todas las esquinas, carteles de acontecimientos deportivos, cafés-teatros, representaciones teatrales y conciertos invitaban, y cómo los habitantes de la ciudad, al acabar el trabajo, acudían a miles a las murallas y bastiones, y tomaban allí el aire, casi como pasajeros en un transatlántico, un espectáculo en definitiva tranquilizador, que los alemanes al terminar la visita, sea con fines de propaganda, sea para legitimar ante sí mismos su manera de proceder, recogieron en una película a la que, según cuenta Adler, dijo Austerlitz, todavía en marzo de 1945, cuando una gran parte de los que colaboraron en ella no vivían ya, se le puso una música popular judía y de la que, al parecer, se encontró una copia en la zona de ocupación británica, que él, Adler, dijo Austerlitz, sin embargo no había visto y que ahora, al parecer, había desaparecido totalmente.
Yannick était alors convoquée dans le bureau directorial.
Yannick era llamada entonces al despacho directorial.
Elle régnait désormais sur le vaste magasin du premier étage, en chêne clair, à côté des bureaux directoriaux, où des milliers d’échantillons étiquetés étaient rangés sur les rayons.
Ella reinaba ya en el vasto almacén del primer piso, decorado con encina clara, junto a los despachos directoriales, en cuyos estantes estaban colocadas miles de muestras con etiquetas.
Entendant le klaxon de l’auto directoriale, l’huissier manchot se précipita pour ouvrir la porte et prendre la serviette de monsieur le directeur qui sourit gravement au chien médaillé, lut les cartes de visite d’un air ennuyé et dit qu’il recevrait demain.
Apenas oyó la bocina del coche directorial, el ordenanza manco se precipitó a abrir la puerta y coger la cartera del señor director que sonrió gravemente al perro condecorado, leyó las tarjetas de visita con cara de fastidio y anunció que recibiría mañana.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test