Translation for "dater" to spanish
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Translation examples
Et c’est d’alors que put dater « sa plaie ».
Y de entonces es la fecha de su «llaga».
Je suis un peu embarrassé pour dater ce journal.
No sé qué fecha poner en este nuevo diario.
Pouvez-vous dater ces deux visites ? 
¿Podrías poner fecha a esas dos visitas?
Aucun moyen de dater ni l'une ni l'autre.
No hay modo de determinar la fecha de ninguna de esas dos.
Je ne peux ni les dater ni leur donner un ordre.
No les puedo dar una fecha ni ponerlos en orden cronológico.
Wang devait et ne pouvait la dater que du jour de ma mort!
Wang debía poner en ella la fecha del día de mi muerte.
Je ne sais pas dater le début de la fin de notre vie sociale.
No sé poner una fecha al inicio del fin de nuestra vida social.
Il vous reste donc vingt-deux jours à dater de ce message.
Dispones de veintidós días a partir de la fecha de este mensaje.
L’accord prenait effet à dater du reçu de cette lettre. — Alors ?
El acuerdo entraba en vigor a partir de la fecha de la carta. –¿Y bien?
Vous allez prendre votre stylo pour signer et dater au dos de cette carte.
Quiero que coja su pluma y que firme y ponga la fecha al dorso de esta tarjeta.
Il existe d’autres méthodes pour dater un manuscrit.
Hay otros métodos para fechar un manuscrito.
S’il pouvait dater cette crasse, pense-t-il, il pourrait également dater le moment où son père commence à mourir.
Si fechara esa mugre, piensa, podría fechar el momento en que su padre empieza a morir.
— Ils ont pu dater leurs échantillons ? demanda Simon.
—¿Han podido fechar sus muestras? —preguntó Simon.
— Nous pouvons dater avec une bonne exactitude les événements passés ;
—Podemos fechar con bastante exactitud los acontecimientos pasados;
 Dès que le musée aura ôté ces bandelettes, ils pourront dater précisément les restes.
—Cuando los del museo le hayan quitado los vendajes —explicó—, podrán fechar los restos con exactitud.
miss Lydia dessinait ou écrivait à ses amies, afin de pouvoir dater ses lettres d’Ajaccio.
miss Lydia pintaba o escribía a sus amigas para poder fechar sus cartas en Ajaccio.
Son esprit se mit automatiquement en branle pour tâcher de dater et situer ce dialogue inachevé avec une femme inconnue.
Su mente se aplicó automáticamente a fechar y situar este diálogo abortado con una mujer anónima.
Il y revenait sans cesse, évoquant pour dater les événements leurs maladies et le souci qu'elles lui avaient donné.
Volvía una y otra vez al tema de los perros, mencionando, para fechar los acontecimientos, las enfermedades que habían sufrido y la preocupación que le habían causado.
Il est difficile de dater avec précision le moment exact où Homo Sapiens est devenu synonyme de « sous-homme ».
Es difícil fechar con precisión el momento exacto en que Homo sapiens se convirtió en sinónimo de «subhombre».
Vous savez, il est possible de dater le premier contact d’un groupe de trolls avec les hommes d’après leur répertoire vocal.
¿Sabías que es posible fechar el primer contacto con los humanos de cualquier grupo de trolls por las canciones que cantan?
Puis il vit sortir de la tente deux solides gaillards armés de lances qui devaient bien dater de la croisade ;
Después vio salir de la tienda a dos fuertes mozos armados de lanzas que debían datar de la cruzada;
« Orgullosa de que lo fuera », avait donc dit Paula, et elle aurait également pu dire « que lo fuese », car ce subjonctif-là se paie en castillan le luxe d’avoir deux formes, faces ou facettes où miroiter, prenez-en de la graine), « j’étais fière de le voir provoquer chez ma mère cette allégresse triomphale dont j’ignorais les vrais motifs mais qui se manifestait de façon criante, je veux dire chantante, sa voix de soprano égrenant des passages de La Corte de Faraón particulièrement des extraits du chœur des veuves de Thèbes, de leurs conseils à la future mariée : “Cuídalo, mímalo, no le digas a nada que no…” et pendant qu’elle chantait cela, qu’il fallait soigner son mari, le chérir et le câliner, ne rien lui refuser, je la voyais courbée devant lui, accrochée des deux mains aux barreaux de cuivre de la tête du lit, offrant docilement sa croupe qui bougeait en cadence pendant qu’il la chevauchait tout en lui murmurant des mots que j’avais du mal à distinguer sous le tonnerre cristallin de sa voix à elle, des mots que je n’ai déchiffrés que plus tard – car il faut vous dire que ces scènes se sont prolongées sous mes yeux pendant des années, mes premiers souvenirs remontant à l’époque où j’avais trois ans, vers 1948, c’est après une série de calculs et de recoupements dont je vous fais grâce que je suis arrivée à cette conclusion, mais il y en a d’autres qui se superposent à ceux-là, d’autres souvenirs qui déteignent sur les premiers, qui les modifient peut-être même, et qui doivent dater de ma cinquième ou sixième année, époque à laquelle je distinguais parfaitement les mots qu’Otelo murmurait à ma mère, que je ne vous répéterai pas maintenant, non par discrétion ni par pudeur, mais parce que l’essentiel n’était pas dans ce double monologue entre la voix chantante de ma mère et celle susurrante d’Otelo la traitant de tous les noms qui servent à flatter les juments, la traitant de pouliche blonde ou royale et se mettant lui-même en scène comme cheval entier, ¡ caballo, caballo !, étalon la chevauchant inlassablement, non, l’essentiel c’était précisément cet attribut massif de l’étalon que je voyais aller et venir, pénétrant dans le corps de ma mère et en ressortant sur un rythme majestueux qui parfois se précipitait, provoquant alors des trilles rauques dans sa voix à elle, des injures de palefrenier dans ses mots à lui, pour revenir ensuite à ce va-et-vient d’une fascinante lenteur, l’essentiel c’était le sceptre de bronze dont j’admirais la splendeur massive lorsque Otelo s’arrachait finalement avec un cri des entrailles de ma mère, laquelle se retournait vivement, muette et moite, les yeux exorbités, pour recevoir sur son ventre et sa poitrine le flot de sa semence, l’essentiel était, depuis le premier jour, ce membre dressé dont l’absence marquait mon corps d’une blessure béante, dont j’ai souhaité douloureusement la possession depuis ma plus tendre enfance, n’aimant les femmes que d’un amour irréalisable qui les ferait chanter, crier, hurler, pleurer de joie sous la caresse violente d’un sexe qui m’était refusé ! »
—Yo apartaba, pues, la sábana blanca —decía Paula, prosiguiendo su relato— y veía a Otelo…, es curioso, me cuesta decir «mi padre», y, sin embargo, sabía que era mi padre, estaba orgullosa de que lo fuera, estaba orgullosa de verle provocar en mi madre esa alegría triunfal cuyos verdaderos motivos yo ignoraba, pero que se manifestaba desgranando con su voz de soprano pasajes de La Corte de Faraón, en especial fragmentos del coro de las viudas de Tebas, de sus consejos a la futura casada: «Cuídalo, mímalo, no le digas a nada que no…» y, mientras ella cantaba esto, yo la veía encorvada delante de él, agarrada con las dos manos a los barrotes de la cabecera de la cama, ofreciéndole dócilmente su grupa, que se balanceaba cadenciosamente mientras él la cabalgaba al tiempo que le murmuraba palabras que a mí me costaba distinguir bajo el cristalino trueno de la voz de ella, palabras que no descifré hasta más tarde, pues debo decir que estas escenas se prolongaron durante años ante mis ojos, ya que mis primeros recuerdos se remontan a la época en que yo tenía tres años, hacia 1948, conclusión a la que he llegado después de una serie de cálculos y verificaciones que pasaré por alto para no aburriros, pero hay otros que se superponen a ésos, otros recuerdos que destiñen sobre los primeros, que incluso los modifican quizás, y que deben de datar de mi quinto o sexto año de vida, época en la que yo distinguía perfectamente las palabras que Otelo murmuraba a mi madre y que no os repetiré ahora, no por discreción ni por pudor, sino porque lo esencial no estaba en ese doble monólogo entre la voz cantante de mi madre y la susurrante de Otelo al llamarla con todos los nombres que sirven habitualmente para halagar a las yeguas, llamándola potranca rubia y poniéndose a sí mismo en escena como caballo entero, semental cabalgándola incansablemente, no, lo esencial era precisamente ese macizo atributo que yo veía ir y venir, penetrando en el cuerpo de mi madre y volviendo a salir con un ritmo majestuoso que a veces se precipitaba, provocando entonces roncos trinos en la voz de ella e injurias de palafrenero en la de él, para tornar luego a este ir y venir de fascinante lentitud, lo esencial era el cetro de bronce cuyo macizo esplendor yo admiraba cuando Otelo se apartaba finalmente con un grito de las entrañas de mi madre, la cual se volvía vivamente, muda y húmeda, desencajados los ojos, para recibir en su vientre y en su pecho el torrente de su semen, lo esencial era, desde el primer día, ese miembro erguido cuya ausencia hendía mi cuerpo con abierta herida, cuya posesión he deseado dolorosamente desde mi más tierna infancia, no amando a las mujeres sino con un amor irrealizable que les haría cantar, gritar, aullar, llorar de gozo bajo la caricia violenta de un sexo que me era negado.
Si le compte n’a pas été touché dans un délai d’un an à dater d’aujourd’hui, l’argent sera automatiquement transféré vers une de nos banques.
Si la cuenta no se utiliza en un plazo de un año a partir de ahora, los fondos volverán automáticamente a una de nuestras cuentas.
Il avait toujours cru qu’il accomplissait sa part du marché, rejetant les propositions les plus alléchantes pour affronter les incompétents, les gouvernements, les promoteurs égocentriques dont les projets grandioses semblaient dater de plus d’un siècle, pour travailler avec la nature et non contre elle.
Durante todo aquel tiempo, él había pensado que cumplía con su parte del acuerdo, rechazando lucrativos contratos para enfrentarse a la incompetencia en el ramo, apremiando a gobiernos y planificadores egoístas con esquemas grandiosos a que miraran a más largo plazo que una sola década, a trabajar con la naturaleza en vez de ir siempre contra ella.
— Disons trente et n’en parlons plus. Trente mille livres pour la clôture installée dans trois semaines, à dater d’aujourd’hui, avec une gratification de mille livres par jour en moins et une pénalité de retard de deux mille livres par jour.
 —Pongamos treinta, pero empiece ahora mismo —dijo Lady Maud—. Treinta mil libras para que la valla esté construida dentro de tres semanas contando a partir de hoy, más una prima de mil libras por cada día de antelación respecto a esas tres semanas, y una cláusula de penalización de dos mil libras por cada día que pase del plazo de tres semanas.
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