Translation for "couillonner" to spanish
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Mais toi, c’est différent, couillonne, toi tu vas ton bonhomme de chemin, tu sais ce que tu veux, tu ne te laisses pas impressionner par la verroterie de cette ville de mensonges.
Pero vos sos diferente, boluda, vos vas a tu bola, vos sabés lo que querés, no te dejás impresionar por el oropel de esta ciudad de mentira.
Il faisait un subtil distinguo de policier entre les choses que pouvaient accomplir les couillons et celles que ne permettraient jamais les casse-couilles.
Estaba haciendo una amable distinción policial entre aquellas cosas que se pueden conseguir con pelotas y aquellas que nunca permitirían los rompedores de pelotas.
N’entendant que mon bon plaisir pour l’heure dmon réveil, déterminé à traquer le Couillon Rouquin, jconstate avec étonnement que le navire a déjà accosté à Hoek et que les voitures ont déjà commencé à en sortir.
Me levanté cuando me dio la gana y, decidido a localizar al bueno de Pelotas Canela, me sorprendió ver que el barco ya había atracado en el Hook y que los coches habían empezado a desembarcar.
Il tire en arrière son chapeau, révélant le devant de son crâne chauve. Il soupire. « Personne ne veut être chef, espèce de couillon, mais il faut bien que quelqu’un le soit. T’as de la matière grise, t’as des couilles, alors tu vas avoir le boulot.
Echa hacia atrás de su cabeza calva su sombrero de campaña. Suspira. —Nadie quiere mandar, gusano, pero alguien tiene que hacerlo. Tienes cerebro y tienes pelotas, así que el puesto es tuyo.
D’un seul coup le score passe à 28 – 14. On a vachement bien joué après ça, sauf que ces Quenouilles-de-maïs du Nebraska, les couillons de négros et les lourdauds de blancs-becs ils sont pas restés assis à compter les points. Ils ont des ruses à eux – essentiellement nous tomber tous dessus comme si on était en carton ou un truc dans le genre. Mais ils sont quand même étonnés que j’arrive à attraper le ballon, et au bout de quatre ou cinq fois, on en est à 28 – 21, ils se mettent à me coller deux gonzes aux basques. Du coup, l’arrière Gwinn, lui, est plus marqué, et il attrape le ballon de Serpent et nous amène jusqu’à la ligne des quinze yards.
Corre veinte yardas y cuando te vuelvas, la pelota estará ahí esperándote. Así fue. El marcador indicaba 28 a 14. Jugamos estupendamente, sólo que los gigantes negros y los grandullones blancos del Nebraska no se limitaban a presenciar el espectáculo. También tenían sus trucos, mayormente el de empujarnos y pasar sobre nosotros como si fuéramos de cartón. Se quedaron atónitos al comprobar que yo era capaz de coger el balón, y tras cogerlo unas cinco veces, con lo cual puse el marcador 28 a 21, pusieron a dos tipos para que me persiguieran por todas partes. Eso dejó a Gwinn, el extremo, totalmente libre, de modo que agarró el balón que le tiró el Serpiente y echó a correr, luego se lo pasó a Comadreja y éste marcó un tanto.
Cuéllar se calma enfin, partit et avenue du 28-Juillet il riait déjà, vieux, et soudain la lèvre lourde, sois franc avec nous, qu’est-ce qu’il y a eu, et lui rien, bon Dieu, il avait eu un petit coup de cafard rien de plus, et eux pourquoi la vie n’était-elle pas du tonnerre, mon pote, et lui pour un tas de choses, et Marlou quoi par exemple, et lui que les hommes offensent à ce point Dieu par exemple, et Lalo quoi qu’est-ce que tu dis ? et Fufu il voulait dire qu’ils péchaient beaucoup ? et lui oui, par exemple, c’est couillon, non ? oui, et aussi parce que la vie était si lamentable. Et Ouistiti comment ça lamentable, mais non, elle était formidable, et lui parce qu’on passait son temps à travailler, ou à picoler, ou à faire la bringue, tous les jours pareil et soudain on vieillissait et on mourait, c’est con, non ?
Cuéllar se calmó por fin, partió y en la Avenida 28 de Julio ya estaba riéndose, viejo, y de repente un puchero, sincérate con nosotros, qué había pasado, y él nada, caray, se había entristecido un poco nada más, y ellos por qué si la vida era de mamey, compadre, y él de un montón de cosas, y Mañuco de qué por ejemplo, y él de que los hombres ofendieran tanto a Dios por ejemplo, y Lalo ¿de que qué dices?, y Choto ¿quería decir de que pecaran tanto?, y él por ejemplo, ¿qué pelotas, no?, sí, y también de lo que la vida era tan aguada. Y Chingolo qué iba a ser aguada, hombre, era de mamey, y él porque uno se pasaba el tiempo trabajando, o chupando, o jaraneando, todos los días lo mismo y de repente envejecía y se moría ¿qué cojudo, no?, sí.
voilà, c’est mieux… Le campus a l’air désert, personne en vue, pas trace d’Helen Reed ce matin… elle m’intrigue, cette femme, intelligente, l’esprit vif, agile dans la discussion, prête à défendre ses positions, j’aime ça, trop de gens se figurent que discuter sur les choses qui comptent, chercher à avoir le dessus, ce serait de mauvais goût… en plus elle a de belles jambes j’ai remarqué quand elle descendait de voiture hier soir, en pivotant sur le siège elle a écarté par mégarde les pans de sa jupe fendue et dévoilé un joli morceau de cuisse… j’ai failli l’embrasser sur la joue lorsque nous nous sommes dit aurevoir mais je me suis retenu… il y a quelque chose chez elle, une espèce de détachement ironique… une vigilance à l’égard du moindre indice de laisser-aller… je me suis dit que ça lui déplairait, elle penserait que je vais un peu vite… Rien ne presse, nous ne manquerons pas d’occasions de nous voir, je crois, Carrie semble la trouver sympathique et elle doit souffrir d’une solitude d’enfer, coincée dans cette maisonnette sur le campus, j’ai vu son regard s’éclairer lorsque Carrie lui a dit de venir déjeuner dimanche prochain… Les larmes sont une énigme, je lui ai promis de chercher la référence… mais pas tout de suite, il est temps de me rasseoir pour en revenir à Martha… Un jour, j’ai raconté cette histoire à Carrie en croyant que ça l’exciterait, au lieu de quoi on s’est retrouvés en train de s’engueuler parce que selon elle Martha avait abusé de moi, elle m’avait pratiquement violé… Foutaise, ai-je dit, je ne demandais pas mieux… « Peu importe, a-t-elle rétorqué, c’était une adulte frustrée qui se servait de ta bite d’adolescent comme d’un godemiché… » J’ai répondu qu’au contraire c’était une femme pleine de chaleur et de cœur à qui je devais une éducation sexuelle que mes contemporains mettaient des années à acquérir, s’ils y parvenaient jamais… Il faudrait une Martha à tous les jeunes garçons, ai-je déclaré, elle a fait de moi un bon amant… « Tu veux dire qu’elle t’a rendu sexuellement dépendant », a riposté Carrie en me tournant le dos avant de s’endormir, nous étions au lit, dans la maison de Pasadena… « sexuellement dépendant »… typique de la psycho californienne de bazar, quel sens est-ce que ça peut avoir, la dépendance sexuelle, les hommes sont biologiquement programmés pour avoir envie de niquer le plus souvent possible le plus de femmes possible… seulement la civilisation inhibe notre instinct de promiscuité sexuelle… parfois même elle le barre complètement, comme pour les prêtres et les moines, pauvres couillons bernés, ou presque complètement, comme dans le cas de Tom Beard… « Dix minutes le samedi soir, pour lui, c’est un maximum… » Il était resté trop longtemps vieux garçon, sans aventures, vivant avec sa mère veuve dans une ferme isolée, pour toute distraction la camaraderie entre hommes au pub du coin, la bière et le tabac, les fléchettes et les dominos… mais Martha était différente, elle avait grandi dans un gros bourg des Midlands où il y avait des fêtes, des cafés, un cinéma et des tas de garçons… elle venait de se faire larguer, m’a-t-elle raconté, lorsqu’elle avait fait la connaissance de Tom à l’occasion d’un mariage et l’avait épousé sans tarder, elle en avait plein le dos de vivre chez ses parents avec cinq frères et sœurs, de partager sa chambre avec la plus jeune, Tom lui offrait une maison à elle, la télé couleur, carte blanche pour commander une cuisine moderne sur mesure, et il y avait quelque chose en lui qui attirait Martha, sa lenteur taciturne, sa belle allure sombre de héros de western, mais la composante physique du mariage avait été pour elle une déception dès le début… « C’est qu’il passe trop de temps avec ses moutons, il voit juste ça comme une saillie, je la mets je la retire vite fait », il ne pensait pas à faire jouir Martha… penser étant le mot clé, car ce qui distingue les rapports sexuels chez les êtres humains de ceux des animaux, c’est précisément que nous sommes capables d’y penser, c’est pourquoi nous y prenons plaisir, et prenons plaisir au plaisir l’un de l’autre… Il suffit d’observer deux chiens qui copulent dans la rue ou deux singes en cage ou un bélier en train de saillir une brebis, les mâles en tirent peut-être un certain soulagement, comme de se gratter quand ça démange, comme de chier ou de pisser, mais ce n’est pas le mot plaisir qui vient à l’esprit et quant aux femelles elles semblent simplement s’y résigner… Les femelles animales ont-elles des orgasmes ?
Ah, así está mejor… El campus parece desierto, no hay nadie, ni rastro de Helen Reed esta mañana… intrigante esta mujer, lista, las pilla al vuelo, buena polemista, dispuesta a dar batalla, me gusta eso, hay tanta gente que piensa que discutir sobre cuestiones de importancia, discutir para ganar, es de mal gusto, en cierto modo… buenas piernas, además, se las vi cuando se apeaba del coche anoche, llevaba una de esas faldas con abertura que se abrió cuando se movió en el asiento, enseñando una bonita porción de muslo… Pensé en darle un beso en la mejilla cuando nos despedimos pero opté por no hacerlo… hay algo en ella, una especie de distancia irónica… una alerta ante el más mínimo indicio de una gilipollez… me hizo pensar que no se lo tomaría bien, pensaría que me estaba tomando libertades… Bueno, no hay prisa, creo que la veremos a menudo, a Carrie parece que le gusta y debe de estar más sola que la una en ese dúplex del campus, vi que se le iluminaban los ojos cuando Carrie le dijo que viniera a comer el próximo domingo… «El llanto es un enigma», le prometí buscarle esta frase… pero no ahora, de vuelta en el escritorio y Martha… En una ocasión le conté a Carrie la historia de Martha, pensando que la excitaría, pero acabamos teniendo una pelea porque dijo que era abuso, abuso sexual… Yo dije: Tonterías, yo estaba deseando, consentía… «No importa», dijo ella. «Era una adulta sexualmente frustrada que utilizó tu minga como vibrador…». Dije que, por el contrario, era una mujer de sangre caliente y de corazón tierno que me enseñó cosas sobre el sexo que a mis coetáneos les costó años aprender, si es que las han aprendido… Todos los chicos deberían tener una Martha, dije, ella me enseñó a ser un buen amante… «Quieres decir que te convirtió en un adicto al sexo», dijo Carrie, y se dio media vuelta para dormir, estábamos en la cama en aquel momento, en la casa de Pasadena… «adicto al sexo»… la típica psicochorrada californiana, qué querrá decir esa parida, adictos al sexo, los hombres están biológicamente programados para desear tanto sexo como puedan conseguir con tantas mujeres como les sea posible… sólo la cultura constriñe nuestro apremio de copular promiscuamente… a veces lo reprime por completo, por supuesto, como en el caso de curas y monjas, pobres diablos engañados, o casi por completo, como en el caso de Torn Beard… «Diez minutos una noche de domingo es más o menos su límite…». Llevaba demasiado tiempo de soltero, un soltero célibe que vivía con su madre viuda en una granja aislada, y su único pasatiempo era la camaradería masculina del pub del pueblo, cerveza y tabaco, dardos y dominó…, pero Martha era distinta, se había criado en una ciudad comercial de las Midlands donde había bailes y cafés y un cine y muchos chicos… Me dijo que acababan de dejarla plantada cuando conoció a Torn en una boda y se casó con él por despecho, se estaba hartando de vivir en casa con cinco hermanas y de compartir su cuarto con la más pequeña.
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