Translation for "cous" to spanish
Translation examples
Cou de paonne ou cou de cygne,
Cuello de pavo real o cuello de cisne.
Regarde ses boucles, et son cou, la ligne de son cou. Il a un cou comme le tien, un peu... Et ses épaules...
Mira sus rizos y su cuello, sobre todo el perfil de su cuello. Tiene un cuello como el tuyo, un poco… Y los hombros…
Le cou. Le type avait quelque chose autour du cou.
El cuello. El hombre llevaba algo en el cuello.
Nous sommes dans le cou, n’est-ce pas ? » « Oui. » Dans le cou ? se dit Grant.
Ahora estamos en el cuello, ¿no? —Sí. Grant pensó: ¿en el cuello?
— Qu’est-ce que tu as au cou ?
–¿Qué es eso que tiene en el cuello?
J’en ai un dans le cou !
¡Tengo una en el cuello!
Sous la tête il y avait un cou, un long cou, un très, très long cou, pour sûr.
Debajo de la cabeza aparecía un cuello, un largo cuello, un cuello verdaderamente larguísimo.
— Alors, ils n’ont pas de cou ?
—Pero ¿no tienen cuello?
– Non, c’est mon cou !
—¡No, es mi cuello!
Tommy Gogan regarda droit devant, doigts encore accrochés au cou de sa guitare.
Tommy Gogan se quedó mirando al frente, con los dedos alrededor del mástil de la guitarra.
C’est un homme d’une soixantaine d’années, haut comme un mât, avec des épaules voûtées, un cou grotesque et une toque informe par-dessus des cheveux tourbillonnants.
Es un hombre de unos sesenta años, tan alto como un mástil, con los hombros encorvados, un pescuezo grotesco y un tocado informe encima del pelo hecho un torbellino.
Le capitaine passait la plus grande partie de la journée enfermé dans sa cabine, à batifoler avec une métisse, et il ne se rendait même pas compte que les jeunes gens sous sa responsabilité sautaient comme des singes au haut des mâts, au risque de se rompre le cou.
El capitán pasaba la mayor parte del día encerrado en su camarote retozando con una mestiza y ni cuenta se daba de que los jóvenes a su cargo saltaban como monos en los mástiles, con riesgo de romperse la crisma.
Et soudain apparurent deux hommes en noir, portant un mât de tente sombre sur l’herbe qui crissait. C’était le silence qui mettait Will mal à l’aise ; Jim, lui, allongeait le cou, les yeux brillants.
De pronto hubo dos hombres vestidos de negro que llevaban el mástil de una tienda oscura entre las hierbas susurrantes. Fue el silencio lo que echó a Will hacia atrás y a Jim hacia adelante, con los ojos brillantes de luna.
— Autour de notre cou ?
—¿En torno a nuestro pescuezo?
Lui avait coupé le cou.
Le rebanó el pescuezo.
jusqu’à ce que nous lui tordions le cou
hasta que le torcemos el pescuezo
Ils te couperaient le cou.
Te cortarían el pescuezo.
L’intrus la tenait par la peau du cou. PERDU.
La tenía agarrada por el pescuezo.
— Je vais lui tordre le cou !
—¡Voy a retorcerle el pescuezo!
Ma femme me tordrait le cou.
Mi mujer me retorcería el pescuezo.
Mais essayez de ne pas me tordre le cou.
Pero no me agarre del pescuezo por ello.
Hazel grimpa sur son cou.
Hazel se montó en su pescuezo.
Elle aurait pu lui casser le cou.
Podía retorcerle el pescuezo.
Tu me le montreras demain, tu vas vraiment t’enrhumer, déshabille-toi vite, j’éteins comme ça on verra mieux le feu, oh oui Marcelo, tu as vu ces braises, tous ces yeux de chat, regarde les étincelles, on est bien dans l’obscurité, c’est dommage de dormir et lui, posant sa veste sur le dos d’un fauteuil et s’approchant de l’oursonne pelotonnée contre la cheminée, enlevant ses souliers près d’elle, se baissant pour s’asseoir près du feu, voyant les lueurs et les ombres glisser sur ses cheveux dénoués, l’aidant à déboutonner son chemisier, cherchant la fermeture du soutien-gorge, sa bouche déjà contre l’épaule nue, ses mains partant en chasse parmi les étincelles, oursonne bécasse, petite fille, et à un moment tout nus debout devant le feu et s’embrassant, blanc et froid le grand lit et soudain plus rien, un feu total courant sur la peau, la bouche de Lina sur ses cheveux, sur sa poitrine, les mains dans son dos, les corps se laissant mener et connaître et à peine un gémissement, une respiration essoufflée et devoir lui dire car ça oui il le fallait, Lina, ce n’est pas par reconnaissance que tu le fais, n’est-ce pas ? et les mains perdues dans son dos montant comme des fouets à son visage, à son cou, serrant furieuses, inoffensives, si douces et furieuses, petites et rageusement accrochées, presque un sanglot, une plainte de protestation, une rage aussi dans la voix, comment peux-tu, comment peux-tu, Marcelo, bon, c’est vrai, oui, d’accord, là c’est fini, pardonne-moi mon amour, pardonne-moi, il me fallait te le dire, pardonne-moi douce pardonne-moi, les bouches, l’autre feu, les caresses aux bords roses, la bulle qui tremble entre les lèvres, phases de la connaissance, silences où tout est peau et lent glissement de cheveux, rafales de paupières, refus et demande, bouteille d’eau minérale où l’on boit au goulot, qui va passant pour une même soif d’une bouche à l’autre et qui finit entre les doigts qui tâtonnent sur la table de nuit, qui allument, il y a ce geste pour couvrir l’abat-jour avec un slip, ce qui tombe sous la main, pour dorer l’air avant de regarder Lina sur le dos, l’oursonne de côté, la petite ourse à plat ventre, la peau légère de Lina qui lui demande une cigarette, qui s’assied contre les oreillers, t’es osseux et tout poilu, Shepp, attends que je te couvre un peu si je trouve la couverture, là par terre, au pied du lit, on dirait que le bord a un peu roussi, on s’en est pas du tout aperçu, Shepp.
Mañana me lo mostrás, te estás resfriando de veras, desvestite rápido, mejor apago así vemos el fuego, oh sí Marcelo, qué brasas, todos los gatos juntos, mira las chispas, se está bien en la oscuridad, da pena dormir, y él dejando el saco en el respaldo de un sillón, acercándose a la osezna acurrucada contra la chimenea, sacándose los zapatos junto a ella, agachándose para sentarse frente al fuego, viéndole correr la lumbre y las sombras por el pelo suelto, ayudándola a soltarse la blusa, buscándole el cierre del sostén, su boca ya contra el hombro desnudo, las manos yendo de caza entre las chispas, mocosa chiquita, osita boba, en algún momento ya desnudos de pie frente al fuego y besándose, fría la cama y blanca y de golpe ya nada, un fuego total corriendo por la piel, la boca de Lina en su pelo, en su pecho, las manos por la espalda, los cuerpos dejándose llevar y conocer y un quejido apenas, una respiración anhelosa y tener que decirle porque eso sí tenía que decírselo, antes del fuego y del sueño tenía que decírselo, Lina, no es por agradecimiento que lo haces, ¿verdad?, y las manos perdidas en su espalda subiendo como látigos a su cara, a su garganta, apretándolo furiosas, inofensivas, dulcísimas y furiosas, chiquitas y rabiosamente hincadas, casi un sollozo, un quejido de protesta y negación, una rabia también en la voz, cómo puedes, cómo puedes Marcelo, y ya así, entonces sí, todo bien así, perdoname mi amor perdoname tenía que decírtelo perdoname dulce perdoname, las bocas, el otro fuego, las caricias de rosados bordes, la burbuja que tiembla entre los labios, fases del conocimiento, silencios en que todo es piel o lento correr de pelo, ráfaga de párpado, negación y demanda, botella de agua mineral que se bebe del gollete, que va pasando por una misma sed de una boca a otra, terminando en los dedos que tantean en la mesa de luz, que encienden, hay ese gesto de cubrir la pantalla con un slip, con cualquier cosa, de dorar el aire para empezar a mirar a Lina de espaldas, a la osezna de lado, a la osita boca abajo, la piel liviana de Lina que le pide un cigarrillo, que se sienta contra las almohadas, eres huesudo y peludísimo, Shepp, espera que te tape un poco si encuentro la frazada, mírala ahí a los pies, me parece que se le chamuscaron los bordes, Shepp.
« Non, avait-il répondu en m’attirant à lui pour m’embrasser dans le cou.
—No —contestó, mientras me atraía hacia él para besarme en el escote.
Elle porte une jupe en tweed et un lainage ras le cou marron.
Vestía una falda de tweed y un jersey marrón de escote redondo.
Sa robe blanche était bordée de noir à l’ourlet, au cou et aux manches.
Llevaba un vestido blanco, orlado de negro en el ruedo, el escote y los puños.
Elayne soupira, mais elle tira de sous sa robe l’anneau de pierre suspendu à son cou.
Elayne suspiró, pero sacó el anillo de piedra por el escote de su vestido.
Elle était vraiment splendide, pensa Kabakov, avec cette rougeur qui, surgis de la dentelle, envahissait son cou.
Al verla sonrojarse desde el encaje del escote hasta la cara Kabakov pensó que era realmente espléndida.
La robe était une petite robe noire sans manches, ras du cou, près du corps sans être moulante.
Era un vestido negro sin mangas con escote; le quedaba ajustado, pero no demasiado ceñido.
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