Similar context phrases
Translation examples
— Pas pendant les crues.
—No en la época de las inundaciones.
(« Cinq ou six ans avant la grande crue. » « Lors de la grande crue. »)
(«Cinco o seis años antes de la gran inundación», «durante la gran inundación»).
Quoi ? Le Mississippi est de nouveau en crue ?
¿Qué? ¿Una nueva inundación en el Mississippi?
Nous avons recommencé. Une nouvelle crue les a détruites.
Volvimos a reconstruirlos, y llegaron otras inundaciones.
Josef a travaillé en Chine pendant une crue.
Josef trabajó en China durante las inundaciones.
Les crues l’ont épargné car il est loin de la rivière. »
Está lejos del río, así que no ha sido arrasado por las inundaciones.
Les ponts étaient hauts en raison des crues d’hiver.
Los puentes son muy altos con vistas a las inundaciones invernales.
Vous vous souvenez pas de la crue de 1885 par hasard ?
No se acuerda de las inundaciones de 1885, ¿verdad?, preguntó el ayudante.
— Mais vous ne pouvez pas utiliser la route, en période de crue.
—Pero así, durante las inundaciones ustedes no pueden utilizar el camino.
C’était comme le Mississippi en crue coulant dans sa tête.
Era como si el Mississippi estuviera corriéndole por la cabeza en plena inundación.
contenue par la colonne qui la domine et s’élève, l’obscurité des profondeurs ne peut pas se répandre comme un fleuve en crue.
contenida por la columna que la domina y se eleva, la oscuridad de las profundidades no puede inundar y sumergir todo como un río desbordado.
Cheng et les camions avaient quatre heures d’avance, ils avaient certainement eu la chance de passer les gués avant les crues.
Cheng y los camiones frigoríficos les llevaban casi cuatro horas de ventaja. Debían de haber cruzado los lechos antes de que la tormenta los inundara.
Il tua Doryclos puis blessa Pandocos et encore Lysandre et Pyrasos et Pylartès : on aurait dit un fleuve en crue, descendu des montagnes pour inonder la plaine en entraînant avec lui les pins et les chênes, et la boue, jusqu’à la mer.
Mató a Doriclo y luego hirió a Pándoco, y también a Lisandro y Píraso y Pilartes: parecía un río desbordado, descendiendo de las montañas para inundar la llanura arrastrando consigo encinas y pinos, y barro, hasta el mar.
C’étaient les frères de la crue qui s’étaient mis en quête de Billy Harrow, et s’ils le ramenaient à l’ambassade, ma foi…
era la Hermandad del Santo Diluvio la que buscaba a Billy Harrow, y si eran ellos quienes lo llevaban de vuelta a la embajada del mar, ¿qué?
Lorsque ces crues survenaient, les cours d’eau violents arrachaient toute la végétation qui s’était développée sur les dunes humides depuis le dernier déluge.
sus torrentes arramblaban con cualquier tipo de vegetación que hubiera echado raíces después del último diluvio entre las dunas bajas y saturadas.
Délaissant ma voiture, je poursuis à pied, et je me perds aussitôt au milieu d’un déluge de légumes et de fruits qui crée au cœur de Paris un super-jardin potager, un super-verger avec leurs odeurs violentes et doucereuses et leurs couleurs crues exaltées par la lumière métallique des lampes à acétylène.
Aparco el coche, continúo a pie y en seguida me pierdo en medio de un diluvio de frutas y hortalizas que forman una huerta monumental en el corazón de París, una huerta con sus olores violentos y dulzones y sus colores crudos, exaltados por la luz metálica de las lámparas de acetileno.
Les orages passeraient dans le ciel sans qu’il pleuve ; notre père et Clay attendraient des années avant que leur pont soit mis à l’épreuve. Ou bien la crue les surprendrait plus tôt que prévu pendant qu’ils travailleraient comme des damnés. Il est indéniable que leur plus grand moment fut celui où ils enlevèrent les étais et que les arches tinrent bon.
Que pasaran de largo sin dejar lluvia, y entonces tendrían que esperar años a hacer la prueba. O que el diluvio llegara demasiado pronto, mientras aún trabajaban a la desesperada para terminar. Seguramente el momento más espectacular se produjo cuando retiraron la armadura —la cimbra— para dejar que los arcos se tuvieran solos en pie.
Dans le gris du ciel bas, dans la brique gangrenée des murs de séparation, dans les angles coupants des pâtés de maisons, dans la vitesse avec laquelle les gens marchent sous leur parapluie, dans la gloutonnerie obscène de quelqu’un qui mange un hot-dog dégoulinant de moutarde ou se fourre d’un coup une tranche de pizza dans la bouche grand ouverte, dans tous ces détails auxquels d’habitude je ne fais pas attention, je découvre aujourd’hui, harcelé par la pluie, que dans cette ville il n’y a ni trêve ni miséricorde dans le travail, dans la poursuite de l’argent et du succès, ou de la survie la plus crue, que c’est l’avidité, l’élan de l’industrie, la richesse du commerce et non pas le romantisme qui ont élevé ces tours dont les étages les plus hauts sont aujourd’hui effacés par les nuages, qui ont initié cette force motrice qui conserve en mouvement une vaste machinerie souvent sur le point de se gripper en une catastrophe, dans la durée de ce déluge terrestre.
En la grisura del cielo bajo, en el ladrillo gangrenoso de las medianerías, en los ángulos cortantes de las esquinas, en la velocidad con que camina la gente bajo los paraguas, en la obscena glotonería con que alguien se come un perrito chorreante de mostaza o se mete de un golpe un trozo de pizza en la boca muy abierta, en todos esos pormenores en los que habitualmente no reparo, hoy descubre uno, hostigado por la lluvia, que ésta es una ciudad en la que no hay tregua ni misericordia en el trabajo y en la búsqueda del dinero y del éxito, o de la más cruda supervivencia, y que fue la codicia, el empuje de la industria, la riqueza del comercio, y no el romanticismo, lo que levantó esas torres cuyos pisos más altos quedan hoy borrados por las nubes, la fuerza propulsora que mantiene en movimiento una vasta maquinaria que tantas veces parece a punto de colapsar en el desastre, en la duración del diluvio terrenal.
Comment Taita a-t-il construit le puits en dessous du niveau du Nil pour mesurer la crue du fleuve ?
Y ya que estamos, ¿cómo hizo Taita para construir el pasadi­zo subfluvial que medía el flujo del Nilo?
Les crues de printemps avaient poussé contre la brèche de la berge le tronc d’un peuplier, créant un abri naturel contre le vent.
El flujo de los manantiales había traído el tronco de un gran álamo a la ladera, creando una barrera natural contra el viento.
Le canoë était propulsé comme une brindille, sans aucune prise sur l’eau. La crue les emportait inexorablement à l’intérieur de la ville, sans ménagement car les bâtiments brisaient le courant et faisaient bouillonner les flots.
La canoa avanzaba vertiginosamente, vapuleada por el agua como una diminuta rama. La riada los conducía de forma inexorable hacia Oxford, pero el recorrido era complicado y turbulento, porque los edificios que afloraban interrumpían el flujo y hacían encrespar el agua.
Moi. Chef. La colère noire bouillait encore en lui, mais elle avait désormais comme une forme, celle qu’une gorge donne à une rivière en crue quand elle la rétrécit, la force à couler plus vite, quand elle la dirige.
Yo. Líder. La rabia le seguía hirviendo por dentro, al rojo vivo, pero ahora había cobrado una especie de forma, como la forma que un cañón le da a un río en pleno flujo, estrechándolo, obligándolo a discurrir más deprisa, proporcionándole una dirección.
Elle voulait sa mort en dépit de sa vision d’une société qui fournirait des emplois convenablement payés à des jeunes gens comme lui (de sorte qu’il n’aurait pas besoin de lier les poignets et les chevilles de son ancienne thérapeute et de lui arracher les mots de passe de sa carte de retrait bancaire et de ses cartes de crédit), une société qui étancherait le flot des drogues illégales dans les quartiers déshérités (de sorte que Withers n’aurait pas pu dépenser l’argent volé en crack et aurait eu l’esprit plus clair quand il était retourné à l’appartement de son ancienne thérapeute, qu’il ne se serait pas mis à fumer le caillou et à la torturer, par intermittence, pendant trente heures), une société où les jeunes gens auraient eu d’autres choses en lesquelles croire que les produits de marque (de sorte que Withers n’aurait pas fait une fixation aussi violente sur le cabriolet de son ancienne thérapeute et l’aurait crue quand elle lui avait juré qu’elle avait prêté la voiture à une amie pour le week-end, aurait accordé moins d’importance à la présence de deux jeux de clés (« Pas pu encaisser ça », expliqua-t-il dans ses aveux partiellement extorqués mais néanmoins légalement valides, « toutes ces clés sur la table de la cuisine, voyez ce que je veux dire ?
Deseaba su muerte, a pesar de que imaginaba una sociedad capaz de ofrecer puestos de trabajo con un salario digno para jóvenes como él (para que no se vieran obligados a atar por las muñecas y los tobillos a su antigua terapeuta artística y arrancarle las claves de sus tarjetas bancarias y de crédito), una sociedad capaz de detener el flujo de drogas hacia los vecindarios urbanos (de modo que Withers no hubiera podido gastarse el dinero robado en crack y se hubiera hallado en mejores condiciones mentales cuando volvió al apartamento de su antigua terapeuta y no hubiera procedido a fumarse la piedra y torturarla a ella, intermitentemente, durante treinta horas), una sociedad en que los jóvenes pudieran creer en algo más que las marcas de los bienes de consumo (de modo que Withers no se hubiera obsesionado tan demencialmente con el Cabriolet de su antigua terapeuta artística y la hubiera creído cuando le dijo que se lo había prestado a una amiga para el fin de semana y no hubiera prestado tanta importancia al hecho de que tuviera dos juegos de llaves —«No pude superarlo», explicó, en su confesión parcialmente forzada, pero admisible ante el tribunal, «todas esas llaves, ahí, encima de la mesa de la cocina, ¿comprenden lo que les digo?
Vous deviez y entrer, vous savonner avec un tampon de luffa, puis replonger dans l’eau, grand-mère arrivait sur ces entrefaites, elle vous forçait à vous agenouiller dans la baignoire, vous maintenait fermement par le bras et vous frottait de fond en comble, de la tête aux pieds et des pieds à la tête, avec une sorte de brosse hérissée de poils redoutables, pareille au peigne de fer avec lequel l’Empire romain avait écorché vif rabbi Akiva et d’autres martyrs, jusqu’à ce que la peau ressemble à de la viande crue, grand-mère vous commandait alors de fermer les yeux très fort et puis elle vous frictionnait la tête en vous grattant le cuir chevelu avec ses ongles, tel Job avec son tesson, tout en vous expliquant de sa voix bistre, bien timbrée, qu’au cours de la nuit, pendant le sommeil, les glandes produisaient des miasmes de crasse malsaine, une sorte de transpiration visqueuse, des déchets corporels graisseux, des débris de peau malpropres, des cheveux, quantité de cellules mortes dégoûtantes et autres sécrétions liquides troubles, Dieu nous en préserve, « et pendant que tu dors, tous ces résidus qui recouvrent ton corps se mélangent et invitent carrément les microbes, les bacilles et même les virus à venir t’infester, sans parler de ce que la science n’a pas encore découvert, ce qu’on ne peut pas distinguer, même avec un microscope très puissant, et même si on ne les voit pas, ils se promènent toute la nuit sur toi avec leurs millions de fines pattes poilues et répugnantes, comme celles des cafards, sauf qu’elles sont si minuscules qu’elles sont invisibles et que même les savants ne voient rien, et avec leurs pattes sales et pleines de poils, ils s’infiltrent à l’intérieur de nous en passant par le nez, la bouche et par tu sais quoi, d’autant que les gens ne se lavent jamais comme il faut dans ces endroits pas jolis jolis et qu’ils s’essuient en plus, comme si s’essuyer, c’était se laver, alors que c’est juste faire pénétrer ces matières infectes dans les millions de minuscules trous qu’on a sur la peau, de sorte que tout devient là-bas de plus en plus pourri, humide et dégoûtant, surtout que la saleté produite par notre corps à l’intérieur, jour et nuit, se mélange à la saleté du dehors qu’on attrape au contact de choses pas très hygiéniques dont on ne sait pas qui les a touchées avant vous, comme l’argent, par exemple, les journaux, les rampes d’escaliers, les poignées de portes ou même la nourriture qu’on achète, qui sait si quelqu’un ne vient pas juste d’éternuer sur quelque chose que tu as pris, ou si, tu m’excuseras, il ne s’est pas mouché et que quelque chose est tombé sur les papiers de bonbons que tu ramasses dans la rue et que tu mets sur ton lit où tu dors juste après, sans parler de ta collection de bouchons de bouteilles que tu déniches dans les poubelles, et le maïs que ta mère, qu’elle reste en bonne santé, t’achète chez ce type qui ne s’est peut-être pas lavé ni essuyé les mains après avoir fait tu sais quoi, excuse-moi, et comment savoir s’il n’est pas malade ?
Tu deber era mojarte, enjabonarte bien, frotarte con un ovillo rizado, un estropajo al que se llamaba lipa, y volverte a mojar, entonces llegaba la abuela y te ponía de rodillas en la bañera, te agarraba con fuerza del brazo y con sus propias manos te restregaba de arriba abajo y de abajo arriba con una especie de cepillo de crin terrorífico, como los peines de hierro del malvado Imperio romano, esos peines de hierro que desollaron a rabí Aquiba y al resto de las víctimas del Imperio, hasta que tu piel se ponía rosada como la carne cruda, y entonces la abuela te ordenaba cerrar bien los ojos, te enjabonaba la cabeza y te frotaba el cuero cabelludo con las uñas, como Job mortificando su cuerpo con el casco de una vasija, y mientras tanto te explicaba con su voz marrón, agradable, el estercolero de inmundicias que segregaban las glándulas corporales cada noche al dormir, como un sudor pegajoso y todo tipo de materia grasa expulsada por el cuerpo y porquería de escamas de la piel y caída del pelo y restos de un montón de células muertas y toda clase de turbios flujos que es mejor no nombrar, y mientras duermes y no sientes nada todas esas sustancias corporales se impregnan en tu cuerpo, se mezclan e invitan, literalmente, a los microbios, a los bacilos y a los virus a que se reproduzcan en él, por no hablar de todo lo que la ciencia aún no ha descubierto, todo lo que aún no se puede ver siquiera con el microscopio más potente, pero aunque no se vean, están toda la noche andando por tu cuerpo con trillones y trillones de patitas peludas, sucias y repugnantes, con patas idénticas a las de las cucarachas aunque mucho más pequeñas, tan pequeñas que no se ven, ni siquiera los científicos las han podido ver aún, y con esas patas llenas de fibras asquerosas reptan y entran de nuevo en el cuerpo a través de la nariz y la boca y a través de, no tengo que decirte a través de qué otra cosa entran, porque en esos sitios feos la gente no se lava nunca como es debido pues secarse no es lo mismo que lavarse, es sólo extender los fluidos inmundos en los millones de orificios diminutos que tenemos en la piel, y todo se vuelve más y más inmundo, sudado y asqueroso, sobre todo cuando la suciedad interior del cuerpo que segregamos día y noche se mezcla con la suciedad externa que se nos pega de cosas poco higiénicas que quién sabe lo que habrán tocado antes. Como, por ejemplo, dinero, periódicos, la barandilla de una escalera, el picaporte de la puerta o incluso la comida que compramos, pues vete tú a saber quién habrá estornudado antes sobre lo que estás tocando, o quién, perdona que te lo diga, se ha limpiado la nariz cerca o se la ha sonado justo encima del papel de plata que tú recoges en la calle y luego pones en la cama donde después dormirá alguien, por no hablar de los tapones que coges directamente de la basura y de la mazorca de maíz caliente que tu madre, Dios le conserve la salud, te compra y que toma de la mano de ese hombre que tal vez ni se ha lavado ni secado las manos después de hacer, con perdón, y además ¿cómo podemos saber si es una persona sana?
La voix inonde la mosquée comme un torrent en crue.
La voz inunda la mezquita como la crecida de un torrente.
Percy riva le regard sur la crue de poison qui l’attaquait de toutes parts.
Miró el torrente de veneno que lo rodeaba por todas partes.
Ma femme est une crue violente, flot de mots, une tempête éparpillée.
Mi mujer es un torrente violento, un alud de palabras, una borrasca que se desata.
Il était descendu de son char et se ruait dans la plaine comme un torrent en crue, gonflé par les pluies.
Había bajado del carro y se movía con furia en la llanura, igual que un torrente desbordado por las lluvias.
La crue subite était due à l’orage qui avait frappé les falaises escarpées, plus loin vers le sud.
El torrente procedía de los escarpados acantilados del sur, donde una tormenta descargaba sobre el desierto.
C’était sans doute la raison du mauvais état de la route. Partout se voyait la trace des crues de printemps.
Es posible que se debiera a esto el mal estado de la carretera, en la que eran visibles por todas partes las huellas de los torrentes primaverales.
Le vent, la pluie et le grondement du fleuve en crue lacéraient sa voix comme un vulgaire mouchoir en papier.
El viento, la lluvia y los torrentes de agua se llevaron su voz, como si fuera un mero trozo de papel.
À marée haute, le courant traversait le détroit comme un torrent en crue dans un ravin étroit.
Cuando la marea llegó a su altura máxima, el agua corría por el estrecho como un torrente en crecida al pasar por un angosto desfiladero.
Va, mon coursier, enjambe les crues des montagnes, passe les déserts du temps, remonte les errances du vent et continue.
¡Franquea los torrentes de las montañas, atraviesa los desiertos del tiempo, remonta el correr del viento y continúa! ¡Más deprisa, compañero!
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