Translation for "cérium" to spanish
Cérium
Translation examples
Les analyses ont confirmé une forte concentration de néodymium, de cérium et de dysprosium. — Excellent.
Las pruebas han confirmado altas concentraciones de neodimio, cerio y disprosio. —Estupendo.
Il y a plus de cérium sur terre que de cuivre, plus de néodyme et de lanthane que de cobalt ou d’azote.
En la Tierra hay más cerio que cobre, más neodimio y lantano que cobalto o nitrógeno.
En secret machine pensante, cet-agent-ci re-citationne : « Carbone, cérium, césium… »
En secreto, la máquina interior de pensar del agente-yo, sin voz alta, dice: «... carbono... cerio... cesio...».
ainsi que le palladium et le cérium, découverts quelques années plus tard et associés aux astéroïdes Pallas et Cérès.
y pocos años después, el paladio y el cerio, cuyos nombres derivaban de dos asteroides recientemente descubiertos: Palas y Ceres.
Les vêtements de Chalker étaient contaminés par des isotopes radioactifs imprégnés notamment de cérium 144, de baryum 140, d’iode 131 et de césium 137. Il s’agit de produits de fission classiques, présents en cas d’accident de criticité impliquant de l’U-235.
Sus ropas estaban contaminadas con isótopos radioactivos, entre ellos cerio-144, bario-140, yodo-131, y cesio-137, todos ellos subproductos típicos de un incidente de masa crítica con uranio-235.
et, à l’issue d’innombrables expérimentations, le chimiste allemand Auer von Welsbach finit par tomber sur la combinaison idéale en 1891 : 99 % de thorine devait être mélangé à 1 % d’oxyde de cérium — ce rapport était critique : les proportions de 100 contre 1 ou de 98 contre 1 étaient beaucoup moins efficaces, avait remarqué Auer.
Auer von Welsbach, en Alemania, experimentó con innumerables combinaciones hasta que en 1891 dio con la ideal: 99 partes de toria y una de óxido de cerio. La proporción era fundamental: Auer descubrió que si era de 98 y 1, o 100 y 1 resultaba mucho menos efectiva.
J’allais être appelé à retrouver ce personnage à deux reprises, d’abord, en cours de biologie, comme l’un des fondateurs de la paléontologie, et ensuite, en faculté de médecine, comme auteur du célèbre Essay on the Shaking Palsy*1 — étude de ce que nous appelons aujourd’hui la « maladie de Parkinson ». Mais, pour l’enfant de onze ans que j’étais, Parkinson n’était rien d’autre que le rédacteur d’un passionnant abrégé de chimie : ce livre de poche dépeignait l’essor explosif que cette discipline avait connu au début du XIXe siècle, Parkinson parlant notamment des dix métaux nouveaux (l’uranium, le tellure, le chrome, le colombium [ou niobium], le tantale, le cérium, le palladium, le rhodium, l’osmium et l’iridium) qui avaient été découverts au cours de la décennie précédente.
El autor era James Parkinson, de Hoxton, con quien volvería a encontrarme en mi época de biólogo, pues había fundado la paleontología, y luego, cuando era estudiante de medicina, como autor del famoso Ensayo sobre la parálisis temblorosa, que con el tiempo se acabaría conociendo como enfermedad de Parkinson. Pero para mí, a los once años, era tan sólo el autor de ese delicioso librillo de química. Ese libro me había hecho ver cómo la química se había expandido, de manera casi explosiva, a principios del siglo XIX; así, Parkinson hablaba de diez nuevos metales —uranio, telurio, cromo, colombio (o niobio), tantalio, cerio, paladio, rodio, osmio, iridio— que habían sido descubiertos pocos años antes. Gracias a Griffin me hice una idea clara del concepto de «ácidos» y «álcalis» y de cómo se combinaban para producir «sales».
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