Translation for "consolidation" to spanish
Translation examples
les années de consolidation et de réussite ;
las décadas de consolidación y éxito;
Ou la consolidation des entreprises avec la liberté de parole ?
¿O la consolidación de las empresas con la libertad de expresión?
La conquête du monde – et puis la consolidation. La foi ou le glaive.
La conquista del mundo… y la consolidación. La Fe o la Espada.
La nécessaire consolidation de la démocratie avait justifié des compromis ;
La necesaria consolidación de la democracia había justificado determinados compromisos;
Une consolidation du terrain exige l’élimination des points de conflit.
Una consolidación del terreno exige la eliminación de puntos de conflicto.
Mais là aussi, je dus renoncer assez vite à mon entreprise de consolidation.
Pero también tuve que renunciar bastante pronto a mi empresa de consolidación.
À notre époque, il faut consolider ce que l’homme a gagné sur ce monde.
Ésta es una época para la consolidación de los logros del hombre sobre este mundo.
Le moment de la succession sera l’épreuve du feu de la consolidation de la monarchie en Espagne.
El momento de la sucesión es la prueba de fuego de la consolidación de la monarquía en España.
La tâche qui incombait au roi, désormais, était de reconstruire et de consolider son royaume.
rey se había propuesto la enorme tarea de reconstrucción y consolidación de su reino.
L’Union soviétique a besoin d’ingénieurs, on compte sur eux pour consolider la société.
La Unión Soviética necesitaba ingenieros, con ellos se crearía la base para toda la sociedad.
— Après la chute de l’Union soviétique, le Kremlin voulait consolider ses liens avec l’Ouest.
—Tras la caída de la Unión Soviética, el Kremlin quería reforzar sus lazos con Occidente.
Ils étaient mariés depuis environ sept ans, et avec trois enfants pour consolider leur affection – ou quoi que ce soit d’autre qui les unissait –, ce mariage paraissait devoir durer.
Llevaban casados unos siete años y, con tres hijos que cuidar con afecto (o con lo que fuera), la unión parecía destinada a durar.
Quand l’épouse est choisie pour sceller une union politique ou pour consolider la conquête d’un nouveau territoire, le mariage a souvent lieu le jour de la décision.
Cuando se elegían esposas para sellar una unión política o para consolidar la conquista de un nuevo territorio, en ocasiones la boda se realizaba el mismo día que se decidía.
Elles avaient été construites, comme l’ensemble du monastère, en bois d’hinoki, matériau que les anciens bâtisseurs de temples, appelés miya-daiku, avaient longtemps – tant qu’ils l’avaient pu – utilisé par prédilection : une fois que la décision de construction était prise, dès la réception de la commande officielle, le maître charpentier, accompagné de quelques vieux charpentiers expérimentés, partait pour la province de Yoshino afin d’y sélectionner le matériau requis, ce qui représentait une longue et difficile expédition, non exempte de dangers, qui pouvait durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois, car, outre les charges habituelles inhérentes au voyage, ils devaient porter sur les épaules une lourde responsabilité devant les dieux, celle de trouver, de sélectionner, d’acheter le bois approprié, la forêt appropriée, la montagne appropriée, car c’est de cela qu’il s’agissait, trouver, sélectionner, acheter selon d’immuables critères ancestraux, qui impliquaient la prise en considération de trois éléments déterminants, l’ensoleillement, le vent et la pluie, après quoi il ne suffisait pas de trouver, de sélectionner et d’acheter une quantité substantielle de faux cyprès dans la province de Yoshino, considérés comme les meilleurs du Japon, mais il fallait trouver une montagne entière où les hinoki répondaient aux critères requis en matière d’âge, de maturité, d’emplacement, de santé, pour le but recherché, après quoi, un beau jour, plusieurs décennies plus tard – un fait stupéfiant pour nombre de profanes –, le rituel de l’abattage pouvait commencer selon les principes sacrés du kokoroe, principes dont l’élément principal était le serment du maître charpentier, lequel s’engageait à « ne commettre aucun acte susceptible de mettre fin à la vie de ces arbres », à effectuer leur coupe, leur élagage, leur sélection, puis leur transport par voies terrestre et fluviale, et ce n’est qu’ensuite, après avoir défini précisément les tâches à accomplir sur place, en l’occurrence, établir le tracé et le type de galeries couvertes reliant les différents sanctuaires du monastère, que le maître charpentier pouvait commencer à accomplir son art simple et intemporel, marquage, pose des fondations, consolidation des piliers, installation des tranchées d’écoulement des eaux, puis, après des mois consacrés à la préparation des piliers, préparation qui incluait leur taille, leur mortaisage, et leur polissage, l’édification de la structure pouvait débuter, montage des piliers, assemblage des poutres, construction des toits, pose et fixation des planchers, des centaines d’opérations dont la simple préparation durait des mois entiers, et des centaines d’opérations dont la supervision était confiée à un seul homme, le miya-daiku, chacun des autres artisans exécutait sa tâche spécifique, avec soin et à la perfection, selon une technique pratiquée depuis des années, apprise dès l’enfance, et le résultat de ce travail collectif était la structure complexe de tous les sanctuaires, présentement de ce réseau de galeries couvertes, de ce magnifique fil conducteur spirituel où, à cet instant, dans ce désert de désolation fantomatique, en cette heure mystérieuse de terrifiant silence qui enveloppait le monastère, on eut dit qu’un bruit, chose étrange et incongrue, un seul, venait de s’échapper de la galerie couverte, c’était comme si, dans le silence absolu, les longues lattes du plancher, polies à la perfection et patinées à la perfection par les pas, venaient de restituer un unique et minuscule souvenir de la longue histoire des allées et venues que leur mémoire avait conservée pendant mille ans, car si le son dépassait à peine le seuil du silence, on pouvait nettement reconnaître le bruit d’un craquement, le plancher de la galerie venait de craquer, en un point où la fixation s’était relâchée, il avait grincé en un point, reproduisant et rappelant le poids d’un unique pas ancestral, l’assurance d’un souvenir : quelqu’un, un jour, avait marché ici.
Su material era ese ciprés de hinoki que los antiguos carpinteros de los templos, los llamados toryo, utilizaban preferentemente mientras podían dirigirse —el maestro y unos cuantos carpinteros experimentados y ya mayores— a la provincia de Yoshino para elegir, una vez tomada la decisión de construir un templo y hecha la petición ritual, la madera adecuada, lo cual era una empresa difícil y cansada, de varias semanas o meses de duración, pues además de las cargas propias del viaje habían de cargar también con la responsabilidad ante los dioses, que significaba encontrar, elegir y comprar la madera adecuada, el bosque adecuado, la montaña adecuada, esto es, encontrar, elegir y comprar según los principios ancestrales e invariables aquello que era lo más adecuado para el caso o, dicho de otro modo, tener en cuenta que lo importante era conocer tres elementos: el sol, el viento y la lluvia y, luego, encontrar, elegir y comprar según el espíritu de estos tres elementos no sólo una gran cantidad de falsos cipreses japoneses considerados los mejores en algún punto de la provincia de Yoshino, sino toda una montaña en aquel lugar, una montaña en la que el hinoki, como ellos lo llamaban, pareciera, por su edad, su madurez, su situación y su salud, el más adecuado para el objetivo, con el fin de que luego, después de que transcurrieran varias décadas para increíble asombro de muchos, empezara un día el rito sagrado de la tala, con el fin de que, siguiendo el orden establecido en la ceremonia del kokoroe —que contenía, además, la promesa del maestro carpintero de no cometer, con el derribo de los hinoki, «ningún acto que pusiera fin a la vida de estos árboles»— se realizara primero el corte de los árboles, su aclarado y su selección y, por último, su transporte por tierra y por corrientes fluviales, con el fin de que a continuación, tras fijar con exactitud las tareas a llevar a cabo en el lugar, es decir, en este caso, de determinar el curso y el tipo de corredores cubiertos destinados a unir entre sí los santuarios principales, empezara el arte simple e intemporal de los carpinteros, la señalización, la fundamentación, el aseguramiento de los cimientos de los pilares, la ejecución de las zanjas de drenaje, así como la gran operación definitiva, la preparación de los pilares, su corte a medida, su ensamblaje y perfecto pulido, tareas éstas que podían durar meses, y por último la creación de toda la estructura, el trabajo en las vigas de unión, la construcción del techo y la colocación y fijación del suelo, cientos y cientos de tareas cuya preparación ya duraba meses y cuya supervisión corría a cargo de una sola persona, del toryo, pues todos los demás realizaban cada uno su trabajo, de manera precisa e impecable, durante años, según métodos aprendidos y experimentados desde la infancia, y de esta cooperación resultaba finalmente, en este caso como en el de todos los monasterios, el complejo sistema de los llamados corredores cubiertos, de esos maravillosos conductores de almas, donde en este momento, en el desierto fantasmal del abandono, en la hora misteriosa del silencio que se cernía sobre el monasterio, daba la impresión de que, a pesar de todo, se oía un ruido procedente de allí, de los corredores: en el absoluto silencio pareció que aquel largo entarimado, pulido y recorrido tantas y tantas veces, liso como un espejo, devolvía ahora un único y diminuto recuerdo de la historia de los pasos guardados durante mil años, pues justo al otro lado de la frontera del silencio se oyó, eso sí, con claridad meridiana, un crujido en un punto, allí donde se había vuelto más insegura la fijación, de tal modo que chirriaron en ese lugar concreto las tablas del entarimado del corredor, repitiendo y evocando el peso de un único paso de antaño, la certeza del recuerdo de que alguien pasó por allí. XXI
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