Translation for "contremaitre" to spanish
Translation examples
Même moi. Moi, je suis contremaître et Dieter un inspecteur de contremaîtres.
Yo mismo. Yo soy un capataz y Dieter un inspector de capataces.
avait crié le contremaître.
– había gritado el capataz-.
Le geste du contremaître.
Un gesto de capataz.
Je suis contremaître de maintenance.
Soy capataz de mantenimiento.
Le contremaître était resté.
El capataz se quedó.
Faut que je le signale au contremaître.
Tendré que decirle al capataz.
— Le contremaître savait où j’étais, lui.
—El capataz sabía donde estaba.
La plupart des contremaîtres également.
Y también la mayoría de los capataces.
Et vous resterez contremaître.
Y usted seguirá siendo el capataz.
— Vous avez de fidèles contremaîtres.
—Tienen ustedes capataces fieles.
— Le contremaître est d’accord.
—Al jefe del dique le parece bien.
Maintenant il était contremaître, patron. « Regardez.
Ahora era encargado, un jefe. —Mire.
Mais le contremaître Otto Quangel, lui, était pour la justice.
Pero el jefe de taller Otto Quangel era partidario de la justicia.
Probablement le contremaître qui s’était présenté le premier jour.
Seguramente el jefe de esclavos, que el primer día se le había acercado para presentarse.
Dannyl prit l’autre et ordonna au contremaître d’entrer.
Dannyl ocupó la otra y ordenó al jefe de esclavos que entrara.
Et le contremaître des robots allait devenir un interlocuteur très demandé.
Y querrían hablar otra vez con el jefe de robots.
Conscient du regard du contremaître, il garda la tête baissée.
Consciente de la mirada del jefe de esclavos, Lorkin mantuvo la vista baja.
— Chicago ne peut s’occuper que du contremaître, dit Crawford.
Chicago le puso ciertos controles al jefe del taller dijo Crawford.
Mais le ton du contremaître manquait de conviction.
—Pero el tono del mayoral carecía de convicción.
Simoost était à son service depuis vingt ans et jamais Etowan Elacca n’avait perçu cette émanation chez son contremaître. — Maître ? fit Simoost.
Simoost trabajaba para él desde hacía veinte años y Etowan jamás había detectado ese olor en su mayoral. —¿Señor? —inquirió Simoost.
les prêtres, qui recevaient pour dîme 5 % de la production sucrière, donnaient leur absolution : le contremaître châtiait le Noir comme Jésus-Christ châtiait les pécheurs.
Los sacerdotes, que recibían como diezmo el cinco por ciento de la producción de azúcar, daban su absolución cristiana: el mayoral castigaba como Jesucristo a los pecadores.
Tout d’abord Etowan Elacca ne vit pas Simoost : puis il aperçut le contremaître avançant de manière déconcertante au bord du champ, cheminant entre les arbres inclinés, s’arrêtant de temps à autre pour en écarter un.
Al principio Etowan no vio a Simoost. Luego divisó al mayoral: caminaba de un modo peculiar, a la ventura, por el borde más alejado de la arboleda, pasaba entre los inclinados árboles, se detenía de vez en cuando para enderezar alguno.
Et à la fin de la deuxième journée le grand-père revenu des Indes se rendit à la propriété ; les peones le guettaient sur la terrasse de l’entrée, les contremaîtres, toute la domesticité. Et il entra, jeta le chapeau sur une table et grimpa jusqu’à l’alcôve, où la femme devait certainement attendre le vainqueur.
Y al terminar el segundo día fue el Indiano a la finca y le esperaban en el porche los peones, los mayorales, toda la servidumbre, y él entró, tiró el sombrero en una mesa y subió a la alcoba, donde, sin duda, la mujer estaría aguardando al ganador.
Au début du XVIIIe siècle, tandis que dans les îles Anglaises les esclaves accusés de crimes mouraient écrasés par les batteurs des moulins à sucre, et que dans les colonies françaises on les brûlait vifs ou on les soumettait au supplice de la roue, le jésuite Antonil formulait des recommandations modérées aux propriétaires des raffineries du Brésil, afin qu’ils évitent de tels excès : « Il ne faut accepter en aucune manière que les administrateurs donnent des coups de pied principalement dans le ventre des femmes enceintes ou qu’ils bâtonnent les esclaves, car sous l’effet de la colère on ne mesure pas le châtiment, et ils peuvent atteindre à la tête un esclave travailleur qui vaut beaucoup d’argent et le rendre infirme(147). » À Cuba, les contremaîtres abattaient leurs fouets de cuir ou de chanvre sur le dos des esclaves enceintes prises en faute, mais après les avoir fait s’allonger face contre terre, le ventre dans un trou, pour ne pas blesser le « fruit » qu’il portait ;
A comienzos del siglo XVIII, mientras en las islas inglesas los esclavos convictos de crímenes morían aplastados entre los tambores de los trapiches de azúcar y en las colonias francesas se los quemaba vivos o se los sometía al suplicio de la rueda, el jesuita Antonil formulaba dulces recomendaciones a los dueños de ingenios en Brasil, para evitar excesos semejantes: «A los administradores no se les debe consentir de ninguna manera dar puntapiés principalmente en la barriga de las mujeres que andan preñadas ni dar garrotazos a los esclavos, porque en la cólera no se miden los golpes y pueden herir en la cabeza a un esclavo eficiente, que vale mucho dinero, y perderlo». En Cuba, los mayorales descargaban sus látigos de cuero o cáñamo sobre las espaldas de las esclavas embarazadas que habían incurrido en falta, pero no sin antes acostarlas boca abajo, con el vientre en un hoyo, para no estropear la «pieza» nueva en gestación.
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